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  • : Bienvenue sur jusdequeues ! Vous ne verrez ici « queue » du sperme, de la jute, du foutre, du jus, du jus d’homme, du liquide séminal, de la liqueur spermatique, du sirop de corps d’homme, du yop… J’ai en effet décidé de montrer ce que j’aime trouver sur le web. Et ce que je préfère c’est la bite et surtout le sperme. Quoi de plus excitant qu’une belle bite gonflée de désir en train de juter ? Quoi de plus excitant qu’une bonne giclée de foutre sur n’importe quelle partie du corps ?
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  • J'adore sucer de belles bites bien juteuses...

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DaddiesBoySquare

 

Le jus de queue

 

Le jus de queue est une combinaison de plusieurs fluides, les spermatozoïdes produits par l'épididyme, le liquide prostatique, le liquide produit par les vésicules séminales et les sécrétions des glandes de Cowper. Le mélange ne se produit que dans les fractions de secondes qui précédent l'éjaculation.

Une éjaculation représente en moyenne 2 à 5 millilitres.

La densité normale de spermatozoïdes serait comprise entre 20 et 200 millions par millilitre.

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Histoires

Vendredi 6 juin 5 06 /06 /Juin 07:00
Ce soir là, nous revenions d'un week-end à la campagne, mon père, ma mère, ma soeur et Bernard, un voisin.
Mes parents étaient assis à l'avant, tandis qu'à l'arrière Bernard s'était assis au centre.
La nuit était tombée, ma mère et ma soeur s'étaient assoupies, et mon père écoutait les dernières nouvelles à la radio, conduisant en silence.
A moitié endormi, je regardais par la fenêtre les lumières de la nuit défiler. Bernard était un peu plus âgé que moi, il devait avoir à peu près 25 ans (j'ai 19a pour ma part). Il faisait des études d'ingénieur à la fac.
Il habitait une chambre sous les toits dans un immeuble voisin du nôtre.
Mes parents l'invitaient souvent pour le week-end à la campagne. Ils l'aimaient bien et je le trouvais plutôt sympa. Nous avions de longues conversations sur tout un tas de sujets.
Une fois il m'avait demandé si j'avais une petite amie, mais comme ce n'était pas le cas, je n'y avais pas prêté d'importance. Je ne l'avais jamais vu avec une fille non plus, seulement des copains avec qui il devait étudier dans sa chambre.

Curieusement, alors qu'il y avait de la place, il s'était collé à moi sans doute pour ne pas gêner ma soeur qui sommeillait à l'autre bout de la banquette.
Son bras était contre le mien et, comme nous étions en chemisette, je sentais la chaleur de sa peau contre la mienne.
Soudain, à la faveur d'un virage négocié un peu rapidement par mon père, il posa la main sur ma cuisse pour prendre appui afin de ne pas être déporté. Elle y resta.
Je sentais sa chaleur à travers le tissus de mon pantalon. Il resta longuement, la main posée sur ma cuisse exerçant des pressions comme pour me pétrir la cuisse. Il me caressait doucement la cuisse à travers le tissus, du bout des doigts.
Rien ne bougeait dans la voiture, tout était normal.
Mon père conduisait calmement. Ma mère, sur le siège avant, et ma soeur, à côté de Bernard, dormaient. La radio distilait sa musique douce entrecoupée d'informations.

Petit à petit, la main de Bernard se mit à me caresser plus nettement l'intérieur des cuisses, en faisant des petits cercles avec ses doigts. Ce n'était pas désagréable, au contraire, je me laissais faire.
Je me désintéressais de la route et tout à fait sorti de ma somnolence, je tournais la tête vers lui pour voir ce qu'il me voulait.
Dans la pénombre je vis qu'il regardait droit devant lui, comme si de rien n'était. Il dû sentir mon regard sur lui, car il se retourna et j'aperçus, malgré le peu de lumière, un sourire complice sur son visage.
Il reprit son regard fixe et ses caresses qu'il faisait négligemment, comme on caresse machinalement un chat posé sur ses genoux. Sa main faisait des cercles de plus en plus larges, si bien que ce qui devait arriver arriva, il effleura mes parties.
Oh, juste effleuré, sans plus, comme par inadvertance.
Comme je ne disais rien, il recommença, toujours comme par inadvertance. Ses caresses se dirigeaient de plus en plus souvent vers mon entrejambe, enfin, il se mit à me caresser plus précisément cet endroit là et finit par placer définitivement la main sur ma braguette.
Il vérifia du regard ma réaction et à mon tour, je lui fis un sourire, lui montrant qu'il pouvait continuer. Il ne se fit pas prier et ses caresses furent plus appuyées.
J'avais écarté les cuisses pour mieux m'offrir à ses caresses qui étaient bien agréables. Mon coeur battait d'émotion et mon sexe depuis quelques temps s'était mis à durcir.
Mon pantalon était en toile légère, il devait sentir, à travers le tissus, mon sexe qui grossissait bien que comprimé dans mon slip. Sa main glissait le long de ma braguette sur mon sexe et descendait entre mes cuisses écartées.
Il me caressait les testicules puis remontait le long de ma verge qui finalement s'était dressée dans mon slip le long de mon ventre.
Après quelques va et vient voluptueux, il se mit à ouvrir ma braguette et y glissa la main à la recherche de ma queue toute dure.
L'ouverture n'était pas bien grande et il ne tarda pas à défaire ma ceinture et à déboutonner mon pantalon. Toujours impassible, il introduisit sa main, la passa sous l'élastique de mon slip et me saisit la bite qui soudain libérée de l'étreinte du slip se développa et devint encore plus grosse et plus dure.
Sa main était chaude, c'était agréable. Je m'allongeais un peu plus dans le siège et rentrais le ventre pour lui faciliter la tâche.
Ma soeur dormait toujours à poings fermés, ainsi que ma mère. Mon père ne s'était rendu compte de rien ne s'occupant que de sa route.
Bernard me caressa ainsi longuement. Je me laissais faire, tout au plaisir qui m'était ainsi donné. Ses doigts agiles décalottaient mon gland, descendaient jusqu'à mes boules, les faisaient rouler délicatement, remontaient le long de la tige, ainsi de suite.

Malgré mes 19 ans j'étais encore très innocent. Je n'avais pas vraiment de petite amie. J'étais sorti (comme on disait à cette époque) avec des copines, mais on n'était jamais allé plus loin.
En classe, un garçon avait bien essayé de me peloter l'entrejambe mais instinctivement j'avais repoussé son geste bien qu'après coup, j'ai regretté de ne pas l'avoir laissé faire...
Jusqu'à ce jour personne d'autre que moi-même n'avait exploré ces régions intimes ni ne m'avait procuré une quelconque jouissance.
Je savourais donc particulièrement ces instants comme une découverte de nouvelle sensation et de nouveaux plaisirs, renforcée par l'attrait du fruit défendu, et par la situation cocasse, dans une voiture en présence mais à l'insu de mes parents.
Malheureusement toute bonne chose doit avoir une fin, nous fumes ramenés sur terre par mon père qui nous dit qu'on arrivait en ville, et que tout le monde devait se réveiller.
Bernard retira sa main et je refermais mon pantalon, le plus discrètement possible, comme si moi aussi je me réveillais.
Personne ne s'était aperçu de rien. Heureusement. J'aurais bien aimé lui dire que j'avais apprécié ses caresses et que j'aimerais bien qu'il continue mais je devais rester discret.
Bernard habitait juste à côté de chez nous, dans l'immeuble d'à côté. Nous nous sommes séparés le plus naturellement du monde, même si, en me souhaitant bonne nuit il me fit un clin d'oil complice que seul je pouvais comprendre.

Le lendemain je le croisais dans le quartier. Il ne fit aucune allusion à ses caresses, peut-être parce qu'on était dans la rue, il me salua gentiment me demandant :

- "Alors, remis de ton week-end ?"
- "Oh oui", dis-je en rougissant.

Mais il y avait du monde autour de nous aussi je n'eus pas le courage de lui dire que j'avais particulièrement apprécié le voyage de retour.
Il me sourit et m'assura qu'il aimerait bien être de nouveau invité.
Quelques jours après, le vendredi, je le croisais à nouveau. Cette fois-ci, j'étais avec ma mère.
Il lui demanda si j'avais toujours des problèmes avec les maths et la physique, comme ma mère lui disait que j'étais toujours un peu faible elle lui dit qu'elle serait très heureuse d'accepter la proposition qu'il avait faite ce week-end de me donner des cours particuliers.

- "Le mieux serait que Augustin vienne chez moi tout à l'heure avec son matériel, je verrais ce que je peux faire", répondit-il.

L'affaire fut conclue, et à peine rentré je pris mes affaires et allais chez lui dans sa chambre de bonne, sous les toits.
L'ascenseur s'arrêtait au 5ème étage, après il fallait emprunter un escalier raide et monter encore deux étages, puis longer un long couloir sombre.
Je trouvais sa porte grande ouverte, seule lumière dans ce sombre boyau. Il faisait ainsi car il n'y avait pas de nom sur la porte et toutes se ressemblaient, les visiteurs devaient, comme j'aurais dû le faire, sonner au début du couloir et il serait venu lui même ouvrir et montrer le chemin.

- "Entre ! Mets toi à l'aise." me dit-il.

Son petit appartement était composé d'une grande pièce bien agencée. Dans la partie la plus proche des fenêtres, un coin bureau, un canapé et deux fauteuils modernes autour d'une table basse, près de l'entrée, une cuisine américaine, propre et bien rangée, et enfin, dans un coin, un lit près de la porte qui conduisait sans doute à la salle de bain.
Des fenêtres on voyait les toits des immeubles voisins, mais personne ne pouvait nous voir dans l'appartement.
Peu de meubles, des placards et aux murs des affiches et des dessins genre B.D. ou des photos de garçons et filles avec lui.
Il était assis à son bureau et me dit de prendre un tabouret et de m'asseoir à côté de lui. Il feuilleta mes cours et me dit que c'était tout à fait de sa compétence, qu'il pouvait tout à fait m'aider et qu'il allait faire de moi le meilleur de ma classe.
Il se tourna vers moi et me dévisageant me demanda :

- "Tu as confiance en moi ? Tu crois que tu pourras ?"

Sur ma réponse affirmative il me demanda ce que je voulais boire. Comme il n'y avait rien d'autre, il me servit un verre de vin et nous avons trinqué à notre collaboration.
C'était la première fois qu'on était tous les deux en tête à tête depuis l'épisode de la voiture de dimanche dernier.
Je ne savais pas bien quelle attitude adopter, et nous sommes restés dans un silence un peu pesant.
Il se leva et alla fermer la porte, celle qui donnait sur le couloir et au bout de celui-ci, celle qui donne sur l'escalier et où se trouvent les sonnettes.

- "Je laisse la porte ouverte afin de faire entrer un peu de fraîcheur, mais ainsi on ne sera pas dérangé, c'est plus intime et si on a trop chaud, on n'a qu'a quitter notre chemise. Pas vrai ?"

Il montra l'exemple en quittant la sienne puis il alla ouvrir la fenêtre.

- "Quelle chaleur, si tu as trop chaud, n'hésite pas à te mettre à l'aise toi aussi, vas-y tu verras on est mieux."

Comme il insistait, je l'imitais et quittais mon polo. Il vint se rasseoir à côté de moi.

- "Voilà ! t'es pas mieux ? A ta santé !" dit-il en levant son verre, puis il se pencha sur mes livres et mes cahiers.
- "Où as-tu des difficultés ? Que veux-tu que nous travaillions en premier ?" me demanda-t-il en mettant familièrement la main sur mon épaule.

Le contact de sa main me fit frissonner. Je lui répondis en lui montrant les matières qui me donnaient le plus de difficultés. Sa main maintenant me caressait le dos, descendait jusqu'à la taille, remontait sous les bras, c'était agréable et excitant.

- "Tu as la peau douce me dit-il soudain, j'aime bien te caresser, tu aimes aussi ?"
Je lui fis oui de la tête.
- "Tu te rappelle dimanche soir dans la voiture ?"

