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  • : Bienvenue sur jusdequeues ! Vous ne verrez ici « queue » du sperme, de la jute, du foutre, du jus, du jus d’homme, du liquide séminal, de la liqueur spermatique, du sirop de corps d’homme, du yop… J’ai en effet décidé de montrer ce que j’aime trouver sur le web. Et ce que je préfère c’est la bite et surtout le sperme. Quoi de plus excitant qu’une belle bite gonflée de désir en train de juter ? Quoi de plus excitant qu’une bonne giclée de foutre sur n’importe quelle partie du corps ?
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DaddiesBoySquare

 

Le jus de queue

 

Le jus de queue est une combinaison de plusieurs fluides, les spermatozoïdes produits par l'épididyme, le liquide prostatique, le liquide produit par les vésicules séminales et les sécrétions des glandes de Cowper. Le mélange ne se produit que dans les fractions de secondes qui précédent l'éjaculation.

Une éjaculation représente en moyenne 2 à 5 millilitres.

La densité normale de spermatozoïdes serait comprise entre 20 et 200 millions par millilitre.

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Histoires

Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 17:36

J’avais 15 ans quand cela se produisit. Cela faisait trois mois que je couchais avec Antoine et Mathieu, deux jumeaux de mon âge, que j’aimais plus que tout. Trois mois déjà, et je ne leur avais pas encore dit que je les aimais autrement que pendant un orgasme. Et pourtant, c’était bien le cas, mais je ne trouvais jamais le moment adéquat pour leur annoncer. Finalement, je me décidai à le faire ce soir.

Leurs parents venaient de partir en week-end avec leur petite soeur.  J’avais deux jours pour me déclarer, et je commençais à avoir le trac (je ne savais pas trop si eux aussi m’aimaient). L’après-midi n’avait pas été très agitée: pas mal de gamelles roulées, quelques pipes, rien de plus, mais l’heure du dîner arriva relativement vite.  Antoine et Mathieu s’assirent de part et d’autre de moi, comme à l’accoutumée. Mais m’enhardissant, je les pris par la main et leur dis:

·         Écoutez, il faut que je vous dise quelque chose, mais ça risque d’être dur.

·         Bien sûr, nous t’écoutons, vas-y.

·         Bien. On se connaît depuis 3 mois, et j’adore faire l’amour avec vous.

·         Mais...

·         Non non, je pense juste qu’il n’y a pas que ça. Je crois que je vous aime, voilà.

Les jumeaux fondirent en larmes. J’étais soulagé, mais quand même dans l’expectative, et Antoine prit la parole:

·         Tu peux pas savoir à quel point ça nous fait plaisir et ça nous soulage!

·         Alors ça veux dire que vous m’aimez aussi?

·         Mais bien sûr qu’on t’aime! Je ferais tout pour toi.

·         Moi aussi, renchérit Mathieu.

Il y eut un petit temps de silence: une idée se formait dans ma tête, ils s’en rendaient bien compte:

·         Écoutez, pour célébrer notre amour, je veux qu’on passe une nuit inoubliable. Mais cette nuit, c’est moi et moi seul qui vous donnerai du plaisir. Je veux vous montrer à quel point je vous aime.  J’avais toujours leurs mains dans mes mains et je les fis se lever et venir devant moi. Je pris Mathieu par la taille, et en l’enlaçant, je lui répétais que je l’aimais. J’aimais cela. Puis je me levai et pris Antoine dans mes bras, l’embrassais à pleine bouche. Je me rassis et déboutonnais le 501 noir et large d’Antoine, puis descendis très tendrement 3109048.jpg son boxer et dévoilais sa belle verge jeune et frétillante, surmontée d’une fine toison de poils blonds.  Je pris cette belle queue en bouche et la fis enfler jusqu’à ce qu’elle soit raide. Je me mis alors à la sucer amoureusement, délicatement, par petites touches:

·         Chéri, j’adore ça. Je crois que j’approche de l’orgasme. Je peux éjaculer dans ta belle bouche?

·         Bien sûr.

Je le pris au fond de ma gorge, et le serrais contre moi, lui enlaçant les fesses. Il me caressa tendrement les cheveux en éjaculant sa semence dans ma bouche. Me levant, j’allai embrasser mon bien-aimé, nos langues se mêlant, et un liquide fait de sa semence et nos salives passait d’une bouche à l’autre. Ce moment était exquis.

Puis je me dirigeai vers Mathieu et l’allongeai sur la moquette. Je me mis à caresser son corps sublime, à baiser ses lèvres exquises.  J’étais aux anges, je l’aimais tant. Je ne cessai de lui répéter que je l’aimais. Antoine, lui, me caressait les fesses et le dos pendant qu’allongé sur Mathieu, je le caressais gentiment. Nous continuâmes à nous caresser pendant quelque 15 minutes, et Antoine prit la parole:

·         David, j’ai encore envie de toi.

·         Je t’offre mon cul, bébé, je sais que tu l’aimes beaucoup.

·         Oh oui!
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Mathieu m’écarta un peu les fesses et Antoine s’enfonça sans aucun mal. Il me pénétrait doucement, tendrement, comme pour profiter le plus possible de moi. J’aimais ça, j’adorais ça même, et une idée me traversa l’esprit:

·         Mathieu, Antoine, s’il vous plaît, je vous veux dans moi en même temps.

·         Mais tu vas avoir mal, mon amour.

·         Je sais pas, mais je vous aime tous les deux en même temps, et j’ai pas envie de donner de l’amour à l’un puis à l’autre.

·         Tu es adorable David, mais je sais pas...

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Je pris moi-même le sexe de Mathieu en main et le dirigeai vers mon trou déjà occupé par Antoine. Mathieu me pénétra alors, tout doucement. C’était l’extase. Ces deux pénis identiques entraient doucement et de façon synchronisée dans mon anus, si bien que la chose imposante que représentait leurs deux engins ne me faisait pas mal du tout, mais me procurait un plaisir fou. C’était aussi l’extase lorsque les jumeaux se mirent à faire de lents va-et-vient en moi. Je ne cessais de leur répéter que je les aimais, et eux aussi. Finalement, nous râlâmes tous trois en même temps, et je sentis leur semence se répandre dans mes intestins. Je me mis alors à cracher sans même m’être touché. 17a-copie-1.jpg

Je ne voulais pas croire que tout était fini, et je leur demandai de rester en moi encore un peu, mais il débandèrent trop vite. C’était malheureusement fini. Je les pris à nouveau dans les bras et les embrassais encore une fois, langoureusement.

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : 100 % Gay Sex
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Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 18:47

J’étais en week end chez des amis à la campagne. En arrivant, j’apprends que je dois partager la chambre avec Christophe, un pote que je connais depuis pas de temps déjà. En visitant la chambre, je vois que c’et un lit double. Hum mm, pas mal! Je vais dormir avec mon pote sur que je fantasme depuis longtemps mais qui est hétéro.

Je sais qu’il ne passera rien, mais bon, c’est mieux que rien. On passe une journée cool. Les amis      ont une piscine et mon Christophe en slip de bain... je ne dis que ça! C’est con, mais je ne pense qu’à un truc : notre nuit future. Le soir arrive, bon dîner... bonne discut avec petits alcools.  Et vers 2 ou 3 heures du mat, au lit! On arrive dans la chambre et après une ou deux blagues d’hétéros : « hé tu ne vas pas abuser de moi, j’espère... », me dit-il en rigolant. « T’inquiètes, plus hétero que moi, il n’y a pas... » que je lui répond... On commence à se désaper.

« Habituellement, je dors à poils, mais là, je vais garder mon slip » me dit il. « Merci pour moi, je vais faire la même chose ». Voilà donc Christophe en slip, un dim à rayures verticales, qui se couche. Moi, je porte un slip blanc sans marque. On discute un peu, puis nous éteignons la lumière. Durant la nuit, je suis réveillé par un truc que je connais bien : la bite d’un mec qui bande contre mes fesses. Le lit est un peu défoncé au milieu et évidemment, Christophe a glissé vers moi. Son corps se frotte un peu au mien et son paquet bien dur dans son slip est entre mes fesses. Je crois qu’il dort et ne s’est aperçu de rien. Mine de rien, je commence à remuer mon petit cul. Lentement. Au début, il ne se passe rien. Mais au bout de quelques minutes, je sens que lui aussi, remue entre mes fesses. Nous nous excitons mutuellement. Les mouvement devenant plus rapide, je me lance et demande s’il dort. « Non », me répond t-il timide. « C’est malin, je suis excité maintenant ». « Moi aussi », me répond-il. Cette fois, pas de retour possible. Je me retourne et je commence à lui caresser le paquet, les cuisses, le bas du ventre. Lui aussi me caresse la bite à travers le slip. Puis j’entre ma main dans son slip et lui prend la queue.

