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  • : Bienvenue sur jusdequeues ! Vous ne verrez ici « queue » du sperme, de la jute, du foutre, du jus, du jus d’homme, du liquide séminal, de la liqueur spermatique, du sirop de corps d’homme, du yop… J’ai en effet décidé de montrer ce que j’aime trouver sur le web. Et ce que je préfère c’est la bite et surtout le sperme. Quoi de plus excitant qu’une belle bite gonflée de désir en train de juter ? Quoi de plus excitant qu’une bonne giclée de foutre sur n’importe quelle partie du corps ?
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Le jus de queue

 

Le jus de queue est une combinaison de plusieurs fluides, les spermatozoïdes produits par l'épididyme, le liquide prostatique, le liquide produit par les vésicules séminales et les sécrétions des glandes de Cowper. Le mélange ne se produit que dans les fractions de secondes qui précédent l'éjaculation.

Une éjaculation représente en moyenne 2 à 5 millilitres.

La densité normale de spermatozoïdes serait comprise entre 20 et 200 millions par millilitre.

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Vendredi 6 juin 5 06 /06 /Juin 07:00
Ce soir là, nous revenions d'un week-end à la campagne, mon père, ma mère, ma soeur et Bernard, un voisin.
Mes parents étaient assis à l'avant, tandis qu'à l'arrière Bernard s'était assis au centre.
La nuit était tombée, ma mère et ma soeur s'étaient assoupies, et mon père écoutait les dernières nouvelles à la radio, conduisant en silence.
A moitié endormi, je regardais par la fenêtre les lumières de la nuit défiler. Bernard était un peu plus âgé que moi, il devait avoir à peu près 25 ans (j'ai 19a pour ma part). Il faisait des études d'ingénieur à la fac.
Il habitait une chambre sous les toits dans un immeuble voisin du nôtre.
Mes parents l'invitaient souvent pour le week-end à la campagne. Ils l'aimaient bien et je le trouvais plutôt sympa. Nous avions de longues conversations sur tout un tas de sujets.
Une fois il m'avait demandé si j'avais une petite amie, mais comme ce n'était pas le cas, je n'y avais pas prêté d'importance. Je ne l'avais jamais vu avec une fille non plus, seulement des copains avec qui il devait étudier dans sa chambre.

Curieusement, alors qu'il y avait de la place, il s'était collé à moi sans doute pour ne pas gêner ma soeur qui sommeillait à l'autre bout de la banquette.
Son bras était contre le mien et, comme nous étions en chemisette, je sentais la chaleur de sa peau contre la mienne.
Soudain, à la faveur d'un virage négocié un peu rapidement par mon père, il posa la main sur ma cuisse pour prendre appui afin de ne pas être déporté. Elle y resta.
Je sentais sa chaleur à travers le tissus de mon pantalon. Il resta longuement, la main posée sur ma cuisse exerçant des pressions comme pour me pétrir la cuisse. Il me caressait doucement la cuisse à travers le tissus, du bout des doigts.
Rien ne bougeait dans la voiture, tout était normal.
Mon père conduisait calmement. Ma mère, sur le siège avant, et ma soeur, à côté de Bernard, dormaient. La radio distilait sa musique douce entrecoupée d'informations.