Je le regardais en rougissant, bien sûr que je me rappelais mais j'étais un peu pris au dépourvu et je ne sus que lui répondre.

- "Tu n'as pas aimé ?" me demanda-t-il en fronçant les sourcils, inquiet.
- "Si bien sûr ! Je te savais pas comme ça" lui dis-je rougissant encore plus.
- "Tu voudrais que je recommence ?"
- "Oh oui !" lâchais-je enthousiaste.
- "OK ! mais pas aujourd'hui, tes parents doivent trouver que tu restes bien longtemps. Rhabille-toi, je descends avec toi."

Je remis mon polo, il remit sa chemise et nous rejoignîmes l'appartement de mes parents où il leur proposa de me donner des leçons particulières toutes les semaines le mercredi après midi.
Comme le mercredi après midi j'étais seul à la maison, on aurait plus de temps. Quand il fut parti je me mis à trouver que le prochain mercredi était bien loin.
Le soir dans mon lit, j'essayais de retrouver les sensations que m'avaient procuré ses caresses, celles dans la voiture et celles sur mon dos tout à l'heure. Mais je n'arrivais pas à l'intensité du plaisir procuré par la main d'un autre........

Le mercredi arriva enfin. J'étais tout excité. Je pris une douche et m'aspergeais de l'eau de toilette de mon père. Je m'habillais d'un short de tennis et d'un polo, il faisait toujours aussi chaud.
Je pris mes affaires et montais dans sa chambre de bonne pour ma leçon particulière. La porte du couloir était fermée, je sonnais et il vint m'ouvrir.
Il était lui aussi en short mais beaucoup plus moulant que le mien, torse nu. Arrivé dans sa chambre, il ferma la porte. Il faisait toujours aussi chaud, et il me proposa de me mettre torse nu, comme lui.
Nous nous mîmes au travail, il expliquait bien, et je commençais à comprendre un peu mieux ces matières rébarbatives.
Souvent il posait sa main sur mes épaules et me caressait le dos. Quand nous eûmes travaillé une demi-heure, il me dit :

- "Bon on a bien avancé. Tu veux boire quelque chose ?"

J'optais pour le vin, sachant qu'il n'y avait que ça. Après nous avoir servi, il revint s'asseoir à coté de moi.

- "Tu veux faire un jeu ? J'en ai quelques uns."
- "Ouais d'accord !"
- "Eh bien choisis !"

Il me montra sur son ordinateur tous les jeux qui y figuraient. J'en choisis un et il me le mit en route et me montra comment faire, guidant mes gestes. Il avait sa main gauche sur mon épaule, sa main droite me montrait sur le clavier.
Je compris vite les subtilités du jeux et fus vite capable de jouer seul.
Il me laissait faire regardant mes prouesses sur l'écran. Il déplaça légèrement sa chaise se mettant légèrement de biais, les cuisses écartées, une de chaque côté de mon tabouret.
Il mit sa main droite sur ma cuisse et commença à me caresser la cuisse. Pris par le jeu, je le laissais faire.
Sa main droite glissait sur ma cuisse tandis que sa main gauche me parcourait le dos. Il remonta de la main droite au haut de mes cuisses, et glissa ses doigts sous le tissus du short.
Il ne tarda pas à effleurer mon sexe.
De la main gauche il me caressait les reins et glissa aussi ses doigts sous la ceinture à la recherche de mes fesses. Je me laissais faire mais j'étais trop distrait par ses caresses et accumulais les fautes.
Quand je sentis ses doigts pénétrer dans ma culotte, sur mes fesses, je poussais un petit « Oups » d'étonnement.

- "C'est de ma faute ! Excuse moi je te distrais et te fais faire des bêtises."
- "Non ! C'est rien" lui répondis-je, je pensais à autre chose.

En effet, je sentais ma queue durcir dans mon slip. Quand il s'en rendit compte il se mit à me caresser la queue à travers mon short.
J'appréciais de plus en plus ses caresses et jouais de moins en moins bien à ce jeu vidéo, cependant pour donner le change je feignais de m'y intéresser.
Il mit la main dans mon short et commença à me le retirer.

- "Si quelqu'un venait ?" lui dis-je, un peu inquiet.
- "Il n'y a pas de risque, il faudrait sonner à la porte du palier ce qui nous laisserait le temps de nous rhabiller pour aller ouvrir. N'ai pas peur, on ne risque rien. Et puis qui viendrait ?"

Devant ces arguments je me laissais faire délaissant définitivement le jeu. Je remarquais que la braguette de son short était bien gonflée et faisait carrément une bosse.
J'avais bien envie de voir ce qui se cachait derrière tout ça.
Il m'enleva complètement mon short et m'emmena sur le canapé. Il quitta son short lui aussi et se mit à côté de moi.
Comme il était presque nu, je l'observais, il était grand et fort, on voyait sa musculature sous sa peau fine, ses muscles sans être ceux d'un athlète, se distinguaient bien, il n'avait que très peu de poils, plutôt blonds, surtout sur les cuisses, son mini slip noir soulignait sa silhouette.
La bosse de son slip était encore plus grosse et on distinguait à travers le tissus tendu la forme de sa queue.
Je m'aperçus que lui aussi me regardait sur toute les coutures. Rien que d'y penser augmentait mon érection.
Moi même, je suis aussi assez grand, fin, pratiquement sans poils, je fais du sport et mes muscles commencent à se former et à se distinguer.
Comme j'ai des amis qui ont des piscines, je suis déjà bien bronzé.
Dès que nous fumes assis, il se rapprocha de moi. Nos peaux moites à cause de la chaleur se frôlaient.

- "Ça va ? tu es bien installé ?"
- "Oui, pas de problème !"

Il se remit à me caresser. Sa main chaude sur ma peau était douce. Ses caresses sur la face interne de ma cuisse ne firent qu'augmenter mon excitation. Il mit la main sur mon slip, il sentit ma queue déjà bien dure.
Il ne disait rien, nous savourions l'instant.
Il glissa la main dans mon slip et saisit ma queue qu'il commença à caresser doucement. J'aimais ce contact chaud et délicat.
Il jouait avec le gland encore protégé par le prépuce, le décalottait, le recouvrait dans des gestes lents et doux. Il descendit le long de la tige jusqu'aux poils, puis saisit mes boules, les caressa doucement, remonta sur la tige, tout ça très lentement, très doucement, c'était savoureux, j'étais aux anges.
J'éprouvais les mêmes sensations que dans la voiture, mais n'étant qu'en slip, ses mouvements étaient plus aisés.
On en serait resté là, j'aurais été pleinement satisfait. Complètement innocent, je ne connaissais rien aux choses du sexe et n'imaginais pas ce qui allait suivre.
J'avais très envie de moi aussi lui toucher le sexe. Je n'osais car je ne l'avais jamais fait mais je me dis d'autre part que je ne pouvais pas rester passif pendant qu'il me faisait tant de bien, je devais essayer de lui rendre le plaisir qu'il me procurait.
Je tendis la main et la posais sur son slip où je sentis son membre tout dur et d'une taille que je trouvais énorme, du moins par rapport au slip qui avait du mal à contenir un tel engin.
Je le caressais à travers le coton, pendant qu'il caressait le mien. Je glissais la main dans son slip, assez maladroitement et essayais de lui faire les mêmes caresses qu'il me faisait et qui me faisaient tant de bien.
Je l'entendis respirer un peu plus fort quand je lui ai touché la verge directement, de même quand je lui saisis les couilles à pleines mains, montrant qu'il éprouvait du plaisir à mes caresses, même si elles n'étaient pas bien précises.
Je découvrais le corps d'un autre homme, ses muscles, sa peau douce, aux poils soyeux, son sexe dressé, dur et qui me paraissait énorme par rapport au mien.

- J'aime bien quand tu me caresses comme ça ! Tu l'as déjà fait souvent ?" me demanda t-il.
- "Euh non, c'est la première fois !"

Je ne mentais pas, si je n'avais jamais été caressé, je n'avais pratiquement jamais caressé personnes d'autres sauf quelques unes de mes petites copines, et encore seulement les seins, le plus souvent à travers leur corsage .
En tous cas, je n'avais jamais touché d'autres sexes masculins que le mien.

- "Et tu aimes ça ?"
- "Oh oui !" répondis-je enthousiaste.

Il se pencha et m'embrassa sur les lèvres. Sa langue me força à ouvrir la bouche et partit à la recherche de la mienne. Ce n'était pas mon premier french kiss, mais c'était le premier avec un homme.
J'aimais ce contact nouveau pour moi, le léger picotement de la barbe au niveau des lèvres, la langue puissante, avec une face un peu rugueuse et l'autre si douce, onctueuse, humide, chaude .
Rien à voir avec les bouches des filles que j'avais eu l'occasion d'embrasser jusqu'alors.
Je chavirais complètement, sa main me triturait la bite, sa langue me pénétrait la bouche, je prenais connaissance de ses organes d'homme, nous échangions nos salives, j'étais au summum du plaisir.
Du moins je le pensais car je ne savais pas que je n'en étais qu'au début.

Il cessa le baiser et se mettant debout, il m'attira vers lui. Il se baissa et me quitta mon slip qu'il fit glisser le long de mes cuisses.
Sa tête était à la hauteur de mon sexe, il le saisit à deux mains, le décalotta, se mit à le lécher comme un sucre d'orge tout en jouant avec mes boules.


Puis il ouvrit la bouche et avala mon pieu en entier. Oh quelle sensation ! C'était chaud ! moite ! doux !
Sa langue me caressait le gland, j'étais si bien dans sa bouche que j'y serais resté des heures. Il se mit à aspirer, puis à faire coulisser ses lèvres le long de la hampe, je l'aidais de petits mouvements du bassin (Je comprend maintenant certains gestes vulgaires de mes camarades de classe).
Je sentis la sève bouillir dans mon bas ventre, ma tige durcissait, le sang y affluait à la faire éclater, mes muscles du bassin se bandaient dans un effort qui projetait mon sexe vers le haut et en avant, j'avais envie de le pénétrer au plus profond de la gorge.
Des picotements annonciateurs de la jouissance me parcouraient la verge et les testicules, je compris que j'allais cracher et lui dis :

- "Arrête, je sens que ça vient !"

Il ne bougea pas et mon sperme jaillit dans sa bouche sans qu'il ne se retire. J'éjaculais si fort que je faillis être expulsé de sa bouche. Il me pompa jusqu'à la dernière goutte, je sentais mes genoux défaillir, j'étais étourdi de plaisir.


Je m'affalais dans le canapé complètement groggy.
Il vint s'asseoir à mes côtés et me caressait la poitrine.

- "Alors, tu as aimé ta première pipe ? car c'est bien la première n'est-ce pas ?"
- "Oui"

Il me donna un long baiser, j'étais conquis et ne pensais qu'à recommencer.

- "Tu veux bien me faire la même chose ?" me demanda-t-il doucement.

Étonné tout d'abord, je compris vite que je ne pouvais pas recevoir sans donner moi même. Je me redressais donc et me mis à lui quitter son slip. Sa verge sauta tel un diable qui sort de sa boite.

- "Comme elle est grosse !" dis-je admiratif.

Il sourit. Je me mis à la caresser pendant qu'il agitait les jambes pour faire tomber son slip. Il écarta les cuisses et je pus saisir complètement ses boules qui elles aussi étaient énormes.

- "Vas-y, prends la dans ta bouche !"
- "Je pourrai jamais, elle est trop grosse."
- "Mais non elle n'est pas trop grosse, elle est tout à fait normale"
- "Tu trouves la mienne trop petite ?" demandais-je soudain anxieux.
- "Mais pas du tout, elle est très bien et tu sais que tout le monde n'est pas monté pareil et je peux t'assurer que j'en ai vu des bien plus grosses."