« Attend me dit il » et il vire son slip. Je fais la même chose. On se prend la queue dans nos à nous masturber lentement. On se caresse les couilles, les cuisses. C’est vraiment bon. Sa queue est de bonne taille, bien épaisse. Puis, n’en pouvant plus, je disparais sous les draps. Mon visage se retrouve au niveau de sa queue. Je commence à le lécher de bas en haut, depuis les couilles jusqu’au gland. Sa bite est dure comme de l’acier, bien droite. J’ouvre ma bouche et commence à aspirer son gland tout en le masturbant. Je le suce quelques minutes, gobant toute la longueur de sa queue. Au bout d’un moment, il fait trop chaud sous les draps, je ressors donc ma tête. Christophe ne profite pour aller voir de plus près ma queue. Au début, je ne sens que sa langue qui le lape la queue, les couilles. Puis je sens que lui aussi avale le membre. Il me fait un long va et vient.  J’ai du mal à croire qu’il n’a jamais fait cela de sa vie, tellement il me suce bien. Il me caresse les couilles, me masturbe. C’est vraiment bon. J’ai envie de retrouver sa queue dans ma bouche. Je lui propose de changer de position. Nous voilà maintenant entrain de nous faire un bon 69.
45_1.jpg Je le suce du mieux que je peux, lentement car je crois qu’il est au bord de l’éjaculation. Cela dure un bon moment puis, il commence à accélérer la façon de me sucer. Sa bite et son gland se gonflent encore, deviennent plus durs. Cela ne dure que quelques seconds et je me reçois de bonnes giclées de sperme dans la bouche que j’avale au fur et à mesure. C’est bon d’avaler tout ça. Je ne tarde pas à faire la même chose. Mon sperme envahit sa bouche. Il avale aussi. Puis sans rien se dire, nous reprenons une position normale pour dormir. Quelques minutes se passent. Je me tourne vers lui et lui prend la queue dans la main. Il se laisse faire. Lui aussi, prend ma queue ne main. On s’endort comme ça... Le jour s’est à peine levé que je suis encore une fois réveillé par quelque choses d’agréable. Je faisais un bon rêve érotique. Mais je me rend compte que Christophe st déjà entrain de me sucer... C’est bon, il n’y a rien de meilleur que de se faire réveiller par une pipe. Je le laisse faire...

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : 100 % Gay Sex
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Dimanche 24 février 7 24 /02 /Fév 15:00
J'aurais tellement aimé que ça m'arrive...! (Histoire illustrée par mes soins...)

Vacances agréables

 

Je vais vous raconter une aventure très agréable et riche en émotion qui s’est produite cet été.

                    Mon copain m'a quitté il y a quelques mois. Je suis donc célibataire depuis le mois de mars et pour les vacances je décide de passer 2 semaines en camping.
J’arrive dans le camping et le responsable me guide sur l'emplacement qui m'était attribué et situé proche de la piscine.
Une famille arrive à leur caravane située face à ma tente. Un couple d’une quarantaine d’années et un jeune homme de 18 / 20 ans.
Mon regard se pause sur ce beau jeune homme au torse nu (imberbe et légèrement bronzé), et a la musculature bien développée. Je remarque qu’il a un short de cycliste qui moule fort bien son sexe de bonne taille vu la forme de celui-ci.

                    J'arrive a entendre ce jeune dire a ces parents qu’il va à la piscine. Je m'empresse de prendre également ma serviette et je prends la direction de la piscine.
Je m’approche de lui et lui demande d’où il vient (histoire de débuter la conversation).

- "Nicolas… 19ans…" me dit-il
- "Emmanuel… 31ans…" répondis-je aussitôt.

Nos regards se croisent plusieurs fois. Je lui fais un grand sourire et lui dit que je vais aux toilettes. Le voilà qui me suit. "Très bien je vais pouvoir mater sa bite" me dis-je secrètement. Nous voilà côte à côte aux urinoirs. Il me lance un regard intéressé et il me dit :

- "Ta bite est bien belle, elle est de bonne taille.."

Sans retenu et sans gênes, je lui montre ma queue et mes couilles et lui dit:

- "Si tu veux la voir en érection, viens me rejoindre dans les douches à 22h00."
- "Ok" me dit-il avec un grand sourire acceptant ainsi mon invitation.

Nous avons passé sans rien nous dire l'après midi au bord de la piscine en nous regardant de temps en temps sourire aux lèvres.
22 heures arrivent. Je suis dans le couloir des douches, il arrive en boxer et une serviette autour du cou.
Arrivé près de moi, je lui prend la main et le dirige dans une cabine sans dire un mot. Sans préliminaires, je lui baisse directement son boxer et lui malaxe en douceur ses testicules.                                                                   0557_jpg.jpg
Il bande déjà très dur. Son sexe est de bonne taille : environ
19 cm. Je me laisse tomber à genoux et commence à lui lécher le gland et a le sucer tout en douceur. Il me dit :

- "C’est la première fois que l’on me suce. J’ai un peu honte de te le dire, mais jusqu'à présent je n’ai jamais fait l’amour avec un garçon."
- "C'est pas grave, je serai très doux"
- "La seule chose que j'ai fait, c’est de me goder le cul et cela depuis l’âge de 16ans dans ma chambre en cachette."
- "Tu veux sentir ma bite dans ton cul ?" Lui dis-je.
- "Oui très" me dit-il d'un air coquin.

fuck_489-copie-1.jpg Il se retourne et là je le pénètre sans forcer car dans son excitation son anus s’est dilaté un max.
Je le lime bien a fond tout en le masturbant en 000041-copie-1.jpg même temps. Il est en trans, je me retire et lui balance tout mon foutre sur son dos. Je le retourne et finis de le sucer, son sperme gicle sur mon visage en plusieurs jets bien épais.
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                    Le lendemain, on se retrouve à la même heure. Il veut me 00000301.jpg prendre. J'ai très envie moi aussi sentir sa bite dans mon cul. Je me retourne et je sens quelque chose d'humide me lécher la rondelle : C'est sa langue qui me prépare "le bougre, il s'est prendre des initiatives même pour un novice : c'est cool" me dis-je au fond de moi.
Il se lève et pointe sa bite a l'entrée 00000416.jpg de mon cul et me pénètre tout doucement au début puis au bout d'un moment il me bourre le cul comme une bête. J’ai la prostate en feu, le cul en compote mais je suis hyper excité. 15au.jpg
Au bout d’un bon quart d’heure, il se retire et éjacule sur mon trou béant 54.jpg puis me suce divinement. Ne pouvant me contenir plus longtemps, je lui décharge tout mon sperme sur la figure, dans l’excitation il rebande de plus belle. Je me retourne aussitôt en lui disant :

- "Tu peux jouir dans mon cul, vas-y sans retenue vu que tu m'as pris déjà une première fois."

Sa queue est extra bonne. Il me pilonne, sort et rentre sa bite de plus belle, me baise sans relâche pendant près d'une demie heure. Je sens son sexe grossir encore plus et là il jouit de plaisir dans mon cul en feu.
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                    Les vacances sont magnifiques car tous les soirs, on se prend à tour de rôle…


Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : Espace Gay Sexe
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Jeudi 7 février 4 07 /02 /Fév 11:24

Ce matin là, je m’asticotais comme d’habitude le poireau avant de me lever pour partir au lycée. Il faut dire qu’à 18 ans et toujours puceau, ma bite ne demandait qu’à asperger mon corps de ses multiple jets de sperme. Sans ouvrir les yeux, je descendais tout doucement ma main jusque dans la touffe de poils bruns et frisés. Mon pénis sursauta, commença lentement à se durcir, se gonflant de sang. Une fois bien dur, j’entourais de mes doigts ma bite sous mon gland et tirais si fort sur lui que je laissais échapper un petit gémissement de plaisir (j’ai un frein solide). Puis, je malaxais doucement mes grosses couilles poilues (j’adore me peloter les couilles), passant avec mes doigts d’une boule à l’autre. J’ouvris les yeux et alluma la lumière pour mieux voir mon sexe . De taille modeste à mon goût, il était déjà bien dur et droit, et ne demandait qu’à être masturbé, ce que je fis aussitôt en crachant abondamment sur celui-ci pour bien faire glisser mes doigts.

Ma main commença à faire ses va et viens sur tous le long de ma verge luisante, je poussais des petits grognements de satisfaction alternant avec de longs soupirs. C’était si bon que j’accélérais le mouvement, ça glissait bien et le plaisir intense me remplissait de bonheur. Le lit était devenu un chantier, et mes cordes vocales trahissaient ma jouissance imminente. De l’autre main, j’agrippais mes boules en les entourant de mon index et mon pouce tout en caressant avec les doigts qui me restaient la peau parsemée de longs poils noirs (ça m’excite terriblement les couilles poilues). Mes cinq doigts entourant ma bite, je les faisaient coulisser de haut en bas, lentement, en serrant très fort et, régulièrement, je tordais cette bite en extase pour augmenter le plaisir (l’orgasme pointe le bout de son nez à chaque fois que je lui inflige ce traitement énergique). Dans cette folle agitation, mon trou du cul mouillait comme une chatte et, je quittais temporairement mes couilles pour introduire un premier doigt à l’intérieur de mon anatomie (un lieu si doux à mon sens, qu’on dirait de la soie) et le faisait aller et venir langoureusement.

14f.jpg Mon gland rouge vif et turgescent laissa échapper un peu de sperme que je m’empressais d’étaler sur ma tige, ce qui me rendis encore plus fou d’excitation. Un deuxième doigt rejoignit son voisin dans mon anus maintenant près pour une pénétration manuelle plus violente. Une main sur mon pénis, une autre qui fouillait mes entrailles, quel pied !!! Mes deux doigts allaient et venaient en moi de plus en plus rapidement. Mon gland se gonfla undefined davantage, les veines se firent plus présente et le petit orifice laissa échapper plusieurs longues et abondantes giclées de sperme bien chaud sur mon ventre, ma poitrine et jusque sur mon visage. J’étais en sueur et ma respiration haletée (je suis vraiment un obsédé de la bite, mais c’est si bon la branlette). Ma semence de jeune puceau dégoulinait de mon front pour atteindre mes lèvres. Je passais ma langue pour goûter les quelques gouttes de sperme qui perlaient et comme c’était peu, je débarrassais le précieux jus qui recouvrait ma main et mon torse en le portant à ma bouche (j’adore le goût si particulier du sperme qu’à chaque fois que je me masturbe, je ne peux m’empêcher d’étancher ma soif de foutre).