Petit à petit, la main de Bernard se mit à me caresser plus nettement l'intérieur des cuisses, en faisant des petits cercles avec ses doigts. Ce n'était pas désagréable, au contraire, je me laissais faire.
Je me désintéressais de la route et tout à fait sorti de ma somnolence, je tournais la tête vers lui pour voir ce qu'il me voulait.
Dans la pénombre je vis qu'il regardait droit devant lui, comme si de rien n'était. Il dû sentir mon regard sur lui, car il se retourna et j'aperçus, malgré le peu de lumière, un sourire complice sur son visage.
Il reprit son regard fixe et ses caresses qu'il faisait négligemment, comme on caresse machinalement un chat posé sur ses genoux. Sa main faisait des cercles de plus en plus larges, si bien que ce qui devait arriver arriva, il effleura mes parties.
Oh, juste effleuré, sans plus, comme par inadvertance.
Comme je ne disais rien, il recommença, toujours comme par inadvertance. Ses caresses se dirigeaient de plus en plus souvent vers mon entrejambe, enfin, il se mit à me caresser plus précisément cet endroit là et finit par placer définitivement la main sur ma braguette.
Il vérifia du regard ma réaction et à mon tour, je lui fis un sourire, lui montrant qu'il pouvait continuer. Il ne se fit pas prier et ses caresses furent plus appuyées.
J'avais écarté les cuisses pour mieux m'offrir à ses caresses qui étaient bien agréables. Mon coeur battait d'émotion et mon sexe depuis quelques temps s'était mis à durcir.
Mon pantalon était en toile légère, il devait sentir, à travers le tissus, mon sexe qui grossissait bien que comprimé dans mon slip. Sa main glissait le long de ma braguette sur mon sexe et descendait entre mes cuisses écartées.
Il me caressait les testicules puis remontait le long de ma verge qui finalement s'était dressée dans mon slip le long de mon ventre.
Après quelques va et vient voluptueux, il se mit à ouvrir ma braguette et y glissa la main à la recherche de ma queue toute dure.
L'ouverture n'était pas bien grande et il ne tarda pas à défaire ma ceinture et à déboutonner mon pantalon. Toujours impassible, il introduisit sa main, la passa sous l'élastique de mon slip et me saisit la bite qui soudain libérée de l'étreinte du slip se développa et devint encore plus grosse et plus dure.
Sa main était chaude, c'était agréable. Je m'allongeais un peu plus dans le siège et rentrais le ventre pour lui faciliter la tâche.
Ma soeur dormait toujours à poings fermés, ainsi que ma mère. Mon père ne s'était rendu compte de rien ne s'occupant que de sa route.
Bernard me caressa ainsi longuement. Je me laissais faire, tout au plaisir qui m'était ainsi donné. Ses doigts agiles décalottaient mon gland, descendaient jusqu'à mes boules, les faisaient rouler délicatement, remontaient le long de la tige, ainsi de suite.

Malgré mes 19 ans j'étais encore très innocent. Je n'avais pas vraiment de petite amie. J'étais sorti (comme on disait à cette époque) avec des copines, mais on n'était jamais allé plus loin.
En classe, un garçon avait bien essayé de me peloter l'entrejambe mais instinctivement j'avais repoussé son geste bien qu'après coup, j'ai regretté de ne pas l'avoir laissé faire...
Jusqu'à ce jour personne d'autre que moi-même n'avait exploré ces régions intimes ni ne m'avait procuré une quelconque jouissance.
Je savourais donc particulièrement ces instants comme une découverte de nouvelle sensation et de nouveaux plaisirs, renforcée par l'attrait du fruit défendu, et par la situation cocasse, dans une voiture en présence mais à l'insu de mes parents.
Malheureusement toute bonne chose doit avoir une fin, nous fumes ramenés sur terre par mon père qui nous dit qu'on arrivait en ville, et que tout le monde devait se réveiller.
Bernard retira sa main et je refermais mon pantalon, le plus discrètement possible, comme si moi aussi je me réveillais.
Personne ne s'était aperçu de rien. Heureusement. J'aurais bien aimé lui dire que j'avais apprécié ses caresses et que j'aimerais bien qu'il continue mais je devais rester discret.
Bernard habitait juste à côté de chez nous, dans l'immeuble d'à côté. Nous nous sommes séparés le plus naturellement du monde, même si, en me souhaitant bonne nuit il me fit un clin d'oil complice que seul je pouvais comprendre.

Le lendemain je le croisais dans le quartier. Il ne fit aucune allusion à ses caresses, peut-être parce qu'on était dans la rue, il me salua gentiment me demandant :

- "Alors, remis de ton week-end ?"
- "Oh oui", dis-je en rougissant.

Mais il y avait du monde autour de nous aussi je n'eus pas le courage de lui dire que j'avais particulièrement apprécié le voyage de retour.
Il me sourit et m'assura qu'il aimerait bien être de nouveau invité.
Quelques jours après, le vendredi, je le croisais à nouveau. Cette fois-ci, j'étais avec ma mère.
Il lui demanda si j'avais toujours des problèmes avec les maths et la physique, comme ma mère lui disait que j'étais toujours un peu faible elle lui dit qu'elle serait très heureuse d'accepter la proposition qu'il avait faite ce week-end de me donner des cours particuliers.

- "Le mieux serait que Augustin vienne chez moi tout à l'heure avec son matériel, je verrais ce que je peux faire", répondit-il.