A moitié rassuré, je me mis à la lécher comme il avait commencé tout à l'heure. Elle avait bon goût, je sentais que j'allais aimer les bites.
Enfin je me lançais et je pris le gland dans la bouche, en ouvrant très grand les mâchoires afin de ne pas le blesser avec mes dents.
Je sentais ma cavité buccale remplie par ce gland turgescent, j'en faisais le tour avec la langue, le mouillais de ma salive, puis petit à petit je descendis mes lèvres le long de la hampe.


Il entrait sans peine et je pus faire glisser dans ma bouche plus de la moitié de la longueur.
Je ressentis quelques débuts de nausées mais je respirais très fort du nez et ça se calmait.
Je fis le même glissement en arrière, puis en avant, comme il m'avait fait tout à l'heure. Il mit ses main dans mes cheveux et m'encouragea :

- "Oh que c'est bon ! Tu t'y prends très bien ! Ta bouche est bonne ! Vas-y pompe moi à fond !"

J'aspirais son gland, l'intérieur de mes joues se collaient à son sexe, il glissait jusqu'au fond de ma gorge. A force d'écarter les mâchoires, j'en avais des crampes, mais elles passèrent. N'en pouvant plus, je lâchais le tout et épuisé, je me redressais.

- "Tu as aimé ma queue ?" demanda-t-il.
- "Oui, c'est bon."
- "Tu vois, elle est pas si grosse que ça."
- "Je sais pas ce qu'il te faut, j'en ai mal aux mâchoires."
- "Pauvre petit !" me dit il et il m'embrassa.

Pendant ce temps il me caressait les couilles. Je m'étais remis à bander. Il délaissa ma queue et prit la sienne en main et commença à se branler. Je le regardais étonné qu'il se branle tout seul.


- "Qu'est-ce que tu fais ?" lui demandais-je.
- "Eh bien tu vois, je me branle !"
- "Tu n'veux pas que je te suce ?"
- "Si je ne demande que ça !"
- "Je veux te faire autant de bien que tu m'en as fait. C'est pas bien de se branler tout seul sans penser à moi, c'est à moi de le faire ! Non ?"
- "Mais Augustin, mon chéri ! quand je me branle, c'est en pensant à toi !" dit-il en riant et il m'embrassa à nouveau.

Je repris donc son manche en bouche et me remis à le pomper goulûment. Cette fois je n'avais plus mal aux mâchoires, et je m'habituais déjà à la taille de son sexe qui me remplissait toujours autant la bouche. J'y trouvais aussi plus de plaisir.
Il remit ses mains sur ma tête et me guida dans mes mouvements, adaptant le rythme de mes lèvres à son désir. Il allait de plus en plus vite. Je le suçais longtemps, je lui caressais les boules, les fesses, puis enfin, n'étant pas habitué encore, et ne l'ayant pas senti venir, je reçus au fond de la bouche son sperme qui gicla dans une puissante éjaculation qui lui souleva tout le bassin.


Il projetait son bassin en l'air comme s'il voulait niquer le ciel, enfin ma bouche qui se trouvait à la place du ciel mais qui essayait de lui procurer l'ascenseur pour le septième.
Il éjacula de nombreuses fois et je le pompais jusqu'au bout. J'essayais d'avaler mais avec son gros machin dans la bouche c'était pas facile, je m'étouffais.
Je sentais des filets de sperme mélangés de salive qui coulaient de mes lèvres le long de sa verge.
Enfin il se calma et je pus me retirer et avaler ce que j'avais dans la bouche. Je léchais le mélange de salive et de sperme qui dégoulinait sur son bâton et sur ses couilles.
Le goût curieux au début (c'est normal pour ma première pipe) finit par me plaire.
Quand je l'eus bien nettoyé, il m'attira à lui et nous échangeâmes un long baiser, et cette fois c'est moi qui pénétrais sa bouche. L'après-midi était bien avancée et il me fallait rentrer.

- "Viens prendre une douche, on doit empester le foutre." me dit-il.

Je m'allongeais dans la baignoire, il prit le jet et se mis à me savonner de la tête aux pieds.

- "Moi je me laverais demain, je veux garder ton odeur encore un peu de temps."
- "J'ai hâte qu'on soit la semaine prochaine !" lui répondis-je.
- "Moi aussi, je t'apprendrais des tas d'autres façons de jouir."
- "Oh mais celles là me vont parfaitement."
- "Tu vas voir, il y en a de bien meilleures encore !"
- "Je ne crois pas que ce soit possible, tu m'intrigues."

Je l'embrassais et rentrais chez moi, joyeux comme un pinçon. Rentré à la maison je m'enfermais dans ma chambre et me mis à pleurer de bonheur. Je n'avais jamais été aussi heureux et je repensais à tout ce qui m'était arrivé avec Bernard.
Comment un bel homme comme lui, sportif, intelligent, bien dans sa tête, pouvait avoir été si attentionné avec moi, j'étais innocent, puceau, maladroit que sais-je ?
Que pouvait-il me trouver, il devait être entouré de filles et sans doute de garçons bien plus séduisants que moi ?
Je rêvais ainsi le soir dans mon lit et mes branlettes solitaires ne parvenaient pas à me rappeler les magnifiques jouissances que j'avais éprouvées avec lui.


Quand j'étais dans ma chambre, je passais mon temps à la fenêtre essayant de l'apercevoir. Je ne mangeais pratiquement plus, négligeais mes copains, en un mot j'étais amoureux.....

.....Enfin la semaine passa et quand le mercredi fut là, je brûlais d'impatience. Après une douche méticuleuse, je m'habillais pour la circonstance. Tee-shirt ample, Slip pas trop serré en coton blanc, pantalon serré à la taille mais à pinces pour mettre mes fesses en valeur et me voilà parti pour ma "Leçon particulière".
A mon arrivée, dès qu'il eu fermé les portes, je l'embrassais amoureusement. Ce baiser réveilla mes souvenirs et j'eus du mal à accepter de me mettre au travail comme la semaine dernière.
Il tenait à commencer par la leçon. Il était sérieux et cette fois pas de câlins. Cependant, n'y tenant plus, je mis le premier ma main sur sa cuisse.

- "Arrête ! pas maintenant, le travail d'abord, la bagatelle après !" me dit il.
- "Je ne pourrais pas tenir !"
- "Faudra bien ! Tu as tenu une semaine, qu'est-ce que quelques minutes de plus, et que diraient tes parents si tu ne faisais pas de progrès, ils cesseraient ces cours et on ne pourrait plus se voir ?"
- "OK, mais dépêchons-nous !"

Quand il eut finit ses explications et que j'eus résolu le dernier problème, il se leva et me demanda si je voulais boire quelque chose. Il me servit un verre de vin et je m'installais dans le canapé.
Il vint à mes cotés et je m'allongeais confortablement dans le coin, il se pencha vers moi, me souleva mon tee-shirt et se mit à me caresser le ventre et la poitrine.
De sa bouche il me léchait les seins, mordillait mes tétons, me caressait le nombril, y introduisait la langue.

- "Tu sens bon le savon, j'aime bien, il faut toujours être propre."
- "Je me suis lavé en pensant à toi" lui répondis-je.

Il se mit à me défaire ma ceinture et déboutonna mon pantalon. Il fit glisser la fermeture éclair qui en passant me chatouilla la verge déjà toute gonflée.
Il entra la main dans mon slip et sortit ma verge. Il la caressa, la lécha, puis descendit mon pantalon et mon slip jusqu'aux genoux.

- "T'es toujours aussi doux, j'aime ta peau douce, on dirait une peau de bébé."

Il me caressait le testicules, me branlait lentement.

- "Quand tu te branles tu penses à quoi ?"
- "Depuis que tu m'as tripoté dans la voiture, je ne pense qu'à toi, bien sûr !"
- "Eh bien moi aussi !"
- "Comment ça, tu te branles ?"
- "J'ai tellement envie de toi que depuis une semaine je n'arrête pas de penser à toi."

Il se redressa et m'embrassa longuement. Je me mis à le caresser, relevant sa chemise que je dus faire sortir de son pantalon, je lui pétrissais le dos, puis descendit une main sur son sexe que je trouvais tout bandé.
Je me mis à lui déboutonner son jean, puis le lui quittais.
Pendant que je poussais son pantalon et son slip jusqu'aux pieds, il ôta sa chemise, puis retira mon tee-shirt.
Nus tous les deux nous commençâmes à nous caresser mutuellement. Il me suça, je le suçais, je prenais vraiment goût à ces jeux amoureux.
On se retrouva vite par terre en soixante-neuf.


Je faisais tout pour me retenir, mais quand je sentis sa queue se durcir encore plus, ses cuisses se tendre, son bassin se tétaniser, je compris qu'il allait venir et je jouis en même temps que lui.


Je lui crachais tout le contenu de mes couilles dans de nombreux jets qui me procuraient tant de plaisir. En même temps, il m'inondait la bouche de son liquide gras et chaud que cette fois je pus savourer avec plaisir et avaler jusqu'à la dernière goutte.
On s'étendit sur le tapis l'un à côté de l'autre, tête-bêche afin de récupérer un peu de nos forces.

- "Dis donc tu as l'air de faire des progrès, au moins dans cette partie de mes leçons, t'es devenu un véritable expert en pipes, bravo !"
- "Quand j'aime, j'apprends vite" lui répondis-je en riant.
- "Moi aussi je t'aime" me dit-il.

Ses couilles étaient à portée de ma main, je me mis à les caresser, il prit les miennes et nous sommes restés ainsi quelques instants à nous caresser. Mon sexe fut très vite au garde-à-vous, le sien suivit et nos caresses devinrent plus agréables.

- "Tu m'as dit la semaine dernière que tu allais m'apprendre de nouvelles façons de s'aimer ? Tu te rappelle ?"
- "Oui bien sûr !"
- "Tu veux bien m'apprendre ?"
- "Puisque tu insistes ! Viens, on sera mieux sur le lit !" me dit il en se relevant.

Il me prit par la main et me dirigea vers son lit. Il me fit coucher en travers, les fesses au bord, puis il me releva les cuisses jusqu'aux épaules et me dit reste comme ça.
Je me tenais les genoux, dans une position fetale reposant sur le dos, je sentis qu'il me léchait la raie des fesses, des reins jusqu'aux testicules. En passant il s'attarda sur mon petit trou.


Je ne pensais pas que cet endroit que jusqu'alors j'avais négligé pouvait procurer du plaisir.
Il me lécha longuement et essaya même de me pénétrer avec sa langue.

- "Tu aimes que je te lèche par là ?"
- "Oui ! c'est agréable !"

Je me redressais sur les coudes pour essayer de voir ce qu'il faisait. Il mit ses mains sur l'arrière de mes cuisses et poussa pour que je me cambre plus.
Il se suça un doigt et se mit à me masser l'anus.

- "Détends-toi, Augustin, laisse toi aller, tu vas voir comme c'est bon de se faire enculer."
- "Tu veux m'enculer ?"
- "Oui, c'est de ça que je voulais parler, après tu m'enculeras si tu veux. Laisse moi te montrer, je ne veux que te faire du bien, fais moi confiance."

Il mouilla plusieurs fois son doigt et ses massages me détendaient le muscle anal. Il commença à enfoncer son doigt ; d'un demi centimètre au début, puis il le fit tourner, le mouilla encore et repris son massage.
Il tendit la main vers sa table de nuit où il prit un petit flacon. Il m'enduisit l'anus avec du gel, et continua ses massages, son doigt ainsi pénétrait beaucoup plus facilement.
Un centimètre, puis deux, puis tout le doigt. Il faisait pénétrer le gel dans mon conduit anal et tournait le doigt pour bien lubrifier l'intérieur.

- "Comment tu trouves ces massages ?" me demanda-t-il
- C'est pas une position très agréable mais j'aime bien."
- "Décontracte toi, sinon je vais te faire mal, il faut que ton muscle anal soit très détendu ainsi tu n'éprouveras que du plaisir."