 Une fois remis de mes émotions, je fis une rapide toilette en prenant bien soin de ne pas me nettoyer le sexe afin de conserver les souillures issu de ma branlette. A 8h10, le bus, qui avait prit un peu de retard sur le trajet, me déposa devant le lycée. Tout le monde était rentré en cours. Je me dépêchais donc de rejoindre ma classe. C’était cours de math…un calvaire que je devais supporter jusqu'à la pause de 10 heures. A l’heure dite, mes camarades et moi sortîmes dans la cour pour fumer une clope, boire un café et déconner. C’était sympa, mais j’eu une terrible envie de pisser qui m’obligea à quitter mes potes un instant. Je rentrais dans les cabinets et m’enfermais pour être tranquille.

alekosVMFHE.jpg Ma main fit descendre ma braguette, je sortis mon pénis encore marqué de sperme et laissais vider ma vessie. Soulagé, je mis mon index sur le bout de mon gland humide et le fis tourner autour tout en laissant le prépuce recouvert. Je faisait souvent ça, ça m’amusais. Ma queue se redressa rapidement pour atteindre une trique d’enfer. Mes doigt experts se mirent à masturber mon gland, lentement je descendais puis remontais. Je me mis face au mur carrelé et continua à me palucher sur celui-ci. Les couilles et la bite sur la surface froide et lisse m’excitaient intensément. Je m’efforçais de rester silencieux afin de pas attirer l’attention. Au bout de 5 minutes, j’éjaculais longuement et par petit jets successifs. Ma bite en mouvement sur la faïence étalait généreusement ma crème de puceau.

 Soudain, la porte s’ouvrit brusquement, faisant sauter le verrou que j’avais pourtant pris soin de verrouiller. C’était le surveillant, un bel homme bien bâtit, la trentaine, blond avec de magnifique yeux bleus.

 - Alors Thomas, on se fait une petite gâterie ? s’exclama-t-il en pouffant de rire.

 J’avais tellement honte que je ne parvenais pas à sortir un mot. Ma bite encore en l’air était recouverte de sperme dégoulinant. Heureusement, les wc étaient vides. La cloche sonna et le surveillant m’invita à me r’habiller.

 - Suis-moi, me dit-il.

J’étais foutu. J’allais sûrement être exclu du lycée. Devoir affronter les moqueries des uns et des autres m’affolais littéralement, car cette homme n’avait pas l’habitude d’être sympa et ne faisait de cadeau à personne. Je le suivais donc et à ma grande surprise il m’annonça :

 - Ne t’inquiète pas, personne ne saura rien.

 J’étais à moitié rassuré mais plein d’espoir. Il m’emmena dans son bureau, ferma la porte à clef et descendit les stores. J’avais compris où il venait en venir.

 - Maintenant tu vas sucer ma grosse bite, me dit-il en sortant son engin de son pantalon.

664_8.jpg J’étais aux anges, c’était la queue de mes rêves, elle était plutôt grosse, faisait dans les 20 cm de long et son gland bien développé brillait sous la lumière. Le frein rejoignait le reste de son membre, d’impressionnantes veines le parcourait, il était arqué vers la droite. Ses couilles qu’il venait de dégager étaient bien rondes et bien grosses, une toison de poils noirs en surgissait et recouvrait une bonne partie de la surface de la peau. Mon sexe se remit à bander. Je le sortis pour pouvoir me masturber tout en bouffant son gros gland. Ma bite faisait pale figure à coté, elle faisait la moitié de celle de mon surveillant et était nettement plus étroite. Je commençais à lui peloter les couilles, ma main tremblotante caressait amoureusement sa peau poilue, je sentais bien ses boules qui bougeaient lentement au grès de mes mouvements. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un mec, c’était délicieux. Je remontais ma main le long de son membre et commençais à l’astiquer. La respiration de mon amant était rapide et il gémissait à chaque aller et venu de ma main.

 - Avale ma bite maintenant, m’invita-t-il nerveusement. Je vais te faire goûter mon foutre et après je t’enculerai.

 Beau programme me dis-je. Mais je doutais quand même sur mes capacités à accueillir un tel morceau. En attendant, Je pris son gland en bouche, curieux de savoir quel goût cela pouvait avoir. J’eu un haut le cœur tout d’abord, car il n’avait pas dû le laver depuis un certain temps. Mon sens du goût m’annonçait un mélange d’urine et de sperme. Je tournais ma langue autour de ce gland sale pour bien le nettoyer. Une fois bien propre, je commençais une pipe en règle en avalant une partie de sa bite. J’apprenais vite. Je me retirais jusqu’au bout du gland pour aussitôt gober de nouveau ce bâton d’amour. Mon surveillant se déhanchait dans ma bouche, haletant et grognant à la fois. Mes papilles salivaient abondement rendant la pipe baveuse et parfaitement ordonnée.

 - Je vais éjaculer dans ta gorge de minet, me lança-t-il. Tu a l’air d’être un fana de la branlette vu comment tu t’es défoulé dans le chiotte à asperger le mur de ta jute, et bien tu vois que tu peux sucer en même temps une bite de mec. 28090472-copie-1.jpg

 C’est vrai que je me paluchais tout en le suçant, ça rendait ma branlette autrement plus excitante. Le surveillant me bloqua la tête dans le coin du mur et alla de plus belle en pénétrant sans ménagement ma cavité buccale. J’étouffais sous ses coups de boutoirs jusqu'à ce qu’il déverse une flopée de sperme à grand renfort de jets, me noyant la bouche dans son foutre. Il gueulait au rythme de ses élans et de ses éjaculations. J’avalais au fur et à mesure que sa jute sortait de ses couilles, me régalant de ce liquide onctueux dont le goût se rapprochait du mien.

Dès qu’il eu fini, il sorti sa bite de ma bouche et se l’essuya sur mon visage et mes cheveux. Ses couilles se baladaient sur toute ma figure. Son sperme s’étalait partout.

 - Lèches mon jus, me dit-il, lèche bien ma bite et mes couilles, après je vais t’enculer.

undefined Je commençais à le lécher depuis l’anus ou du sperme s’était mélangé aux poils, remontais aux couilles à grand renfort de coups de langues et terminais mon travail sur sa bite ramollie. J’avais cessé de branler ma queue, elle était toujours en érection quand mon surveillant s’abaissa pour me piper. C’était doux et chaud, il suçait admirablement. J’étais trempé de sueur. Je passais ma main dans ma raie du cul, je mouillais comme une chienne. Le surveillant me pris dans ses bras et me posa sans ménagement sur son bureau qu’il avait au préalable recouvert d’une couverture. Il balaya longuement sa langue sur mon anus poilu, puis posa sa bite sur celui-ci et força l’entrée encore vierge. Je serrais les dents car c’était très douloureux.

 Il se retira pour me laissais reprendre mon souffle et se réintroduisit 30 secondes plus tard mais cette fois ci très violemment, m’arrachant un cri que j’essayais d’étouffer. 300904111.jpg

Il me limait comme une brute, mon anus était éclaté et me faisait souffrir. Ses coups de bite undefined transperçaient mes entrailles. Soudain, alors que je ne me touchais pas la queue, plusieurs giclés de sperme jaillir de mon gland. Je jouissais comme une femme (3 éjaculations en une matinée…un record). C’était bon, le plaisir balayait mon corps à chacune de mes éjaculations qui s’intensifiait avec la pénétration sauvage dont j’étais victime. Mon surveillant envoya sa purée au fond de mon cul en gueulant de jouissance, puis s’écroula, extenué. Je vérifiais l’état de mon anus avec ma main, il était béant et du sperme s’en écoulait. J’étais dépucelais, et pas qu’à moitié ! Nous nous quittâmes en nous promettant de nous retrouver le lendemain matin au même endroit. Mes journées au lycée n’allaient plus être une corvée !

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : 100 % Gay Sex
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Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 15:34
Voici un texte (trouvé il y a quelque temps sur le net et illustré par mes soins) que je trouve magnifique quoique parfois un peu long : bien écris, il y a là dedans beaucoup de ressenti, de sincérité, de vérité. L'auteur nous fait partager sa passion en décrivant par le menu son amour de "l'amour avec soi-même"... Bref, je pense qu'en le lisant vous allez sentir votre sexe gonfler, vous allez vous caresser par dessus votre pantalon, puis votre bite étant trop à l'étroit, vous allez la sortir, peut-être enlever votre pantalon, et commencer à vous branler doucement, puis de plus en plus vite et, finalement, n'y tenant plus, vous allez gicler avant même d'avoir terminé la lecture... Est-ce que je me trompe ?