J'essayais de me laisser aller, d'être le plus décontracté possible, totalement confiant dans ses capacités et son expérience. Son doigt maintenant était entièrement entré, il allait et venait dans mon petit trou, sans difficulté.
Mais un doigt ce n'est pas une bite, et celle de Bernard est quand même plus grosse que son doigt.
Je sentis qu'il en faisait entrer un deuxième. Mon sphincter se distendait sans difficultés. Il les fit tourner à l'intérieur.
Je sentais mon petit trou s'ouvrir et c'était plutôt agréable.

- "Ça va toujours ?" me demanda-t-il.
- "De mieux en mieux, je commence à y prendre goût."

Il faisait tourner ses doigts dans mon cul et de l'autre main il se saisit de ma bite qui s'était un peu ramollie. Il la branla lentement, si bien qu'elle reprit vigueur.
Il se redressa et se mit du gel sur la queue. Il me demanda de me retourner, à genoux par terre, couché sur le ventre sur le lit, les fesses en l'air.
Il se mit à genoux lui aussi derrière moi, entre mes jambes, il mit ses mains sur mes hanches et positionna son gland bien lubrifié sur ma rondelle prête à le recevoir.
Je le sentis pousser doucement son braquemard.

- "Si tu as mal tu me le dis, je veux que tu jouisses pas que tu ais mal ! tu me diras hein mon chéri ? Si tu as mal j'arrête. D'accord Augustin ?"
- "Promis, je te dis si tu me fais mal, tu peux y aller !"


Je sentis mon anus s'ouvrir sous la pression du gland et celui-ci pénétrer petit à petit. Mon sphincter n'en finissait pas de s'ouvrir. J'étais pénétré par le sexe de Bernard, je le sentais m'envahir par le trou du cul.
Mon anus se distendait, chaque fois je croyais qu'il allait se déchirer mais il s'ouvrait encore.
Je sentais que le gland était entré et que mon muscle se refermait comme pour l'empêcher de ressortir.
Bernard s'arrêta de pousser, il reprenait sa respiration, je sentais bien son gros truc en moi.

- "Ça va toujours ? Je peux continuer ?" me demanda-t-il
- "Oh oui, c'est bon, vas-y, continue, je t'aime !"
- "Je t'aime moi aussi ! Je n'ai jamais eu autant de plaisir !"

Je sentais sa tige progresser doucement dans mon fondement, centimètre par centimètre. C'était une sensation vraiment nouvelle pour moi, être pénétré, lui appartenir, le sentir en moi, le posséder.
Je me sentais rempli par son sexe chaud à l'intérieur de mes entrailles mais plus que son sexe je sentais Bernard en moi, il était en moi.
Il arrêta sa progression, me demandant encore si tout allait bien. Je le réconfortais, je le sentis qui reculait comme si il voulait ressortir, les bourrelets de son gland furent stoppées par mon muscle anal que je contractais comme pour le retenir en moi.
Je serrais le plus fort qu'il m'était possible. Puis il repris sa pénétration vers l'avant, s'enfonçant un peu plus profondément, recula, puis ré-avança, dans un mouvement de va et vient lent, voluptueux, puissant. A chaque fois il s'enfonçait un peu plus.
Son vit coulissait agréablement dans mon anus bien lubrifié maintenant, je sentais son contact avec les parois de mon rectum. Il devait me presser la vessie car j'eus envie de pisser mais ça passa.
Quand je sentis ses poils pubiens me chatouiller les fesses je compris qu'il était au fond.
Ses va et vient étaient plus longs, il sortait et ne laissait que le gland à l'intérieur, puis s'enfonçais à nouveau jusqu'au fond de mes entrailles.


Il m'attira vers l'arrière et se saisit de ma verge pour me branler.
Je me redressais et tournais la tête pour l'embrasser. Il me mordillait le cou, les oreilles, me pinçait d'une main le bout des seins, comme si j'étais une fille, de l'autre il me masturbait.
Son engin glissait d'avant en arrière dans mon trou du cul. C'était bon.
Je sentais ses mouvements s'accélérer, il me fit me pencher en avant en se couchant sur moi, puis me lima de plus en plus violemment poussant la pénétration de plus en plus profondément et tout à coup je me sentis envahir par sa chaleur, par un liquide chaud qui me remplissait de bonheur.
Il était tétanisé, le corps dressé vers l'arrière. Il poussa ainsi plusieurs fois son sexe au plus profond, puis s'affala sur moi, épuisé.

- "Oh mon chéri, dit-il, comme c'était bon ! J'ai jamais jouis comme ça. Et toi ? Tu as aimé ?"
- "Oh oui, j'ai jouis mais c'est très différent, ça venait de l'intérieur, pas du sexe, comme si ton engin me faisait jouir par le cul, de l'intérieur."

Il passa la main sous moi, sur mon sexe et vit que j'avais jouis.


- "Tu vois t'as même craché sans te toucher, tu t'en est rendu compte."

Il se retira petit à petit et là encore c'était jouissif. Pour ma première sodomie ce fut un coup de maître. Il se leva et alla à la salle de bain se nettoyer mais je fus étonné, son sexe n'était pas vraiment souillé.
Je fus soudain pris d'une envie d'aller me vider le trou du cul si pressante que je le fis devant lui. Je sentis son foutre s'écouler par mon trou du cul béant puis, petit à petit mon sphincter se referma.

- "Tu vas avoir un peu mal au cul pendant quelques instants mais ce soir ça sera oublié et il ne restera que le bon souvenir. Rentre vite, il est tard, la semaine prochaine c'est toi qui me prendras. OK ?"
- "OK, Je t'aime !" et je filais.

Arrivé chez moi je m'enfermais dans ma chambre jusqu'au soir, essayant de revivre ses instants de plaisir si nouveaux pour moi.
A table ma mère me demanda comment ça se passait avec Bernard.

- "Très bien, il est sympa, il explique bien, on refait le programme depuis le début, et quand c'est lui qui m'explique, je comprends bien mieux. Il est très patient."
- "Et il te garde combien de temps pour tout ça ?"
- "A peu près une heure, on fait aussi des problèmes. Quand on a fini, je joue sur son ordinateur, il a plein de jeux super !"
- "Tu l'embête pas trop en restant ainsi ?" demande mon père.
- "Oh non, c'est lui qui a insisté, et il a joué avec moi, ça le distrait de son travail et pour certains jeux c'est mieux à deux" (si mon père savait quels jeux on faisait à deux !).

Le week-end suivant on est allé à la campagne, il nous a accompagné. Il a été charmant, mon père et ma mère l'adoraient. Ma soeur ne nous a pas quitté et je n'ai pas pu m'isoler avec lui.
Au retour on reprit la même position dans la voiture, et dès que la gente féminine fut assoupie, on a recommencé à se tripoter.
Cette fois on s'est caressés mutuellement à travers le pantalon. Il m'a tellement caressé que j'ai jouis dans mon slip. Je crois que lui aussi.

Le mercredi suivant arriva vite. Je me rendais chez lui tout fébrile. J'avais hâte de terminer la leçon pour qu'on reprenne nos ébats.
Le rituel fut le même, quand la leçon fut finie il m'offrit un verre de vin et comme il était debout je me levais pour l'embrasser.
Ce fut un long baiser pendant lequel nous nous sommes caressés mutuellement, tout en nous déshabillant l'un l'autre.
Il me dirigea vers son lit et nous nous allongeâmes. On se retrouva rapidement en soixante-neuf mais nous nous sommes arrêtés avant de jouir.

- "On a tout le temps, retiens-toi ! tu verras c'est bien meilleur de se retenir" me dit-il.

Je lâchais sa bite pour ses testicules que je me mis à lécher pendant qu'il me léchait la raie des fesses. Il pointait sa langue dans mon petit trou qui, plus souple que la semaine passée s'ouvrait plus facilement.
Il faut dire que toutes les nuits, j'avais essayé de me rappeler les sensations ressenties lors de ma première sodomie en me mettant un doigt dans le cul.
J'avais hâte qu'il me pénètre à nouveau. Il me lécha longuement le cul et finit par y mettre un doigt. Je savourais tant ses caresses que je négligeais son sexe pourtant fièrement bandé devant mes yeux.
Il me fil allonger sur le ventre et s'allongeant à côté de moi, me caressait l'anus d'un doigt humide pendant qu'il m'embrassait.

- "Tu veux que je te prenne ?"
- "Oh oui, prends moi comme la dernière fois !"
- "Non, on va faire autrement. Ne bouge pas."

Il prit dans sa table de chevet du gel qu'il me mit sur l'anus, le faisant bien pénétrer avec son doigt. La sensation de froid redoubla mon envie qu'il me pénètre.

- "Mets-toi sur le dos et relève bien les jambes en les écartant !"

J'avais l'impression de lui offrir mon derrière. Il s'allongea entre mes cuisses ouvertes et positionna son gland bien lubrifié contre mon petit trou.
Il positionna mes genoux sur ses épaules, mit ses mains sur mes épaules et je le sentis pousser.

- "Décontracte-toi, tu es déjà bien ouvert, je vais rentrer beaucoup plus facilement, pousse toi aussi, comme pour faire tes besoins !"

Je poussais et je sentis son gland ouvrir le passage et entrer lentement en moi, suivi se toute la hampe. Il m'embrassa quand il fut entré tout entier et on resta ainsi longuement.

- "Tu as moins mal que la semaine dernière ?"
- "Je n'ai pas mal du tout, au contraire, j'aime bien te sentir en moi."

Mon sexe s'était légèrement dégonflé, je sentais le sien, bien dur, bouger dans mon rectum et me caresser les muqueuses. Je le sentais beaucoup plus nettement que la dernière fois, je devenais un amateur de sodomie.
Il se mit à s'agiter d'avant en arrière, ses pénétrations étaient profondes, je sentais ses poils pubiens me caresser les fesses.
Quand il reculait, il ressortait la totalité de son membre pour le ré-enfoncer jusqu'au fond de mon cul et le passage de son gros gland à chaque fois sur mon sphincter me procurait un plaisir extrême.
Il se mit à aller de plus en plus vite pour finalement se bloquer au fond de moi, tendu à l'extrême et je vis sur son visage la crispation du plaisir pendant que je sentais son sexe bouger tout seul et me cracher sa semence dans le derrière.


Épuisé de plaisir il s'affala sur moi, me couvrant de baisers.
Sa queue devenue molle fut éjectée par mon anus et son expulsion me procura encore du plaisir.
Je pus enlever mes jambes de ses épaules et reprendre une position plus confortable, je m'aperçus que mon sexe avait coulé et que mon ventre était plein de foutre.
On prit une douche en nous caressant mutuellement puis après nous être séchés, l'un l'autre, on s'allongea sur le lit.

- "Tu veux me prendre ? me dit Bernard."

Moi qui croyais que l'amour entre homme se faisait avec un actif et un passif, je fus étonné de sa question mais étant novice et prêt à tout apprendre, je lui répondis que s'il le désirait je voulais bien essayer.

- "J'ai très envie de sentir ta belle queue me labourer le derrière, allez, viens je vais te guider."

Il me fit coucher sur le dos et m'enduisit la queue de lubrifiant, puis il s'en mit sur l'anus et vint s'asseoir sur mon pieu qu'il avait saisit d'une main.
Je sentis son petit trou s'ouvrir sous la pression de mon gland turgescent, son poids appuyais sur ma queue bien dressée qui petit à petit se frayait un chemin en lui.
Son anus passé, je glissais à l'intérieur voluptueusement. Je sentis ses fesses contre mon pubis.
Il étendit les jambes le long de ma poitrine et se pencha en arrière sur ses bras tendus, cambré, la tête en arrière.
Je me levais légèrement et je vis mon sexe bouffé par son cul. Au premier plan je voyais son sexe mi-bandé et ses couilles qui pendaient.
Il se mit à monter et a descendre le long de mon sexe, je voyais ses abdominaux faire tout le travail, moi même je ne faisais rien.


Ses fesses à chaque mouvement serraient mon sexe et je sentais son muscle anal glisser tout le long de la hampe en me procurant le maximum de jouissance en arrivant au gland.
Il se dégagea et vint se coucher à plat ventre sur le lit.

- "Viens sur moi maintenant."

Il écarta les cuisses et je me mis derrière lui et pris ma verge à pleine main pour la diriger vers sont trou béant et avide de me recevoir à nouveau.

- "Tu aimes ça me demanda-t-il ?"
- "C'est bon et c'est chaud j'adore, d'ailleurs je ne vais pas tarder à jouir " lui répondis-je.
- "Retiens toi le plus possible, tu verras comme c'est bon de se retenir !"

Je m'arrêtais de le limer afin de retarder la jouissance et quand je sentis que je ne pouvais plus me retenir je me mis à le baiser sauvagement en me dressant sur les bras afin de bien voir mon sexe s'agiter entre ses fesses bien rondes qu'il s'efforçais de serrer le plus possible autour de ma queue.


La jouissance fut telle que je crachais une quantité faramineuse de jus dans son rectum.
Épuisé je m'affalais sur le lit, étourdi.
Quand je repris mes esprits il me nettoyais le sexe avec une serviette. Nous nous sommes embrassés longuement. Abasourdi par tant de plaisirs, je me rhabillais et lui dis en l'embrassant :

- "A mercredi prochain, je t'aime."

Nous eûmes souvent ces leçons particulières pendant l'été, et vu les progrès que j'avais fait en maths et physique l'année scolaire suivante il proposa à mes parents de me donner des leçons gratuites pour entretenir mon niveau.
Je pense qu'il n'avait pas que mon niveau en tête.

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : AllAboutSex
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Samedi 24 mai 6 24 /05 /Mai 07:00
                    Laurent, la trentaine est un mec marié heureux en couple mais avec des envies de mecs qui le titillent. Il m’avait contacté pour un plan et comme il n’avait pas de photos un peu sexe pour ses annonces je lui ai proposé de lui en faire quelques unes.

                    Un après midi donc il arrive chez moi ... c’est toujours un moment excitant lorsqu’on attend un inconnu. On imagine comment il va être, comment il va réagir, comment ça va se passer.... du moins moi je suis comme ça !!!
Je l’attendais en boxer moulant et t-shirt devant un film de mecs pour créer l’ambiance. Inutile de vous dire que ma queue était déjà chaude et grossie par l’excitation du moment tant attendu.
Quand il est entré, je me suis trouvé en face d’un mec brun 1m78 a peu près, mince avec un regard pétillant et un sourire charmeur enfin un genre de mec qui me fait craquer (oui j‘en ai plusieurs).
Le feeling est immédiatement passé, il avait l’air en confiance.
Il commence par enlever son pull, son jean, et le voila en boxer blanc devant mon objectif... Il est finement musclé, pas très poilu avec une peau claire ; je le trouve très appétissant ; quelques clichés et on passe au choses sérieuses.

                    Je m’approche de lui et commence par poser mes lèvres sur les siennes. Très vite nous nous roulons un patin magistral, nos langues se lient se délient, roulent et s’enroulent... hummm c’est trop bon.
Nos mains se sont respectivement dirigées vers nos sexes à l’étroit dans nos boxers. J’aime le goût de Laurent, son odeur....
J’ai envie de le manger, de le lécher de la tête aux pieds et je sais à ce moment que nous allons passer un moment de plaisirs intenses.
Ma bouche brûlante de ses baisers descend lentement dans son cou, s’attarde sur ses pecs puis descend encore jusqu’à son nombril.
 Laurent se laisse faire et gémit les yeux fermés..... ouvert au plaisir.



Ma bouche est maintenant sur sa bite prisonnière du tissu immaculé, je n’ai qu’une pensée, la libérer pour l’engloutir toute entière.
Je fais glisser son boxer sur ses cuisses et sa queue bien raide se plaque sur son ventre.
Je lui donne des coups de langue sur le gland et descend tout le long de son chibre pour arriver à ses couilles que je gobe l’une après l’autre, puis je prends sa queue toute entière dans ma bouche et commence des allers et venues entre mes lèvres.
Il ne gémit plus il râle et lance des “hum c’est bon, hum c’est bon” et la Laurent me dit :

- “J’ai envie de te sucer et que tu prennes des photos avec ta queue dans ma bouche”.








Il se met à genoux entre mes jambes et commence à me lécher le sexe à travers mon
boxer près à exploser, je sens la chaleur humide de sa bouche affamée de sexe.
Il fait glisser mon boxer trempé de sa salive, s’empare de mon pieu et l’engloutit tout entier dans sa bouche.
Je prends mon appareil pour immortaliser l’instant. J’ais du mal à ne pas trembler tant le plaisir est immense.
Ses allées et venues font apparaître et disparaître mon gland turgescent. Je prends quelques clichés, repose rapidement l’appareil pour pouvoir disposer de mes deux mains et caresser ce corps qui m’inspire tant de désir. D’une main je lui caresse la tête pour accentuer ses mouvements sur mon pieu, de l’autre je descends lentement vers son puit d’amour humide et chaud.
Mon doigt se glisse entre ses fesses douces et musclées pour titiller sa rondelle serrée. Je ne pense qu’à une chose : l’avoir sous le bout de ma langue.
Je demande alors à Laurent de s’allonger sur le ventre, et je commence à lui lécher les pieds remontant jusqu’à l’intérieur des genoux. Je monte doucement en lui mordillant l’intérieur des cuisses pour arriver enfin à sa raie clean au parfum enivrant.
Je lui donne des grands coups de langue en insistant sur son petit anneau rose afin de le dilater et de le lubrifier de ma salive. Laurent frémit de plaisir et moi je ne suis pas en reste...

- “Putain qu’il est bon ton cul”
- “Putain qu’elle est bonne ta langue “ me répond t-il.

Je lui demande alors de se retourner et l’embrasse à pleine bouche, le goût de son cul doit lui plaire car il me fouille la bouche avec sa langue comme un fou.

- “J’ai trop envie que tu me prennes, je crois que la je suis prêt, mais tu y vas doucement car ton gros gland va avoir du mal à passer.”
- “Ne t’inquiète pas” lui dis-je en attrapant le lubrifiant et une capote.

J'enfile la capote, me met à genoux entre ses jambes que je remonte sur mes épaules et avant de le lubrifier je lui redonne quelques coups de langue pour avoir le goût de son cul pendant que je le baise.
Je lui mets du gel, un doigt, puis deux, puis trois... sa rondelle est prête à accueillir ma queue.
Je pousse doucement et mon gland disparaît dans son boyau étroit. Il a une petite crispation mais se détend très vite en me priant de le baiser bien à fond. Je pousse doucement jusqu’à ce que mes couilles viennent frapper ses fesses et je commence des va-et-vient dans ce fourreau chaud qui enserre ma bite.
D’une main je lui tape les fesses et de l’autre je le branle, le plaisir monte, monte, monte et je vois sur le visage de Laurent qu’il est prêt à exploser. J’accélère la cadence et je sens monter la sève dans mon pieu qui le pilonne.

- “Je sens que je vais jouir” me dit Laurent d’une voix tremblante.
- “Moi aussi” dis-je en me retirant.

Rapidement, j’enlève la capote et je m’allonge sur lui sexe contre sexe. Nous nous frottons l’un contre l’autre et très vite nous jouissons sentant le mélange de nos foutres chauds entre nos ventres.
Nous sommes restés un moment comme ça, l’un sur l’autre savourant la descente du plaisir. Nous nous caressons du bout des doigts provoquant des frissons qui nous parcourent tout le corps.
Après une bonne douche nous visionnons les photos et très vite nous sentons le désir nous envahir à nouveau..... Nous avions encore envie l’un de l’autre mais ce fut à peu près la même histoire......
Il m’a fallu du temps après son départ pour redescendre de la planète du plaisir ou nous avions embarqués cet après midi la, lui et moi.

Par Amateur - Publié dans : Histoires
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Jeudi 8 mai 4 08 /05 /Mai 07:00

                    Je suis photographe amateur. Je me débrouille pas mal du tout et cela m'excite de voir des mecs s'exhiber devant moi.
J'avais passé une annonce sur un site car beaucoup de mecs cherchent à faire des photos pour leurs annonces ou page perso. J'ai eu pas mal de réponses et je dois dire que j'ai fait des séances super sympa et bien chaudes mais je ne peux pas tout raconter en une fois.....
Alors je vais vous raconter une des séances qui m'a le plus excité.


                    Paul m'avait contacté pour faire des photos avec son mec. Il m'avait dit : "on voudrait des pics sympa en noir et blanc pour nous et si on se sent bien et si tu nous mets a l'aise, des plus hot pour des annonces lorsque l'on cherche un mec..... On aiment bien les plans a 3"
On convient d'un rendez-vous un après midi chez eux. J'étais très excité déjà à l'idée de photographier 2 mecs surtout si ils se lâchent.
J'arrive chez eux ; un appart cool, spacieux et bien décoré. Paul me propose à boire le temps de se mettre au point pour la séance....
Paul était en jean et chemise et Seb, son mec, en jean et t-shirt.
On devinait déjà que Paul avait un bon paquet et Seb avait un cul superbe moulé dans son 501.....
De les voir tous les 2 et d'imaginer ce qui pourrait se passer, ma bite commençait à être à l'étroit dans mon boxer.
Je commençais la séance par des photos habillées plutôt romantique.
Ils étaient très touchants. Rien que de les toucher pour leur faire prendre la pose, je ne vous dis pas dans l'état que j'étais. Je commençais à les dessaper doucement jusqu'a ce qu'ils se retrouvent torses nus et les jeans déboutonnés. Je vois que cela commence sérieusement à les exciter.
Paul avait du mal à cacher son érection. Je continue à prendre quelques clichés. Je leur dis que pour les mettre à l'aise, je vais tomber le jean.
Ils approuvent et apprécient.
Me voila en boxer moulant (poutre apparente) et t-shirt et je crois que la bosse de mon boxer les intéressent. Je dois dire que je suis BM et que j'ai une queue épaisse avec un gros gland qui ravit les mecs.
A ce moment la, mes modèles commencent a se lâcher. Ils se retrouvent a poils et me demandent si je peux les positionner.

                    Je m'approche, ils sont devant moi à poil et en érection en train de se rouler un super patin. Seb se baisse et ouvre la bouche, prêt a sucer la superbe queue de Paul et la il se tourne vers moi et me dit :

- "Montre moi comment je dois me mettre"

Sans hésiter, je me mets a genoux devant Paul et prends la pose. A ce moment, Paul se cambre et sa bite vient toucher mes lèvres... Je n'ai qu'une envie : enfourner sa queue dans ma bouche. Et la Paul me dit en avançant plus sa queue :

- "Vas-y, montre lui !!"

Je m'empare de cette magnifique et je me mets à le sucer comme un fou. Je lui titille le gland avec ma langue, le gobe et lui lèche les couilles.... Je me retourne vers Seb qui se branlait en se mettant un doigt dans le cul. Je lui demande :

- "Tu as bien vu"
- "Oui"
- "Mais il faut que tu me montres comment de dois me mettre moi aussi ?" me dit Paul.

Je me mets debout et me retrouve avec Seb. A genoux devant moi, la bouche prête a me prendre la queue. Paul fait glisser mon boxer sur mes chevilles et je me retrouve la bite tendue devant la bouche humide de Seb. Ni une, ni deux ; il s'empare de l'engin et se l'enfourne au fond de la gorge en poussant des hummm de satisfaction.
Pendant ce temps, Paul se tâte la bite et dit :

- "Vas-y, bouffe lui la queue !! Elle est bonne hein ?"

Je me retire et Seb lui répond :

- "Putain, quel gland !!! Elle est aussi bonne que la tienne mon Paulo !"
- "Bon je vais faire quelques photos en train de vous sucer. Il faut calmer le jeu si vous voulez des pics" leurs dis-je.
- "Tu as raison Luc, on aura tout le temps après" me dit Paul.