Masturbation
Mon Pénis, ma Verge… ! Mon Amour !
de Ludovic Virginou

Éjaculation, orgasme ; quels mots merveilleux tant ils sont chargés de bonheur et de joie. Sensation indicible ; ou devrais-je dire, sensations indicibles. Loin d'être une simple émission de sperme par la Verge, l'éjaculation est un acte d'amour. Sublime aboutissement de la joie sexuelle d'une suprême volupté, l'éjaculation est une manifestation d'amour d'une grande beauté. La ramener à un simple processus physiologique, c'est dire qu'une rose n'est qu'un banal végétal.

undefined L'éjaculation est un phénomène d'une grande noblesse ; c'est ma Verge, mon Pénis qui éjacule. Ce que mon Pénis éjacule n'est pas une quelconque sécrétion de mon corps, mais mon Sperme. Quoi de plus noble et de plus précieux que le Sperme puisqu'il s'agit de Semence de Vie. Le Sperme, Mon Sperme contient la Vie ! Chacune de mes éjaculations et chaque jet d'une de mes éjaculations sont remplis, chargés de vie. Et savoir que cette vie c'est mon Pénis, ma Verge d'amour qui l'éjacule, me comble de joie et de fierté.

Le plaisir, le ravissement qui m'envahit quand j'éjacule, est à l'image de la noblesse et du caractère sacré du Sperme qui jaillit de mon Pénis. Ce plaisir, ce ravissement intensément agréable que je ressens quand j'éjacule, est le signe indiscutable qu'éjaculer est un acte d'amour merveilleux.

Éjaculer, c'est aussi offrir à mon corps ce qu'il peut éprouver de meilleur, ce qu'il peut connaître de plus beau. Quand j'éjacule, je fais cadeau à mon corps des plus merveilleuses sensations qu'il lui soit donné de vivre. C'est une fête pour tout mon corps, une fête d'amour et d'abandon total à la jouissance et au plaisir qui accompagne chaque giclée de Sperme qui jaillit de mon corps par l'extrémité du Gland de ma Verge en érection.

Pour cette sublime jouissance, pour ce plaisir merveilleux que je ressens quand j'éjacule, j'aime ma Verge. Je L'aime passionnément, je La vénère et La respecte avec gratitude et reconnaissance. Elle me procure les plus belles et les plus sensationnelles joies de la vie.

Quand j'éjacule, c'est toujours par la Masturbation. C'est, pour moi et mon corps, la plus riche et la plus belle expérience sexuelle ; c'est la plus complète aussi. En me Masturbant, je connais intensément toutes les gammes de sensations. La Masturbation me permet d'expérimenter toutes les subtiles variations du plaisir, des plus douces aux plus intenses.

Je n'éjacule pas à chaque fois que je me Masturbe. Le plaisir et les joies intenses de la Masturbation se suffisent à elles-mêmes, le plus souvent. Quand j'éjacule, c'est que je le veux et que je le désire profondément. À ce moment-là, quand je commence à me Masturber, je sais que j'irai jusqu'à l'éjaculation. Mais je prends mon temps, je ne suis pas pressé. Je profite de mon bonheur, de ma joie. Je laisse mon corps goûter et savourer chaque petite onde de plaisir.

Quand je décide de me Masturber jusqu'à me faire éjaculer, je me caresse lentement, tout doucement. Je caresse tout mon corps d'une main et de l'autre je caresse ma Verge tendrement et très très doucement. C'est merveilleux comme ça me fait du bien, comme mon plaisir est à la fois doux, profond et intense. Je peux me donner du plaisir pendant un long moment avant de me laisser aller à éjaculer.

Je peux me caresser ainsi pendant une heure et même plus. J'éprouve un plaisir indescriptible. Je sais merveilleusement bien faire durer mon plaisir. Depuis ma plus tendre enfance je me Masturbe et j'ai appris à m'aimer. Mon corps et ma Verge m'ont appris à m'aimer et à me faire vraiment beaucoup de bien. L'amour s'apprend, tous les gestes de l'amour s'apprennent. Les gestes de l'amour solitaire s'apprennent aussi. Se Masturber ça n'est pas un simple va-et-vient sur le Pénis en érection, c'est beaucoup plus que cela.

Se Masturber, c'est s'aimer soi-même, c'est se faire l'amour à soi-même. C'est faire l'amour à son corps. Et c'est ce que je fais, je fais l'amour à mon corps, je me fais l'amour, avec toute la tendresse, toute la douceur de l'amour. Et comme c'est bon, comme c'est tendre et doux ! Comme je suis heureux quand je m'aime !  J'ai du plaisir, beaucoup de plaisir, dans mon Pénis bien sûr, mais dans tout mon corps aussi.

Mon plaisir, je le vis, tout mon corps le vit. Ça me fait beaucoup de bien, mes râles et mes gémissements sont les signes indubitables de l'état de ravissement sexuel dans lequel je suis. Mon corps manifeste lui aussi sa joie en ondulant voluptueusement. Mes jambes pliées et écartées bougent au rythme de mes caresses sur ma Verge. J'ondule du bassin à la cadence du plaisir.

Ma Verge, Masturbée avec amour, témoigne aussi de mon bonheur. Un témoignage d'une grande sensualité, ukcamladdscf1549xl1.jpg autre signe indubitable de l'intensité de mon plaisir. Ce signe qui trahit ma joie s'écoule tout doucement du méat de mon Gland. Ma Verge semble pleurer, mais Ses larmes sont des larmes de joie intense. Elles apparaissent en scintillant au coin de la petite bouche de mon Gland. Tout d'abord, elles emplissent mon méat, puis elles coulent sur mon Gland ; larmes chaudes du plaisir brûlant qui m'envahit. Perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Douce rosée d'amour naissant, dans l'intimité profonde, au cœur de ma Verge et montant s'épanouir sur les lèvres béantes de mon Gland, trahissant mon intense bien-être.

La plupart du temps, je me Masturbe en utilisant une huile parfumée ; cela augmente considérablement l'intensité de mes sensations. C'est comme si je jouissais de manière continue sans éjaculer. Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis beaucoup plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Je bande aussi plus fort en me Masturbant avec de l'huile, ma Verge est très tendue, mon Gland d'une jolie et très sensuelle couleur violacée. Ça m'excite beaucoup de voir ma Verge bander aussi vigoureusement et j'en sens très fortement toute la tension dans mon bas-ventre.

Lorsque je me Masturbe avec de l'huile, je sens beaucoup mieux toutes les courbes subtiles de ma Verge. Je sens beaucoup mieux chaque partie de ma Verge en la massant. Mon Gland surtout, je perçois beaucoup plus précisément sa forme ainsi que la finesse et la texture délicate de sa peau. C'est d'une sensualité extrême et ça m'excite énormément. Mes yeux aussi ont leur part de jouissance, je vois ma Verge très tendue, mon Gland congestionné de désir. Comme avec l'huile, je me masse toute la Verge, je la vois toute brillante dans toute sa beauté. Elle est belle ma Verge, merveilleusement belle et excitante ! À cet instant précis, comme je L'aime ma Verge, comme je L'adore avec toute la reconnaissance que je sais lui témoigner !

Mon plaisir est très intense, je me fais vraiment beaucoup de bien en me Masturbant avec l'huile. Je suis très excité par ce que je vois, ma main, ma Verge tendue et ma main massant ma Verge. Je me masse la Verge avec des caresses amples et douces sur toute sa longueur, de lents va-et-vient de mon Gland à la racine, en tournant ma main légèrement à chaque mouvement descendant et montant le long de ma Verge. À chaque mouvement descendant, j'insiste sur les points les plus sensibles de ma Verge ; points rendus encore plus sensibles par l'huile.

Mon plaisir est d'une intensité telle que je mouille beaucoup plus. Les larmes de joie qui coulent du méat de undefined ma Verge sont beaucoup plus abondantes. Ça aussi ça m'excite beaucoup ! Elles sortent de la petite bouche béante de mon Gland à chaque fois que ma main remonte le long de ma Verge et elles coulent sur mon Gland en longs filets scintillants. Un détail important, c'est que les filaments de mouille qui coulent de ma Verge ne se mélangent pas avec l'huile. Je les vois donc continuer de s'écouler doucement tout le long de ma Verge, c'est merveilleusement excitant. Avec ma main qui masse mon Pénis, j'étale ma mouille, preuve de mon bonheur suprême, sur toute ma Verge. Voir mon Pénis mouiller autant ajoute à mon plaisir. Quand ma main remonte sur ma Verge et que je vois apparaître une nouvelle grosse larme de mouille, je gémis plus fort tellement ça m'excite. Et je suis au comble du bonheur de voir à quel point ma Verge est heureuse de mes caresses. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus et de mon Pénis, s'écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.

Plus je suis excité, plus mon Pénis émet de mouille et plus mon Pénis émet de mouille, plus je suis excité, c'est un cercle délicieusement vicieux, c'est génial. Bien entendu, quand je me Masturbe, mon Pénis est le plus souvent complètement décalotté. Avec l'huile, je tire bien la peau de mon Pénis vers la racine pour que le Gland, intégralement et complètement dégagé puisse profiter pleinement de chaque caresse subtile de ma main et de mes doigts. Mon Pénis ainsi décalotté bien à fond et la peau bien tirée en arrière, mon Gland est très impudiquement mais très érotiquement exposé à toutes les nuances de mes caresses.

Quand je dis impudiquement, c'est vrai que je suis dans une position et une situation très impudique. Je suis 11100452.jpg complètement nu, assis les jambes écartées et pliées ; mon Pénis en érection, décalotté à fond, bien dressé entre mes cuisses ouvertes. Je tire la peau de mon Pénis pour bien dégager mon Gland et l'exposer ainsi à mes caresses. Mon Pénis bande très, très fort et mon Gland est très gros, violet de désir, le méat bien ouvert et suintant d'une mouille abondante. Impudique oui, mais si extraordinairement excitant et très érotique. De ma main droite passée sous ma cuisse, je tends la peau de mon Pénis en le tenant à la base près du pubis et de ma main gauche je masse mon Pénis ainsi exposé et ne pouvant que subir mes délicieuses caresses. Mon Pénis ne peut ainsi que se soumettre à mes voluptueuses caresses et moi je ne peux que me soumettre au plaisir sublime qui irradie de mon Pénis dans tout mon corps. Oui c'est impudique, mais tellement délicieux, tellement jouissif ! Impudique oui, mais le bonheur à besoin d'impudeur, s'interdire l'impudeur dans l'intimité de la Masturbation, c'est s'interdire le bonheur dans ce qu'il peut apporter de meilleur dans la jouissance et le ravissement sexuel. Ceci est principalement vrai en ce qui concerne la Masturbation, car elle seule permet un abandon total dans une impudeur sans limites ni complexe. C'est ce qui fait, bien souvent, la supériorité de la Masturbation par rapport à toutes les autres formes d'activités sexuelles.

Je suis impudique à l'extrême et j'en suis très heureux. Mais je le suis pour moi et pour moi seul, c'est tout ce qui fait la magie de la Masturbation. Mon Pénis est ainsi exposé à mes caresses mais également à mes yeux, car je le regarde avec amour, désir et admiration. Tout mon corps est envahi par les sensations sexuelles les plus fortes et me voir aussi impudiquement exposé et en train de me Masturber et d'éprouver un très intense plaisir sexuel, me projette au summum du ravissement sexuel et de la jouissance.

Le plaisir le plus fort, je le ressens en deux points bien précis. Le premier se situe exactement entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma Verge ; le deuxième se situe à l'extrémité de mon Pénis, dans tout mon Gland.

Quand je parle de plaisir, je trouve que le mot est bien faible, pour désigner ces merveilleuses et subtiles sensations. Magnificence, ravissement, appelé communément " plaisir sexuel" ; c'est bien cela que j'éprouve quand je me Masturbe, mais c'est aussi beaucoup plus. Depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours été étonné et transporté par ce plaisir. À chaque fois que je le ressens, mon étonnement est toujours le même. À chaque fois c'est comme une découverte, un bonheur nouveau, une joie que je ne connaîtrais pas. À chaque fois que j'éprouve cette joie, j'ai l'impression que c'est la première fois. Chacune de mes jouissances sexuelles est une première fois et une première fois merveilleuse.

Chaque fois que je me Masturbe, je connais un bonheur total, un intense bonheur qui me ravit et ravit mon corps tout entier. Aucune partie de mon corps, si petite soit elle, n'échappe à cette joie suprême. Mon corps baigne dans le plaisir et la volupté.

Le plaisir prend sa source entre mes cuisses, principalement dans mon Pénis. Le point central, à la racine de mon Pénis, diffuse dans tout mon corps le plaisir le plus vif. En fait, c'est comme une boule, une boule de plaisir intense et chaud. Cette boule gonfle au fur et à mesure que mon plaisir grandit. Elle palpite, se contracte et se dilate, produisant à chacune de ses contractions et de ses dilatations, une puissante onde de plaisir. C'est comme un cœur qui bat, comme si ma Verge possédait son propre cœur qui se mettrait à vivre et à battre quand je la caresse.

Je la sens très distinctement cette boule. Au début, quand je commence à me Masturber, elle se réveille ; le cœur de ma Verge se met à battre. Le cœur de mon Pénis renaît de mes caresses et commencent les merveilleuses palpitations d'amour qui me ravissent. Les premières contractions sont brèves et espacées les unes des autres ; leur intensité est très douce. Graduellement elles vont s'accentuer au rythme de mes va-et-vient le long de ma Verge. Chaque massage de mon Gland vers la racine de ma Verge déclenche une ou plusieurs contractions, en même temps que s'arrachent à ma gorge des râles et des gémissements, témoins évidents du plaisir que je me procure et de l'intense bien que ça me fait.

Au même rythme que les battements du cœur de ma Verge, des ondes de plaisir remontent tout le long de ma Verge et se diffusent intensément dans mon Gland. Cette sensation particulièrement agréable vient ajouter à mon bonheur de la vision de mon Gland tendu et gonflé à l'extrême par le plaisir. C'est une des merveilleuses douceurs de la Masturbation que de "voir" impudiquement ma Verge et mon Gland ainsi exposés à mon regard, et de "ressentir" en même temps le plaisir intense qui monte dans ma Verge et mon Gland. La conjugaison des sensations envahissant mon Sexe et la vue de mon Sexe à l'intérieur duquel je ressens le plaisir me ravit au-delà de tout.

C'est merveilleusement beau et bon à la fois. C'est d'un érotisme d'une intensité inouïe. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Tout mon corps est à la fête ; je bouge beaucoup et toujours au rythme des caresses de ma main sur ma Verge. J'ai du plaisir, je me fais du bien, beaucoup de bien.

Je ne cesse de fixer intensément mon Pénis tendu par une puissante érection. Je fixe surtout mon Gland complètement dilaté par le plaisir. Le méat, au bout de mon Gland, est superbement ouvert et luisant, entièrement baigné d'une mouille abondante qui ne cesse de couler de ma Verge amoureusement caressée. Je mouille beaucoup et j'aime quand je mouille comme ça. C'est pour ma Verge, sa façon de me dire son bonheur.

Je suis heureux, merveilleusement heureux dans ces moments-là. Tout mon corps exprime mon bonheur et ma joie. Mes gémissements, mes râles de plaisir, tout mon corps qui bouge au rythme des savantes caresses que je me fais à la Verge, mon Gland luisant de mouille s'écoulant du méat béant de ma Verge, tout dit mon plaisir, tout dénonce mon intense bonheur et la joie qui me ravit.

Il arrive parfois que l'écoulement de plaisir de ma Verge soit si abondant que je n'ai pas besoin d'utiliser de l'huile ; j'étale alors ces larmes de joie qui coulent de ma Verge sur mon Gland pour le masser tendrement. C'est très excitant de voir ma Verge mouiller aussi abondamment et de voir qu'il y en a tellement que je peux lubrifier tout mon Gland. J'aime aussi beaucoup recueillir la mouille de ma Verge en la pressant sur toute sa longueur, depuis la racine jusqu'au bout de mon Gland, pour la goûter. Je la recueille avec un doigt de la main droite en pressant bien sur mon Gland et mon méat de la main gauche et je dépose cette précieuse offrande de ma Verge sur le bout de ma langue. C'est chaud, un peu salé et liquoreux, j'adore !

Cette sécrétion liquoreuse qui perle au bout de ma Verge quand je me Masturbe est la plus excitante, la plus belle, la plus émouvante et la plus tendre preuve de mon suprême ravissement. Ce qui m'émeut le plus dans ce doux témoignage de mon plaisir, c'est que c'est de ma Verge qu'il s'écoule ; ma Verge que je Masturbe, que je caresse amoureusement ; ma Verge qui me procure le plus merveilleux de tous les plaisirs, ma Verge qui me fait énormément de bien.

  undefined Ma Verge que j'aime intensément. Ma Verge que j'aime passionnément. Ma Verge qui n'attend que mes caresses et ma tendresse pour me plonger dans l'ivresse. Ma Verge, généreuse donatrice de mes joies les plus belles, de mes plaisirs les plus sublimes, depuis ma plus tendre enfance. Ma Verge qui me rend si intensément heureux et qui, comble de ma joie, me dit Son bonheur de la plus douce et de la plus tendre manière, en faisant perler au coin des lèvres de la petite bouche de son Gland, ses chaudes et amoureuses larmes d'amour et de joie. Oui, ce doux et merveilleux témoignage du bonheur de ma Verge d'amour, alors que c'est plutôt à moi de lui témoigner mon bonheur, m'émeut et me trouble à un point que je ne saurais exprimer. Comment ne pas éprouver un amour sans limites et vouer une reconnaissance sans borne envers ce petit être merveilleux d'amour et de tendresse, bien loin de n'être qu'un sexe. Seul un authentique et merveilleux être d'amour peut prodiguer autant de bonheur et de joie. Ma Verge n'est pas qu'un sexe ou "que mon sexe", elle est l'authentique et véritable être d'amour de ma vie. Cela n'empêche nullement de partager cet amour, bien au contraire.

Ces amoureuses pensées qui m'envahissent sont celles que mon plaisir fait naître dans ma tête et dans mon cœur. Elles se nourrissent des larmes de rosée d'amour que ma Verge pleure pour me dire sa joie et son bonheur. Et je lui dis la mienne en gémissant mon plaisir, en râlant ma joie, en dansant mon bonheur de tout mon corps. Je lui dis mon ravissement en la caressant avec une infinie tendresse, une infinie douceur, en la Masturbant avec amour et reconnaissance. Ma Verge me fait l'amour, et je fais l'amour à ma Verge.

Petit être gorgé d'amour, tu fais de moi un homme gorgé de plaisir et de joie. Tu fais de mon corps le temple du plaisir et du ravissement. Et je veux m'immoler pour toi sur l'autel de la jouissance, quand tu me prendras pour me donner ta semence d'amour. Oui, ma Verge d'amour, je t'aime !

Je suis envahi de toutes ces merveilleuses pensées qui naissent de mon plaisir. Je suis sur un nuage de douce joie. Plus rien de compte que mon plaisir, ma Verge que je Masturbe amoureusement et le ravissant bonheur que j'en ressens.