A ce moment, je me dis que je ne suis pas venu pour rien et que le meilleur reste à venir. Encore quelques clichés. Seb est de dos, penché en avant en train de sucer Paul goulûment.
J'ai son beau cul, là, juste devant moi, en train d'onduler. Je ne peux pas résister plus longtemps et je me mets a genoux derrière lui et lui bouffe le cul comme un fou.. Qu'il était bon son cul.......
Je lui mets la langue sur la rondelle et je sens qu'elle se dilate sous mes coups de langue. Ses gémissements sont étouffés par l'énorme queue de Paul qui lui donne des petites tapes sur les fesses en lui disant des mots crus. Il lui dit :

- "Tu aimerais qu'il te baise pendant que tu me suces hein ma salope ?"
Un oui sourd se fit entendre accompagné d'un mouvement de haut en bas pour approuver.

- "Vas-y Luc. Baise le et après on change"

Je mets une capote le plus discrètement possible et je présente mon gros gland devant sa rondelle et bien humide de ma salive. Je pousse doucement pour faire passer la tête.


 

Paul lui baise toujours la bouche en lui tenant la tête pour qu'il ne puisse pas crier et me dit :

- "Vas-y, baise le bien a fond, il aime ça et moi ça m'excite un max."

Je donne quelques coups de reins et me retrouve au fond de son délicieux cul. Je sens sa rondelle se contracter sur ma tige. Je suis aux anges. Paul se penche, m'attrape par la nuque et au dessus de Seb, me roule un patin d'enfer. Puis il me dit :

- "Allez on change !"
- "Ok si tu veux"

Je retire ma capote et me dis une bonne pipe maintenant : c'est cool. Mais a ce moment la Paul se met a 4 pattes et me dit :

- "Vas-y, baises moi. J'ai trop envie et c'est rare. Je suis plutôt actif mais j'ai trop envie de ta queue dans mon p'tit cul."
- "Pas de problème Paul. J'avais très envie de te baiser mais je pensais que cela ne te branchait pas. Avec le beau p'tit cul que tu as, tu penses bien que j'ai qu'une envie : le lécher a fond avant de le baiser longuement."

Me voila derrière Paul en train de lui brouter le fion comme un malade. Il a une raie épilée bien rose avec une rondelle étroite qui palpite sous mes coups de langue : un vrai bonheur.
J'ai envie de le baiser avec ma langue. Je la durcis et donne des coups secs pour rentrer dans son fion. Je sens à ses râles que Paul apprécie.
Seb s'était couché dessous pour le sucer.
Je me suis redressé, j'ai pris une capote et me suis présenté à l'orée de ce petit cul qui m'excitait tant. Il était serré et j'ai eu un peu de mal à passer mon gland. Il a poussé un cri de douleur mais très vite je sentis qu'il prenait du plaisir. Il gémissait et donnait des coups de reins pour que ma queue le pénètre bien a fond.
Je sens le plaisir monter le long de ma tige. Je suis prêt à exploser.
Je sens son corps se cambrer et dans un cri de plaisir, il inonde la bouche de Seb de son foutre chaud.
Seb n'en perd pas une goutte. Il se masturbe et c'est à son tour qu'il gicle sur le visage de Paul juste au dessus.

 

Moi je me retire et lui envoie toute ma purée sur son cul.


Nous nous sommes effondrés les uns sur les autres extenués de plaisirs...

 

Après un petit moment, je suis reparti avec les photos. Je les ai gravées sur CD. Ils étaient super contents.

Ce fut une des meilleures séances que j'ai faite mais il y en a d'autres que je
vous raconterais peut être un de ces 4.

 

Par Amateur - Publié dans : Histoires
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Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 07:00

Des douleurs persistantes dans le dos et les reins me décidèrent à aller consulter un ostéopathe espérant un meilleur résultat qu’avec un kiné.
Je pris donc un rendez-vous avec un ostéopathe du quartier. Il me proposa le samedi suivant à 20h00. Drôle d’horaire pour ce genre de rendez-vous : l’heure tardive déjà et le jour, un samedi.
Enfin, puisque c’est lui qui propose.


Ce jour là donc, au bout de quelques minutes d’attente, l’ostéopathe vient me chercher dans la salle d’attente. Belle surprise en voyant un homme d’environ 35 ans (a peu près comme moi), bronzé, cheveux courts et un corps fin et musclé.
Il portait un jean avec un T-shirt noir près du corps, bref, pas tout à fait la tenue classique du kiné en blouse blanche.
Cela n’était pas pour me déplaire et je ne serais pas dégoûté lorsqu’il me touchera. Il me posa les questions d’usage préalable et me demanda de me mettre en slip puis de m’asseoir sur la table.

Le début de la séance se passa tout à fait normalement, il me fit passer de la position assise à couchée sur le dos et sur le ventre et fit ce qu’il avait à faire.
Au bout d’une demi heure environ, il me dit que j’étais décidément bien crispé et qu’un massage plus complet ne me ferait pas de mal. Je m’attendais à ce qu’il me propose de prendre un autre rendez-vous mais il me suggéra de prolonger la séance si j’avais le temps.
Je suis son dernier client et il n’est pas pressé de rentrer chez lui.
N’ayant rien de particulier de prévu, j’acceptais donc cette prolongation de séance. Et c’est là que les choses évoluèrent rapidement, à ma grande surprise mais aussi pour mon plaisir.

La journée étant caniculaire et la chaleur de son cabinet presque suffocante. Il me demanda la permission de se mettre à l’aise, lui aussi, et de passer un short.
Surpris, je lui donnais « la permission » de se changer pensant qu’il irait ailleurs et reviendrai dans sa nouvelle tenue. Mais je le vis enlever ses chaussures devant moi. Chouette, il va donc se déshabiller ici, je vais en profiter pour le regarder de plus près.
Il enleva ensuite son jean et le plia sur son fauteuil. Je regardais alors son shorty blanc immaculé sur ces fesses et là, je ne sais ce qui m’a pris mais je lui dit qu’il pouvait rester en sous vêtement puisque j’y étais.
Aussitôt après, mon cœur se mit à battre rapidement.
Je regrettais déjà cette phrase et appréhendais sa réponse. Je l’imaginais me mettre dehors.
Mais non, en fait, il se retourna et me regarda un peu surpris tout de même et au bout de quelques secondes me répondit :

- "C’est pas habituel mais comme vous avez l’air sympathique et que la chaleur est inhabituelle, je reste comme ça"

Et aussitôt, il enleva ses chaussettes et son T-shirt. Mon cœur continuait à battre rapidement mais plutôt d’excitation cette fois.
Non seulement il avait bien pris la remarque mais je pouvais aussi l’admirer encore mieux. Le massage commença tranquillement par le haut du dos.
Il se tenait devant ma tête et au lieu de fermer les yeux pour me détendre je gardais la tête appuyée sur mes mains et regardais son shorty juste à quelques centimètres de moi. Je pouvais sentir ses effluves de transpiration pubienne.
Puis, d’un coup, il se pencha sur mon dos pour que ses mains descendent vers mes fesses et son bassin vint se coller sur mon visage.
J’avais la bosse de son sexe sur mon nez. Je fût tétanisé pendant les quelques secondes que cela dura. Il s’éloigna et recommença la manœuvre.
Pris d’un soudain « courage », je tournais la tête de chaque côté pour me frotter contre cette bosse et respirais à plein poumon. Il ne fit aucun commentaire. Son sexe était toujours au repos.
Il me demanda alors de me tourner sur le dos et baissa ensuite la table de massage. Je commençais à avoir une érection visible à travers mon boxer. Il commença par me masser les jambes et les cuisses en remontant au maximum vers le sexe, ce qui ne calma pas mon érection.
Il se replaça alors derrière ma tête pour s’occuper de ma poitrine et du ventre. Il refit donc le même mouvement, c’est pour cela qu’il avait baisser la table, et se pencha au dessus de moi pour que ses mains puisse descendre jusqu’à la ceinture.
Je me retrouvais à nouveau avec son sexe sous le nez.
Surpris lors du premier mouvement, je me lançais lors du second passage pour embrasser franchement cette bosse trop tentante tout en guettant sa réaction. Je l’entendis murmurer :

- "Vas y, tu peux en profiter"

Lors du troisième passage, j’y allais encore plus franchement en commençant à lécher son sexe à travers le shorty. Il resta beaucoup plus longtemps dans la position et sa queue commençait à gonfler.
Mon érection était complète.
Il changea alors de position et entreprit d’enlever mon boxer en me demandant:

- "Tu permets ?"
- "Oui" repondis-je tout excité.

Je me retrouvais nu le sexe dressé. Il enleva alors son shorty et je pus admirer son sexe non circoncis. Il reprit sa position derrière ma tête et se pencha. Je pris alors son sexe dans ma bouche et commençait à le sucer. L’odeur de transpiration m’excitait énormément.
Il prit alors équilibre sur la table et son visage se rapprocha de ma queue qu’il commença à lécher et à sucer.
Je me demandais bêtement si la table supporterait nos poids, comme si c’était le moment.
On continua à se sucer ainsi, à se lécher les couilles, à se mordiller le gland jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche.
Il se redressa et tout en restant sur la table attendit que j’ai finis de le sucer. Il éjacula à son tour peu de temps après.
Je profitais au maximum de son sperme qui inondait ma gorge. Je le suçais jusqu’au bout pour nettoyer jusqu’à la dernière goutte.
Il me dit merci et remit aussitôt son shorty et me demanda de me rhabiller comme s'il ne s’était rien passé.
Je ne fis pas de commentaire, je le paya et suis parti.
C’est là qu’il me dit qu'il était préférable que je refasse une séance dans quelques temps …..

Je garde un excellent souvenir de cette séance très particulière et me demande ce que sera la prochaine !

Et la prochaine fut :














...ça à l'air efficace : le p'tit mec à l'air de ne plus avoir mal au dos...

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : lascars chauds
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Mercredi 26 mars 3 26 /03 /Mars 11:24
Notre ami phill (site)  qui a déposé un commentaire à propos de l'article Connaissez vous les glory holes ? m'envoie, suite à ma demande et je l'en remercie, la relation d'une de ses expériences (réllement vécue ?) en la matière que vous pourrez lire ci-dessous.
J'avoue n'avoir aucune expérience des glory holes bien que j'en ai repéré un, malheureusement toujours inoccupé, dans des toilettes publiques à Manosque. Si quelqu'un
a des infos sur ce glory hole, je suis preneur et prêt à tenter l'expérience...
Mais voici le texte, que j'ai laissé tel quel et que je n'ai pas illustré, de phil :

"je frequente des glory holes ,à karlsruhe en allemagne ,il y a un sexshop avec des cabines ou on passe des films hetero et 4 cabines sont homo ,avec d'enormes trous dans les cloisons,l'endroit est propre ,et bien tenu;j'entre dans une cabine,et je ferme la porte ,je tire le verrou,il y a un film sur l'ecran ,je me mets aussitot à poil 'et commence à me masturber doucement,de l'autre coté du mur ,je vois 2 mecs qui s'en donnent à coeur joie,le premier se fait enculer,il est en train deme regarder ,je m'approche du grand trou de la cloison, et pousse ma bite de l'autre coté la bouche du mec me pompe ,comme c'est bon!!!  au bout de5min de ce va et vient je sens la sauce monter alors je me retire doucement,me baisse et à mon tour je suce sa queue ,il se fait toujours limer par le mec,je lui leche les couilles je saisis les couilles de son baizeur,et lui enfonce un doigt dans le fion,je continuede pomper le mec qui éjacu le dans ma bouche,il est haletant ,se retire de son enculeur ,il lui roule un patin se rhabille ,et sort.le mec en face de moi n'a pas encore craché,je lui fais signe de s'approcher,il se masturbe à toute vitesse,je prends sa bite en main,calme le jeu,je retire sa capote,lui leche le gland,il bandedur,je sens une premiere goutte,le leche,j'engouffre sa bite,le suce,doucement,il veut accelerer,alors je me retourne et lui presente mon cul ,il m'empale d'un seul coup,oh putain,je le sens bien,il me masse la prostate ,je jouis du cul ,sans éjaculer,je me retire,,me retourne,et là je reçois en pleine face le premier jet de sperme ,je m'empresse d'engouffrer sa queue et je prends le reste dans ma bouche;divin nectar,je ne laisse aucune goutte,leche tout,je crois qu'il va partir,et là,surpris il me pompe ,divinement, pendant au moins 30min.soudain il m'enfonce le gode dans le cul ,quel pied mes amis, je ne tiens plus et j'ejacule ,il a vale mon jus ,j'ai encore joui du cul, un orgasme pareil ,c'est super!! on s'est encore leché et on s'est roulé une pelle avant de nous quitter;"
Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : AllAboutSex
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 07:01

Je m'appelle Bruno, je suis bi et marié. J'aime le sexe sous toutes ces formes avec une légère préférence quand même pour les mecs car avec eux il n'y a pas de chichi, c'est direct.

Ca fait un moment d'ailleurs que je n'ais pas baisé avec un mec alors un soir je décide de passer une P.A sur un site gay pour rencontrer un mec en semaine pour un bon plan sexe sans prise de tête.
Tous les jours en rentrant du boulot je me précipite sur ma boite email pour regarder les éventuelles réponses.
Je reçois pas mal de réponses mais à chaque fois la plupart des mecs habitent loin de chez moi. Jusqu'au jour ou je reçois une réponse d'un mec qui habite la même ville que moi et qui cherche un moment sexe lui aussi.
Dans son email il me joint des photos de lui a poils. Il est assez mignon et surtout BM.
Je ne réfléchis même pas et lui répond immédiatement en lui demandant son N° de téléphone pour un contact rapide.
Quelques minutes plus tard c'est chose faite.
Alors ce vendredi soir vers 17h, j'appelle ce mec et la on se fixe un rendez vous pour le soir même.
Il m'explique ou il habite : facile a trouver, il habite face a la mer.
Je lui demande de me recevoir en slip et torse nu.

300904114.jpg Arrivé devant sa porte, je sonne, la porte s'ouvre.
Il est la devant moi en mini slip avec déjà une bite super raide dépassant largement de l'élastique.
A peine avoir franchi la porte, il me roule une pelle bien baveuse en guise de bienvenue. Nos langues bien chaudes tournent l'une autour de l'autre en se bataillant ferme.
Sans attendre il se penche, ouvre ma braguette et 16172291089.jpg commence à me sucer comme un fou (je suis chaud mais alors lui me bat allégrement).
Il fait glisser mon pantalon sur mes chevilles tout en s'activant sur ma queue, j'en profite pour me mettre torse poils.
A voir comment il s'acharne sur elle je pense que je dois être à son goût. En tout cas il m'excite grave, ma queue est raide et prête à exploser. Je lui baisse le seul vêtement qu'il porte et qui lui comprime le sexe depuis tout à l'heure.
J'en profite pour en faire autant tout en gardant mes chaussures comme seuls vêtements.

Je le vois prendre du poppers et très excité il me demande de le baiser non sans m'avoir une dernière fois bien bouffé la bite. Il me présente une capote et du gel.
52180624391.jpg Je ne me fais pas prier et en moins de deux j'enfile la capote, lui badigeonne le cul de gel et le retourne sur son canapé.
Je présente mon gland à l'entrée de son cul et l'enfonce jusqu'a la garde.
Il pousse un cri mais me demande de ne pas m'arrêter et d'y aller a fond. Je me mets alors à le baiser comme un sauvage.
Il pousse des gémissements et me dit : "toi au moins tu sais te servir de ce que tu as entre les jambes"
Je l'encule comme un forcené en faisant sortir ma bite complètement avant de la re-rentrer d'un coup. Je joue avec son cul et il a l'air d'aimer ça à voir comment il se trémousse à chaque coup de bite que je donne. Il me dit d'arrêter car il veut changer de position.
Je me retrouve la comme un con la bite au garde a vous.
Il m'embrasse goulûment avant de se diriger vers la fenêtre.
Il a envie de se faire baiser devant celle-ci à la vue des personnes qui marchent dans la rue.

Cette idée me plait et m'excite encore plus.Il se met en position, les mains posées sur la fenêtre et le cul cambré déjà bien ouvert par ma précédente chevauchée.Je le pénètre directement en lui donnant de bons coups de queues. Sa têtetambourine de temps en temps contre le carreau.C'est super excitant de voir au loin les gens par la fenêtre et d'imaginer qu'ils puissent nous voir.
Je le vois se branler par le reflet de la fenêtre, il me dit qu'il va jouir et aussitôt 4 giclées de sperme viennent s'écraser contre la fenêtre. Je n'en peux plus moi non plus et dans un râle je jouis à mon tour dans son cul.
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C'était un vrai plaisir et je compte bien le revoir dès que possible             

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : Espace Gay Sexe
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Mardi 18 mars 2 18 /03 /Mars 07:00

 

 

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Ce mercredi matin, je voulais m’éclipser du travail, sans but défini au préalable. J’arrivais a Vincennes vers 13h30, une cigarette grillée à la sortie du métro et mes pas m’avait conduit devant l’entrée du sauna bain « les Montensiers ». Ma prédilection pour les hommes murs m’y avait fait déjà faire des rencontres intéressantes. Les plus de soixante ans, j’adore. J’avais décidé de me lâcher (je suis bi et marié). Après m’être changé au vestiaire, je suis allé prendre une douche, propre, nickel, prêt à l’emploi. Après quelques aller retours du sous sol au rez de chaussée, je l’ai repéré. Environ 65ans, assis sur la banquette les jambes dans le vide, la bite a la main. Je l’ai maté par la porte ouverte, il se prêtait au jeu, me vantant la marchandise en la tendant vers moi.

 

  undefined Quatre ou cinq pas m’amenèrent près de son engin. Un regard de sa part m’encouragea à le soupeser. Belle queue a demi raide, lourde, en état d’hibernation. La porte refermée, à demi courbé, sans un mot encore échangé, j’embrassais doucement son sexe, l’entourant avec mes mains en corolle. Il pivota et s’allongea sur le dos, mes lèvres courant de sa bite à sa poitrine, suçant ses mamelons, embrassant son ventre, prenant ses mains et les portant a mes lèvres, je lui embrassais la paume... J’avais chaud, et ondulais de façon lascive pour lui. J’aime faire la pute, la petite salope.je lui avouais mes penchants pour une légère domination, fessées, humiliations, mots crus. Dans ses bras refermés sur moi, à l’oreille je lui ai confié que j’aimais me mettre de la pine de vicieux à l’affûtage en bouche. Excité, il commença à me demander de le satisfaire en commençant par ses couilles... il n’y a rien de meilleur que de se mettre sexuellement au service d’un homme qui sait que rien de sa libido ne lui sera refusé. Deux minutes après, la situation avait changé. J’étais allongé sur la banquette et lui s’était assis sur mon visage.

La gueule bloquée dans sa raie culière, m’activant soit du nez ou de la langue, j’étais bien. J’adorais sentir
06060413-copie-1.jpg son petit trou s’ouvrir peu a peu sous mes efforts comme une figue bien mure. J’ai profité de cette position avantageuse pour l’écarter et lui donner un maximum de plaisir, le paquet poilu de ses couilles emplissant mon paysage. Les jeux de sucette on dure longtemps, je me suis fait fesser, gifle, insulte, traiter comme un pd et me reconnaissant comme tel. Je me suis fait labourer la gueule pendant une bonne heure et demi (il m’a avoue prendre du viagra).il a fini par jouir en s’asseyant sur ma poitrine, me bloquant les bras, le gland sur les lèvres. Sur ses ordres, j’ai ouvert la bouche, sorti ma langue. Il a posé son gland dessus et après m’avoir averti, j’ai senti son foutre tiède, épais dans ma bouche. Un doigt pose sur la pomme d’adam, il a contrôlé que j’avalais bien son jus.  C’était un bon après midi, loin du boulot.

 
   
Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : Espace Gay Sexe
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 09:00

                    Salut à tous ! Je vais vous parler de mon meilleur ami, celui dont j'ai toujours été amoureux pendant de nombreuses années (11 ans maintenant alors que j'en ai 24).
Malheureusement je dois vous préciser qu'il est à 100% hétéro.
J'ai toujours rêvé de le voir nu, ne fut-ce que peu de temps sans même le toucher. Bien sûr, la majorité de mes séances de masturbation étaient centrées sur lui et son corps de rêve.

                    Il y a presque deux ans maintenant, nous avons décidé de partir entre meilleurs amis deux jours sur la côte pour nous évader du stress de notre boulot.
Détail important, le beau mâle est un viril militaire (ça vous dit?). Nous avions loué une chambre d'hôtel pour la nuit.

                    Arrivés sur place, nous avons décidé de faire une guindaille monstrueuse. Nous avons donc bu toute la fin d'après midi et une bonne partie de la nuit. Je me suis arrêté à un certain moment car j'avais peur de ne plus pouvoir contrôler mes pulsions qui étaient déjà très fortes.
De retour à l'hôtel, mon bel ami était complètement beurré et il s'est écroulé sur le lit (un grand lit pour nous deux) et s'est mis à ronfler comme un ivrogne. Je me suis dit que je ne pouvais pas le laisser dormir tout habillé et j'ai donc commencé à m'approcher et à le secouer pour voir s'il réagissait.
Aucune réaction, j'ai donc commencé à déboutonner son jean's.
Je n'avais pas l'intention d'aller bien loin avec lui.
Je lui ai donc retiré le pull, le t-shirt et le jean's comme j'ai pu.
Il était là, à côté de moi, en boxer. Il ne bougeait toujours pas.
La tentation était trop grande !!!
J'ai doucement caressé son boxer qui me semblait terriblement bien rempli et attirant. Je me suis penché sur lui pour en renifler l'odeur. C'était merveilleux, cela sentait bon, comme la meilleure odeur de sexe que vous pouvez imaginer.
Je l'ai à nouveau secoué pour m'assurer qu'il dormait bien. Toujours pas de réponse de sa part. J'ai continué.
D'abord un bisou déposé sur ses lèvres, puis dans son cou, sur son torse. Enfin un rêve devenait réalité : déposer mes lèvres juste sous son nombril. Sa peau était si douce ! J'ai continué à descendre et ai embrassé son doux boxer DIM qui sentait si bon.
Je ne pouvais plus résister, mon coeur battait à tout rompre et mon sexe était droit et humide comme jamais. J'ai délicatement baissé son boxer qui m'a découvert un splendide sexe, très long et épais, garni de superbes testicules gonflées de sperme.
Agréablement surpris par la beauté et la puissance de cette verge, je me suis mis à l'embrasser délicatement et ai continué en léchant ses testicules.
582.jpg Est arrivé ensuite le plus beau moment. Toujours sur ma lancée (qui était très sûre grâce à l'alcool que j'avais bu) j'ai saisi son sexe, l'ai décalotté pour découvrir un splendide gland à la forme particulièrement grosse et appétissante. Je l'ai donc porté à ma bouche et l'ai sucé délicatement. Cette verge avait un goût merveilleux que je n'avais jamais senti auparavant et que je n'ai jamais retrouvé depuis.
Une vraie odeur de mâle en rut, hummmm. J'ai effectué de nombreux va-et-vient sur le sexe de mon ami, le rendant plus ferme mais pas totalement en érection.
Il devenait énorme, j'aurais bien voulu le voir complètement dur !!! Je planais. Jamais je n'aurais pu imaginer une telle sensation possible. C'était mieux que ce que j'avais pu imaginer.

                    Je crois qu'ensuite, il s'est un peu rendu compte de ce qui se passait car il s'est retourné sur le ventre assez rapidement.