Je suis tout à ma joie et à mon ravissement. J'écarte un peu plus mes cuisses, comme pour m'offrir image_3181103.jpg d'avantage à ma Verge et au plaisir qui augmente et envahit tout mon corps. Je contemple ma Verge érigée, bien droite entre mes cuisses ouvertes. Je La regarde avec amour et dévotion, tant Elle me donne de jouissance. Je La vois toute luisante d'huile et scintillante des larmes de Sa joie qui s'écoulent de Son méat béant, d'où elles sortent, petites perles de joies, puis s'étirent en longs filaments brillants, sur mon Gland dilaté et paré d'une très jolie couleur violette. C'est une vision d'amour qui me réjouit et m'emplit de fierté et d'amour pour ma Verge bien-aimée.

Le cœur de ma Verge palpite un peu plus. Mes caresses s'accentuent sur les points les plus voluptueusement sensibles de ma Verge. En particulier sur toute la surface de mon Gland dont l'huile me fait très nettement percevoir la subtilité et la douceur des courbes qui le dessinent, ainsi que la texture d'une douceur extrême de sa peau. Mes caresses se précisent également sur toute la partie du corps de ma Verge qui se situe immédiatement sous mon Gland, tout autour. C'est suprêmement délicieux de chaque côté du frein, ce très joli petit filet de peau qui relie mon prépuce à mon Gland. C'est également délicieusement agréable sur toute la couronne de mon Gland ainsi que dessous et de chaque côté ; ce dernier point très sensible est constitué en fait d'une multitude de points extrêmement sensibles qui se situent sur la partie de ma Verge qui est vers mon ventre. Là, c'est vraiment très, très bon et je dois me forcer pour insister sur ces endroits très sensibles de ma Verge car la jouissance est à la limite du supportable.

060616da05-copie-1.jpg Pour accentuer mes caresses, je pose mon Gland dans le creux de ma main gauche, et je place mon pouce sur la couronne de mon Gland de manière à ce qu'il aille stimuler également juste sous la couronne. Je fais alors un lent mais très appuyé mouvement circulaire avec mon pouce. Cette caresse m'envoie littéralement en l'air. En même temps, cette caresse à cet endroit précis de ma Verge, provoque des ondes de plaisir très fortes vers la racine de ma Verge, exactement à l'endroit précis où je perçois les voluptueux battements du cœur de ma Verge. J'ai la sensation très nette que ces points très sensibles de ma Verge irradient vers son petit cœur et que mes caresses hautement précises le font battre subitement plus fort. C'est la stimulation la plus intense, la plus jouissive que je connaisse.

Quand je me caresse de cette manière au cours d'une Masturbation, je ne peux le faire que pendant un court moment, car c'est réellement une sensation tellement forte que c'est très difficilement supportable si j'insiste. Ça me fait gémir et râler beaucoup plus et surtout ça me fait bouger, je devrais dire, m'agiter dans tous les sens. En fait, tout mon corps s'agite follement autour d'un point central, ma Verge et le plaisir qui en irradie. C'est une sensation inouïe qui déclenche également un accroissement soudain de la lubrification de ma Verge qui s'écoule abondamment du méat, petite fente d'amour, au bout de mon Gland.

Par ces merveilleuses caresses, je parviens à un niveau supérieur d'excitation et je masse ma Verge avec une intensification de mes mouvements. Je serre ma Verge plus fort, je me Masturbe avec des mouvements plus amples. Je monte et descends le long de ma Verge, du bout de mon Gland jusqu'à mon pubis, en accentuant chaque aller et retour sur ma Verge par un mouvement tournant de ma main. Ainsi, chaque petit millimètre carré de ma Verge est stimulé. À ce stade de mon excitation, mon bassin accompagne chaque mouvement de ma main sur ma Verge, comme pour L'offrir encore mieux à mes caresses. Quand ma main descend le long de ma Verge, mon bassin se projette doucement en avant, accentuant encore plus l'exposition de ma Verge à ma main. C'est une véritable danse d'amour de mon corps autour de sa "Reine de plaisir et d'amour ", ma Verge.

À ce stade de, ce que je n'hésite pas à appeler, ma relation sexuelle avec moi-même et avec ma Verge, je suis totalement concentré sur mon plaisir. Mon esprit et tout mon corps convergent vers mon Pénis. Je regarde intensément ma Verge, vision d'un érotisme extrême mêlé de tendresse et d'amour. Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne laissent aucun doute sur l'intense plaisir que je l'on se donne, mon Pénis et moi.

Ma main descend et monte plus vite sur ma Verge. Je projette mon bassin en avant à chaque mouvement descendant de ma main sur ma Verge. Entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge, la boule palpitante de plaisir chaud se contracte et se dilate avec une force grandissante au fur et à mesure de mes caresses. Chaque contraction de ce petit cœur de ma Verge fait irradier dans tout mon corps des ondes de plaisir d'une volupté intense. C'est une sensation, à la fois de plaisir, de chaleur intense et de pression au bord de l'éclatement.

Les contractions sont plus longues, plus amples et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. C'est réellement un cœur qui bat, un cœur qui palpite même, c'est délicieux. Dire que j'ai beaucoup de plaisir serait bien peu ; ça me fait du bien, énormément de bien !

Une personne entrerait à ce moment-là, elle verrait un homme en proie au plus intense plaisir et vivant un immense bonheur. Oui, je me rends heureux au-delà de tout ce qu'il est humainement possible de décrire. Une fusion totale de mon corps et de mon esprit. Tout de moi est plaisir et volupté ; je ressens une jouissance continuelle, à la limite du supportable. Miracle et immense bienfait de la Masturbation, qui offre à mon corps et à mon esprit les plus merveilleuses et les plus voluptueuses sensations physiques de la joie sexuelle.

J'accélère mes caresses sur ma Verge. Mon bassin ondule de plus en plus fort, au rythme des palpitations grandissantes du cœur de ma Verge. Mes gémissements et mes râles s'intensifient. Je vois s'écouler du méat de mon Gland la mouille liquoreuse que ma Verge sécrète abondamment. Cette vision m'excite au plus haut point, tant elle témoigne de mon bonheur et de celui de mon Pénis.

Je m'abandonne totalement à mon plaisir. Je sais que je vais vers l'apothéose du bonheur, vers le summum de la volupté. Je vais offrir à mon corps, et je vais m'offrir, ces merveilleuses, ces sublimes sensations ; le sublime plaisir de l'orgasme. Bonheur suprême de l'expérience sexuelle la plus riche et la plus totale qui soit : la MASTURBATION.

Je fixe ma Verge, le bout surtout, mon Gland et plus particulièrement le méat baigné des chaudes larmes de la joie qui La submerge. Instinctivement, mon corps se plie, ma tête se rapproche de mon Pénis. Mes cuisses s'écartent au maximum. Les mouvements amples de ma main sur mon Pénis se font plus lents, mais plus précis. Les palpitations du cœur qui bat dans la racine de mon Pénis deviennent saccadées, les contractions et les dilatations sont continuelles. Je râle plus fort à chaque mouvement de ma main du méat vers la base de mon Pénis. Tout mon corps danse amoureusement son plaisir.

Dans la racine de ma Verge, la boule de son cœur, que je sens gonflée à éclater, me procure un intense plaisir chaud, qui devient brûlant ; signe indubitable que je suis au bord de l'orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais Jouir, je vais Éjaculer, je vais Juter et ça va me faire suprêmement du bien.

Ma Verge palpite, mon Gland violet d'excitation est dilaté à l'extrême. Les palpitations du cœur de ma Verge deviennent très amples, des palpitations profondes et brûlantes. Je ralentis encore mes caresses sur ma Verge, tout en les faisant plus précises, sur mon Gland, la couronne de mon Gland et tout autour juste sous mon Gland.

Je sens que je vais venir, La boule, dans la racine de ma Verge se dilate ; cette dilatation me fait pousser un long râle de plaisir. Puis elle se dilate encore, puis encore. Je fixe mon Gland, ce que je ressens est extraordinaire. Ça vient, oui ça vient ! Ho ça y est, Je JOUIS ! Je vais JUTER, je vais EJACULER !

undefined Une série de violentes contractions de la boule, dans la racine de ma Verge, me fait écarter mes jambes au maximum. Je projette ma tête vers mon bassin en me pliant en deux. Ça me brûle dans la racine de ma Verge, c'est sublime ! Je pousse un long gémissement rauque…

Et la boule éclate ! Je perçois avec une grande intensité cette explosion de la boule dans la racine de ma Verge. En même temps que je ressens cet éclatement, une très vive sensation de plaisir brûlant envahit la base de mon Pénis et le fait se dilater à l'extrême. Je la vois en même temps que je la ressens cette dilatation ; mon Gland se dilate aussi, faisant s'ouvrir le méat, dont la béance annonce l'imminence de mon éjaculation.

En fait, mon éjaculation a déjà commencé. Le merveilleux plaisir brûlant qui vient de baigner subitement la base de ma Verge et que je perçois avec une netteté extrême, c'est la projection de mon Sperme dans le bulbe de ma Verge. C'est la sensation la plus voluptueuse de l'orgasme : la première phase de mon éjaculation. Celle qui noie toute la partie de l'urètre, à la base de mon Pénis, de la semence qu'Il va éjaculer.