Moi, j'ai décidé de le laisser tranquille et d'aller calmer mon excitation sans la salle de bains. Cette nuit là j'ai joui comme jamais, en sentant ce goût prononcé de son sexe dans ma bouche. Cela reste mon meilleur souvenir sexuel. john57-88UMD-copie-2.jpg

                    Si vous désirez me faire part de vos remarques, commentaires, expériences, ou tout simplement être en contact avec moi pour se raconter d'autres expériences vécues, n'hésitez surtout pas à m'écrire !!! Je me ferai un plaisir de vous répondre, de communiquer avec vous par mail ou par chat et de vous envoyer quelques photos de lui ou de moi. Merci à vous et à bientôt.

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : Espace Gay Sexe
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Lundi 10 mars 1 10 /03 /Mars 11:15

L'histoire que je vais vous raconter, est arrivée voilà aujourd'hui 6 ans, eh oui le temps passe vite, mais les bons souvenirs restent.

Je venais de passer mon Bac avec brio et me dirigeai vers une fac de droit, pour devenir ce que je suis aujourd'hui avocat. Je partais donc de ma Provence natale pour la grande capitale dont on me narrait les folles nuits et ses habitants, plutôt froid le contraire de leurs nuits.
On m'avait attribué à mon arrivé un parrain afin de me faire découvrir l'enceinte de la fac et guider mes pas dans cette ville qui s'ouvrait à moi.
Je me demandais sur quel type de personnage je pouvais bien tomber je m'attendais à un mec du genre coincé dans son look de petit bourgeois mal dégrossi.
Mais voilà qu'arrive à mon étonnement un beau jeune homme d'une allure sportive 1m86 les yeux verts les cheveux châtain avec des reflets dorés, j'avais vraiment l'impression de voir une page de magazine de diriger vers moi, j'étais tout intimidé et me trouvais alors plutôt banal à côté de lui, personnellement je fais 1m78 les yeux verts brun et sportif également je pratique la course à pied ainsi que la natation.....

Les présentations faites, Baptiste me fit faire le tour des bâtiments et en quelques phrases nous devînmes vite ami et inséparable, il était en 3eme années et était ravis de me servir de guide, venant lui même de la Provence ce qui nous fît un point commun de plus.
I adv-ss-pow-ly-sht-copie-1.jpg l m'invitait le soir même à faire un footing et finir à la piscine, j'étais ravi je ne pensais pas m'y remettre si vite.
Le soir venu il vient me chercher moulé dans un short lycra et un tee-shirt, le tout mettant bien en avant les atouts qu'il avait nombreux, après 1h00 de course, nous voilà arriver à la piscine. Quel plaisir après cette course effrénée.
Il me propose alors un bon massage pour me détendre, je n'allais pas dire non même si c'était la première fois qu'un mec me touchait.

Nous voilà partis chez lui non loin de la piscine, j'étais allongé sur son lit torse nu MASSAGE01-1.jpeg me livrant à ses massages que je recommande par ailleurs, il s'était alléger de ces vêtements et était en caleçon et se trouvait sur moi, je sentais ses mains me pétrir le dos et je commençais à sentir une excitation grandir dans mon bas ventre à mon grand étonnement, mais je ne laissais rien paraître.
Quand sorti de ma torpeur il me proposa de retirer mon bas de survêtement et mon caleçon afin de mieux me masser, j'étais je l'avoue très gêné mais lui aucunement, il se détourna et je me remis vite sur le ventre afin qu'il ne voit pas mon érection.
Et le massage repris avec en prime des caresse sur les fesses et sur les cuisses, je me laissais emporter par ces mains.
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J'entrouvrais mes cuisses et sentis alors son souffle le long de mon échine, il m'embrassait le bas du dos, ne tenant plus je me retournais et me jetais sur sa bouche que j'embrassais avec ardeur.










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Mes mains commençaient l'exploration de se corps sublime et tendu d'excitation, son caleçon ne résista pas longtemps et mes mains branlaient avec avidité ce sexe si parfait et dédié à tous les plaisirs encore non exploré.









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Je sentais ces mains me caresser et sa bouche envelopper dans un hall de chaleur mon sexe gonflé qui ne mis pas longtemps à répandre sa semence que mon bel apollon avala d'un trait avec du délice dans les yeux.











Et cette nuit je découvris tout ce qu'un corps d'homme peut faire pour vous faire monter aux cieux :

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Baptiste m'avoua qu'il était surpris que je réponde si vite à ses attentes, mais cela à toujours été mon principe de vie, profite de chaque instant que la vie t'offre comme si c'était le dernier, et ne te pose pas de question la vie est trop courte.
Il a fallu que je sois à la fac pour découvrir ces plaisirs peut être un peu tard, mais pour la 1er fois j'étais comblé plus qu'on ne peux imaginer, et la magie opère encore aujourd'hui comme au début et je suis l'homme le plus heureux sur cette terre.

Et depuis ce jour là nous nous voyons toujours et je travaille dans la même étude que lui et nos soirées sont toujours très très sportives. Pour les habitués vous pouvez nous voir courir au Champs de Mars tous les soirs.
Alors à bientôt et n'hésitez pas.
Nous ne sommes pas du genre inabordable, nous vous offrirons un massage à 4 mains....
Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : 100 % Gay Sex
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Mercredi 5 mars 3 05 /03 /Mars 09:25
J’avoue que c’est un de mes fantasmes récurrents depuis bien longtemps et il m’est apparu que, depuis un peu plus de cinquante ans que j’éjacule, si, au lieu de gaspiller mon sperme un peu partout, à terre, dans des kleenex, dans des culs, des cons, des bouches etc…je l’avais minutieusement congelé aussitôt après émission, je serais maintenant à la tête d’environ 250 à 300 litres de sperme bien frais : de quoi prendre un bon bain une fois décongelé et réchauffé…
Cela reste possible grâce à Philippe Meste qui tente d’accumuler un mètre cube de sperme dans son « spermcube »  1l-20scube-20Z33.jpg (cf : http://www.spermcube.org/ ) mais je doute qu’il accepte de décongeler ce qu’il considère comme une œuvre d’art simplement pour me permettre de prendre un bain… d’autant que je ne suis pas sûr que, délais d’acheminement aidant, tout ce sperme soit bien frais…
Restent deux possibilités, une virtuelle grâce au spermatorium (Spermatorium) de Gaytan où je viens de verser la totalité du sperme contenu dans mon blog, soit 100 bons litres… Ou (mais qui serait capable d’organiser cela ??) un remplissage continu d’une baignoire de 100 litres autour de laquelle viendraient se branler, 10 par 10, 5000 mecs éjaculant en moyenne 2cc en 2 minutes, ce qui ne prendrait, si mes calculs sont bons, que 16 heures et des poussières… On peut rêver, non ?

En attendant, faites comme moi, branlez-vous, c’est bon et il paraît que ça évite les problèmes de prostate…
Et que ça gicle !
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Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : 100 % Gay Sex
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La cuisine au sperme !

 

Pour nous aider à surmonter notre dégoût du sperme,  Paul “Fotie” Photenhauer, 37 ans, gay, infirmier à San Francisco a eu l’idée d’écrire un livre de popotte pour le moins original, « Natural Harvest » (récolte naturelle), dont toutes les recettes contiennent du sperme. Pour les néophytes en la matière, il est conseillé de commencer par intégrer le sperme à une simple omelette, car celui-ci se cuisine comme le blanc d’oeuf. Par contre, les desserts et les cocktails soulignent davantage le goût particulier du liquide. Et pour ceux qui trouvent encore cela rebutant, il faut savoir que le sperme est très nutritif et peu calorique (10 calories / cuillerée à thé). Il contient du fructose, des protéines, des minéraux (magnésium, phosphore, potassium) et des vitamines (B12, C).


Bien entendu, il est préférable de le consommer frais, ou au maximum deux jours après sa production, afin de profiter de toutes ses qualités nutritionnelles. Vous pouvez aussi le conserver au congélateur, mais sa texture risque de se détériorer légèrement. Autre avantage, et non des moindres : le sperme ne coûte rien. Il est possible d’en trouver assez facilement, pour peu que l’on s’adresse à la personne du bon sexe…». Mais le plus important, bien sûr, c’est que le sperme aurait le don polisson de réveiller les ardeurs des plus sages d’entre nous.
 
Pour Paul, cet amoureux de la gastronomie, « le sperme est un ingrédient aphrodisiaque qui donne un effet de surprise intéressant à chaque plat » et  quoi de plus excitant que d’inviter Jules à un petit dîner aux chandelles et de lui faire goûter les yeux bandés, un petit plat affriolant, forcément préparé avec beaucoup  d’amour !!!
 
Tous ceux qui ont un peu voyagé savent que des choses répugnantes chez nous sont considérées, ailleurs, comme de purs délices. Les Suédois ont adopté un poisson pourri comme plat national. Les Péruviens font griller des hamsters au dîner, les Anglais adorent leurs saucisses au sang et les Américains consomment chaque jour des litres de sécrétions produites par les glandes mammaires des vaches. Aujourd’hui, on a droit à la cuisine au sperme, qui se décline en des plats divers et variés. Les recettes les plus populaires sont bien sûr celles où l’on ne sent presque pas le sperme. Les cocktails par exemple, fournissent une parfaite entrée en matière érotique. Dilué dans un verre d’Irish Coffee “with extra cream” ou dans une coupe multicolore de “Strawberry Splasharita", le sperme n’est plus guère qu’une sorte de “petite touche personnelle excitante”, inodore et invisible…
 
Passons ensuite aux mises en bouche : brochettes de saumon “vernies” (recouvertes d’une pellicule brillante et caramélisée de sperme), caviar “légèrement salé” (ou tarama amélioré)… « Voilà une manière rigolote d’entamer un repas, explique Paul. Les fruits de mer et les poissons s’entendent très bien avec le sperme et en plus, ils partagent avec lui ce côté stimulant pour l’imagination : on pense aux tentacules, aux ventouses, aux œufs, aux huîtres, aux moules…».
 
Mais la cuisine au sperme est surtout une question d’assaisonnement et de mise en ... bouche ! Le but du jeu n’est pas de transformer le sperme en ingrédient banal, rangé au frigidaire à côté de la mayonnaise… Non, il s’agit bien plutôt de redonner au sperme son pouvoir de séduction. « Ce livre de cuisine a été créé pour des dîners  entre adultes consentants, précise l’introduction du livre. S’il vous plait, ne mettez pas de sperme dans le repas de vos invités sans les en informer ». Petit détail : le virus du VIH meurt au contact de l’air. Il n’y a donc aucun risque si le sperme est mélangé à des aliments.
 
Pour ceux qui auraient encore quelques appréhensions, sachez que le sperme rendrait heureux. Selon une étude de la State University of New York, les hommes qui ont été en contact avec le sperme de leur partenaire sont plus heureux que les autres. Alors, à vos fourneaux !
 
Le saviez-vous ?
 
Selon une enquête réalisée par la BBC , l’alimentation influencerait le goût du sperme. Trois couples ont ainsi fait office de cobayes. Durant trois jours, les hommes ont en quelque sorte « remis à zéro » le goût de leur semence en ne consommant pas d’alcool, pas de nourriture épicée et aucun aliment au goût fort (asperges et ail, par exemple).
 
 Chacun d’entre eux s’est ensuite vu attribuer un régime particulier à suivre le plus fidèlement possible (sans que leur moitié soit au courant du contenu de leur assiette) : épicé pour le premier, iodé pour le second, fruité pour le troisième, ces dames ont-elles remarqué, le lendemain matin, un changement dans l’odeur et dans le goût du sperme de leur conjoint ?
Seule l’une d’entre elles s’est trompée, après beaucoup d’hésitations. Cependant, dans tous les cas, elles ont toutes affirmé avoir remarqué une différence, tant au niveau de l’odeur qu’au niveau du goût.
 
Pour résumer, en cas de régime végétarien strict, le sperme de votre Jules pourrait avoir le goût d’un bon bouillon de légumes. Cette situation appréciée en hiver, peut-être agréablement remplacée en été par une consommation de fruits de saison, donnant une saveur rafraîchissante. Il est à noter, qu'une consommation exclusive de chips, donne un goût étonnant de bacon fumé, idéal à l'heure de l'apéro !

 

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