C'est cette phase de l'arrivée de mon Sperme sous pression dans la base de mon Pénis qui m'arrache ce long et, ô combien expressif, râle d'intense satisfaction ; signe de ma délicieuse jouissance. Je perçois également très nettement la dilatation subite et intense de la base de mon Pénis. Je la perçois comme une pression subite, vive et brûlante, d'une extraordinaire volupté. J'essaie de prolonger le plus possible cette merveilleuse sensation par un contrôle momentané des muscles qui enserrent la base de mon Pénis. Ce prolongement est extrêmement difficile à maintenir, mais tellement jouissif ! Prolonger cette phase est d'autant plus jubilatoire, que je sais qu'au moment où je vais relâcher mes muscles, je serai secoué des secousses spasmodiques de l'éjaculation de mon Sperme par ma Verge d'amour.

Je fixe le méat de mon Gland. Je relâche mes muscles que je ne peux contrôler qu'une ou deux secondes ; une ou deux secondes de paradis !

La base dilatée de mon Pénis se contracte. Je sens mon Sperme brûlant monter et traverser mon Pénis. Je projette mon bassin vers l'avant en même temps que je sens et que je vois jaillir du méat béant de mon Gland au bout de mon Pénis, le premier jet de Semence. Première giclée d'amour de la chaude Semence de Vie de ma Verge heureuse.

Moi aussi je le suis heureux ! Voir, admirer, contempler mon Pénis, ma Verge d'amour en train d'éjaculer ! Regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche béante de mon Pénis ! je suis HEUREUX ! ! !

Contempler les giclées de ma Semence qui jaillissent en jets brûlants de mon Pénis congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de mon bonheur sexuel.

Chaque jet de Sperme giclé par ma Verge m'arrache un long gémissement rauque. Au moment exact où un jet de Sperme est en train de sortir et de jaillir du bout de ma Verge, je projette mon bassin en avant. C'est l'intense plaisir que me procure la sensation du jet de mon Sperme traversant ma Verge et giclant en l'air quand il sort du méat, qui me fait instinctivement projeter mon bassin en avant et pousser ce long gémissement rauque ; gémissement de jouissance, gémissement d'orgasme, volupté suprême de l'éjaculation.

Dès que le premier jet est en train de sortir, la base de mon Pénis se dilate puis se contracte de nouveau aussitôt et je sens monter un autre jet de Semence que je vois aussitôt jaillir du bout de mon Gland, me secouant de nouveau d'un plaisir indicible et me faisant gémir voluptueusement de joie.

3 ou 4 puissants jets de Sperme jaillissent de ma Verge, me faisant jouir avec une intensité inouïe. Chaque jet me fait énormément de bien dans la Verge. Je jouis, j'éjacule et ça me fait beaucoup de bien au Pénis. Mon plaisir est principalement concentré dans ma Verge ; très fort dans la racine, tout le long de ma Verge et très fort également dans mon Gland. Le plaisir irradie aussi dans mes boules qui sont remontées pendant la montée de mon plaisir et qui se sont plaquées contre la base de ma Verge dès la première contraction qui a projeté mon Sperme dans le bulbe de l'urètre, à la base de mon Pénis.

Je contemple chacun des jets de mon Sperme qui gicle de ma Verge en fixant intensément mon Gland durant toute mon éjaculation. Pendant que j'éjacule, je Masturbe ma Verge plus lentement qu'avant d'éjaculer. En fait, quand je sens que la boule va éclater et que le bulbe de ma Verge est sur le point d'être noyé par mon Sperme, je ralentis nettement mon va-et-vient pour bien percevoir toutes les délicieuses sensations de mon orgasme et de l'éjaculation qui vont me secouer.

Quand j'éjacule, ça me fait énormément de bien dans toute la Verge ; depuis la racine, profondément enfouie sous mes boules entre mes cuisses ; jusqu'à mon méat, au bout de mon Gland. Chacun de mes jets de Sperme me fait très intensément du bien dans tout le Pénis. C'est merveilleux comme ça me fait du bien ! Beaucoup de bien ! Merveilleux comme je sens bien chaque jet qui monte dans ma Verge ! Merveilleux comme je sens et je vois bien chacun de mes jets quand il sort du bout de mon Gland, de mon méat, dilaté pour laisser mon Sperme gicler, pour que je puisse éjaculer ma Semence et en admirer chaque chaude giclée ! Merveilleux comme je projette mon bassin à chaque giclée de Sperme que j'éjacule ! Merveilleux comme je gémis longuement à chaque giclée de Semence qui jaillit de Mon Pénis.

Merveilleux comme je jouis ! Merveilleux comme j'éjacule en gémissant mon plaisir à chaque fois que je sens un jet de Sperme traverser ma Verge, puis jaillir de mon Gland ! Ô oui, C'EST MERVEILLEUX DE JOUIR ! MERVEILLEUX D'ETRE SECOUE PAR LES SPASMES DE MON ORGASME ET DE MA JOUISSANCE TOUT EN ME REGARDANT EJACULER EN FIXANT MA VERGE ! MERVEILLEUX DE REGARDER MON PENIS ET DE ME VOIR EN TRAIN D'EJACULER EN ETANT SECOUE DE PLAISIR !

000103an01-copie-1.jpg Les 3 ou 4 premiers jets de mon éjaculation sont les plus puissants, les plus jouissifs et aussi les plus spectaculaires. Ils sont d'une grande intensité, tant dans le plaisir jubilatoire qu'ils procurent et les violentes réactions de plaisir qu'ils provoquent, que dans la force avec laquelle ils sont éjaculés par ma Verge ; cette force projetant mon Sperme à 50 cm, parfois plus, en l'air au-dessus du méat de mon Gland. Au moment d'éjaculer, je ramène toujours ma Verge de manière à ce qu'elle soit bien droite, à la verticale de mon corps ; cette position met très en valeur, à la fois mon Pénis, et les jets de Semence qu'Il est en train d'éjaculer en me faisant jouir.

Les jets suivants sont d'une intensité moindre, bien que le plaisir undefined des contractions orgasmiques qui les font jaillir en me secouant soit toujours très intense. Ces jets moins puissants jaillissent à 10 ou 15 cm de l'extrémité de mon Pénis. Bien que moins puissants, ces jets de Semence m'arrachent toujours un gémissement rauque de satisfaction et je continue de projeter mon bassin en avant jusqu'à la fin des contractions de mon orgasme. J'éjacule 4 ou 5 de ces petits jets, chacun me procurant une jouissance très intense, mais sensiblement moindre que les puissants jets du début de mon éjaculation.

Je continue de me Masturber en ralentissant mon va-et-vient le long de ma Verge, au fur et à mesure que j'éjacule. Les dernières contractions de ma Verge font s'écouler ce qui reste de Semence en Elle en grosses larmes chaudes qui coulent du méat de mon Gland, puis sur mes doigts et dans les poils de mon pubis. Ces dernières et ultimes contractions de faible intensité me font encore beaucoup de bien. Chacune me fait gémir et me contracter en projetant mon bassin en avant. À cet instant de ma jouissance, je commence à serrer puis à desserrer alternativement mes jambes, en contractant mes cuisses et mes fesses, surtout les muscles qui enserrent ma Verge à la base. Ces contractions sont instinctives, très jouissives et je les ressens jusqu'au plus profond de la racine de ma Verge. Ces contractions font se vider complètement le bulbe à la base de ma Verge et expulsent en larmes chaudes ce qui reste de Semence dans mon Pénis. Bien souvent j'accompagne ces contractions par un resserrement de ma main sur ma Verge. Resserrement que j'accentue quand je remonte ma main de la base de ma Verge vers l'extrémité de mon Gland ; mes doigts remontent complètement jusqu'à l'extrémité de mon Gland pour vider ma Verge des quelques gouttes de Sperme qui restent en Elle.

Ces ultimes contractions, accompagnées des dernières petites larmes de mon Sperme s'écoulant lentement du bout de mon Gland, me procurent une série d'ondes de plaisir très doux et tendre. Plaisir qui me fait gémir doucement, mais provoque des spasmes de tous mes muscles et qui, bien souvent me font tressaillir de plaisir, frissonner de bonheur. Ma main serre doucement ma Verge, je la presse depuis la racine, en appuyant sur le bulbe, jusqu'au méat pour bien La vider du peu de Semence qu'il lui reste ; et qu'il me reste à l'intérieur de ma Verge. Je perçois très distinctement la présence des derniers petits flocons de Sperme dans mon Pénis et, en le pressant pour les faire sortir, je les sens nettement remonter tout le long de l'urètre à l'intérieur de mon Pénis, pour les voir sortir ensuite de mon méat ; c'est très tendre comme geste et très doux pour ma Verge et pour moi-même.

Je suis bien, extraordinairement bien. Je viens de vivre un plaisir sublime. Je viens de connaître le ravissement suprême qu'est l'amour de moi-même et de ma Verge par le merveilleux plaisir de la Masturbation.

Michael--Caps--81.jpg Mon corps est maculé des petites flaques de ma Semence. J'adore sentir ma Semence d'amour, mes jets de Sperme retomber sur ma poitrine et mon ventre dès qu'ils ont jailli de ma Verge. C'est très érotique ; et puis mon Sperme, c'est un don d'amour de ma Verge, un don sacré qu'Elle me fait en me gratifiant d'un plaisir sublime et d'une JOIE SUPRÊME. Alors, j'aime le sentir sur moi, le sentir couler sur mon corps, le sentir s'écouler le long de ma Verge qui vient de me l'offrir ; puis le sentir couler dans les poils de mon pubis. J'adore la sentir, ma chaude et liquoreuse Semence de Vie. Mon Sperme d'amour et le plaisir qui me fait tant de bien quand il gicle de mon Pénis d'amour.

undefined Les derniers spasmes me secouent. Je penche ma tête sur le côté, mes jambes se détendent, tout mon corps se détend en un ultime spasme libérateur. J'ai joui, Michael--Caps--83.jpg je me suis fait et je me suis donné un plaisir MERVEILLEUX. Comme je suis bien… et HEUREUX… !

Heureux ! Ô oui je le suis ! Heureux et bien. Comme c'est bon de se Masturber, de se faire beaucoup de bien en caressant son Sexe !

"Ô ma Verge d'Amour, Merci ! Merci pour ce merveilleux bonheur que tu viens de me faire connaître une fois encore. Comme tu m'as fait du bien, ma Tendre et Douce Verge d'Amour ! JE T'AIME ! JE T'AIME, MON PENIS ADORE, MON ZIZI CHERI ! Je t'Aime mon Doux et Tendre Zizi."

Je ne bouge 130_8-copie-1.jpg pas, je profite de la douce léthargie dans laquelle le plaisir me fait baigner. Ma Verge s'est ramollie tendrement dans ma main, comme si Elle s'y était couchée. C'est très tendre et si beau. Je La garde comme ça, décalottée et comme endormie dans ma main. Elle est toute mouillée de son Sperme, de sa Semence d'amour qu'Elle a éjaculé en me faisant jouir très fort.

Je pense aux instants merveilleux que je viens de vivre, au sublime plaisir que je viens de me donner. Les yeux fermés, je revois ma jouissance, j'entends mes râles, mes gémissements de joie. Je me revois en train d'éjaculer, mon Sperme giclant du bout de ma Verge en longs jets chauds ; chacun me faisant râler de ravissement. Ravissement de ma Semence traversant ma Verge en me faisant du bien très fort ; puis jaillissant du méat béant, au bout de mon Gland, en longs jets d'amour et de plaisir.

Sublimes secousses de l'orgasme ; merveilleuse jouissance sexuelle de mon corps agité par les spasmes de l'éjaculation. Volupté suprême de l'amour en solitaire, bonheur intense de la MASTURBATION.

Je revois, je revis mon bonheur. Je m'étonne, une fois de plus et comme à chaque fois, de l'intensité du plaisir que je viens d'éprouver. Comme je suis heureux de pouvoir me faire du bien aussi intensément. Comme je suis heureux de voir à quel point je peux me faire du bien en me Masturbant et en me caressant le Pénis. C'est fantastique de pouvoir se faire du bien tout seul et d'atteindre un tel niveau de plaisir. Je suis en totale admiration devant ce merveilleux cadeau de la Nature. Délicieuse Nature qui m'a donné un Pénis doté du miraculeux pouvoir de me prodiguer le plus grand des bonheurs. Merveilleux pouvoir de mon Pénis de me transporter de plaisir et d'y ajouter, ô merveille, la jouissance des yeux à celle des sens, par cette vision sublime que sont mes jets de Semence Giclant de mon Pénis heureux.

Éjaculation, merveilleuse matérialisation de ma jouissance sexuelle, mais aussi, incontestable dénonciation de l'intense ravissement dans lequel me plonge le plaisir de chacun de tes jets jaillissant de ma Verge impudiquement secouée des spasmes de mon orgasme.

Impudique et érotique basculement de mon bassin d'avant en arrière au rythme des giclées de ma Semence. Grandeur et merveille du plaisir sexuel engendré par la Masturbation. Beauté de mon corps spasmé par les secousses de la jouissance et de l'éjaculation.

Mes pensées sont toutes au plaisir que je viens de vivre. Je suis bien, détendu et heureux de mon bonheur. Je m'enfonce tout doucement dans le sommeil et une douce torpeur. Je suis sur un nuage de bien-être et de sérénité.

Je m'endors, repu de plaisir et de jouissance. Un sourire se dessine sur mes lèvres ; sourire de bonheur et de reconnaissance pour ce corps si fragile dans la souffrance, mais si fort dans la jouissance. Merci mon corps, merci mon Pénis d'amour, merci la Vie, merci MA VIE.


 

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : 100 % Gay Sex
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La cuisine au sperme !

 

Pour nous aider à surmonter notre dégoût du sperme,  Paul “Fotie” Photenhauer, 37 ans, gay, infirmier à San Francisco a eu l’idée d’écrire un livre de popotte pour le moins original, « Natural Harvest » (récolte naturelle), dont toutes les recettes contiennent du sperme. Pour les néophytes en la matière, il est conseillé de commencer par intégrer le sperme à une simple omelette, car celui-ci se cuisine comme le blanc d’oeuf. Par contre, les desserts et les cocktails soulignent davantage le goût particulier du liquide. Et pour ceux qui trouvent encore cela rebutant, il faut savoir que le sperme est très nutritif et peu calorique (10 calories / cuillerée à thé). Il contient du fructose, des protéines, des minéraux (magnésium, phosphore, potassium) et des vitamines (B12, C).


Bien entendu, il est préférable de le consommer frais, ou au maximum deux jours après sa production, afin de profiter de toutes ses qualités nutritionnelles. Vous pouvez aussi le conserver au congélateur, mais sa texture risque de se détériorer légèrement. Autre avantage, et non des moindres : le sperme ne coûte rien. Il est possible d’en trouver assez facilement, pour peu que l’on s’adresse à la personne du bon sexe…». Mais le plus important, bien sûr, c’est que le sperme aurait le don polisson de réveiller les ardeurs des plus sages d’entre nous.
 
Pour Paul, cet amoureux de la gastronomie, « le sperme est un ingrédient aphrodisiaque qui donne un effet de surprise intéressant à chaque plat » et  quoi de plus excitant que d’inviter Jules à un petit dîner aux chandelles et de lui faire goûter les yeux bandés, un petit plat affriolant, forcément préparé avec beaucoup  d’amour !!!
 
Tous ceux qui ont un peu voyagé savent que des choses répugnantes chez nous sont considérées, ailleurs, comme de purs délices. Les Suédois ont adopté un poisson pourri comme plat national. Les Péruviens font griller des hamsters au dîner, les Anglais adorent leurs saucisses au sang et les Américains consomment chaque jour des litres de sécrétions produites par les glandes mammaires des vaches. Aujourd’hui, on a droit à la cuisine au sperme, qui se décline en des plats divers et variés. Les recettes les plus populaires sont bien sûr celles où l’on ne sent presque pas le sperme. Les cocktails par exemple, fournissent une parfaite entrée en matière érotique. Dilué dans un verre d’Irish Coffee “with extra cream” ou dans une coupe multicolore de “Strawberry Splasharita", le sperme n’est plus guère qu’une sorte de “petite touche personnelle excitante”, inodore et invisible…
 
Passons ensuite aux mises en bouche : brochettes de saumon “vernies” (recouvertes d’une pellicule brillante et caramélisée de sperme), caviar “légèrement salé” (ou tarama amélioré)… « Voilà une manière rigolote d’entamer un repas, explique Paul. Les fruits de mer et les poissons s’entendent très bien avec le sperme et en plus, ils partagent avec lui ce côté stimulant pour l’imagination : on pense aux tentacules, aux ventouses, aux œufs, aux huîtres, aux moules…».
 
Mais la cuisine au sperme est surtout une question d’assaisonnement et de mise en ... bouche ! Le but du jeu n’est pas de transformer le sperme en ingrédient banal, rangé au frigidaire à côté de la mayonnaise… Non, il s’agit bien plutôt de redonner au sperme son pouvoir de séduction. « Ce livre de cuisine a été créé pour des dîners  entre adultes consentants, précise l’introduction du livre. S’il vous plait, ne mettez pas de sperme dans le repas de vos invités sans les en informer ». Petit détail : le virus du VIH meurt au contact de l’air. Il n’y a donc aucun risque si le sperme est mélangé à des aliments.
 
Pour ceux qui auraient encore quelques appréhensions, sachez que le sperme rendrait heureux. Selon une étude de la State University of New York, les hommes qui ont été en contact avec le sperme de leur partenaire sont plus heureux que les autres. Alors, à vos fourneaux !
 
Le saviez-vous ?
 
Selon une enquête réalisée par la BBC , l’alimentation influencerait le goût du sperme. Trois couples ont ainsi fait office de cobayes. Durant trois jours, les hommes ont en quelque sorte « remis à zéro » le goût de leur semence en ne consommant pas d’alcool, pas de nourriture épicée et aucun aliment au goût fort (asperges et ail, par exemple).
 
 Chacun d’entre eux s’est ensuite vu attribuer un régime particulier à suivre le plus fidèlement possible (sans que leur moitié soit au courant du contenu de leur assiette) : épicé pour le premier, iodé pour le second, fruité pour le troisième, ces dames ont-elles remarqué, le lendemain matin, un changement dans l’odeur et dans le goût du sperme de leur conjoint ?
Seule l’une d’entre elles s’est trompée, après beaucoup d’hésitations. Cependant, dans tous les cas, elles ont toutes affirmé avoir remarqué une différence, tant au niveau de l’odeur qu’au niveau du goût.
 
Pour résumer, en cas de régime végétarien strict, le sperme de votre Jules pourrait avoir le goût d’un bon bouillon de légumes. Cette situation appréciée en hiver, peut-être agréablement remplacée en été par une consommation de fruits de saison, donnant une saveur rafraîchissante. Il est à noter, qu'une consommation exclusive de chips, donne un goût étonnant de bacon fumé, idéal à l'heure de l'apéro !

 

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