L'affaire fut conclue, et à peine rentré je pris mes affaires et allais chez lui dans sa chambre de bonne, sous les toits.
L'ascenseur s'arrêtait au 5ème étage, après il fallait emprunter un escalier raide et monter encore deux étages, puis longer un long couloir sombre.
Je trouvais sa porte grande ouverte, seule lumière dans ce sombre boyau. Il faisait ainsi car il n'y avait pas de nom sur la porte et toutes se ressemblaient, les visiteurs devaient, comme j'aurais dû le faire, sonner au début du couloir et il serait venu lui même ouvrir et montrer le chemin.

- "Entre ! Mets toi à l'aise." me dit-il.

Son petit appartement était composé d'une grande pièce bien agencée. Dans la partie la plus proche des fenêtres, un coin bureau, un canapé et deux fauteuils modernes autour d'une table basse, près de l'entrée, une cuisine américaine, propre et bien rangée, et enfin, dans un coin, un lit près de la porte qui conduisait sans doute à la salle de bain.
Des fenêtres on voyait les toits des immeubles voisins, mais personne ne pouvait nous voir dans l'appartement.
Peu de meubles, des placards et aux murs des affiches et des dessins genre B.D. ou des photos de garçons et filles avec lui.
Il était assis à son bureau et me dit de prendre un tabouret et de m'asseoir à côté de lui. Il feuilleta mes cours et me dit que c'était tout à fait de sa compétence, qu'il pouvait tout à fait m'aider et qu'il allait faire de moi le meilleur de ma classe.
Il se tourna vers moi et me dévisageant me demanda :

- "Tu as confiance en moi ? Tu crois que tu pourras ?"

Sur ma réponse affirmative il me demanda ce que je voulais boire. Comme il n'y avait rien d'autre, il me servit un verre de vin et nous avons trinqué à notre collaboration.
C'était la première fois qu'on était tous les deux en tête à tête depuis l'épisode de la voiture de dimanche dernier.
Je ne savais pas bien quelle attitude adopter, et nous sommes restés dans un silence un peu pesant.
Il se leva et alla fermer la porte, celle qui donnait sur le couloir et au bout de celui-ci, celle qui donne sur l'escalier et où se trouvent les sonnettes.

- "Je laisse la porte ouverte afin de faire entrer un peu de fraîcheur, mais ainsi on ne sera pas dérangé, c'est plus intime et si on a trop chaud, on n'a qu'a quitter notre chemise. Pas vrai ?"

Il montra l'exemple en quittant la sienne puis il alla ouvrir la fenêtre.

- "Quelle chaleur, si tu as trop chaud, n'hésite pas à te mettre à l'aise toi aussi, vas-y tu verras on est mieux."

Comme il insistait, je l'imitais et quittais mon polo. Il vint se rasseoir à côté de moi.

- "Voilà ! t'es pas mieux ? A ta santé !" dit-il en levant son verre, puis il se pencha sur mes livres et mes cahiers.
- "Où as-tu des difficultés ? Que veux-tu que nous travaillions en premier ?" me demanda-t-il en mettant familièrement la main sur mon épaule.

Le contact de sa main me fit frissonner. Je lui répondis en lui montrant les matières qui me donnaient le plus de difficultés. Sa main maintenant me caressait le dos, descendait jusqu'à la taille, remontait sous les bras, c'était agréable et excitant.

- "Tu as la peau douce me dit-il soudain, j'aime bien te caresser, tu aimes aussi ?"
Je lui fis oui de la tête.
- "Tu te rappelle dimanche soir dans la voiture ?"

Je le regardais en rougissant, bien sûr que je me rappelais mais j'étais un peu pris au dépourvu et je ne sus que lui répondre.

- "Tu n'as pas aimé ?" me demanda-t-il en fronçant les sourcils, inquiet.
- "Si bien sûr ! Je te savais pas comme ça" lui dis-je rougissant encore plus.
- "Tu voudrais que je recommence ?"
- "Oh oui !" lâchais-je enthousiaste.
- "OK ! mais pas aujourd'hui, tes parents doivent trouver que tu restes bien longtemps. Rhabille-toi, je descends avec toi."

Je remis mon polo, il remit sa chemise et nous rejoignîmes l'appartement de mes parents où il leur proposa de me donner des leçons particulières toutes les semaines le mercredi après midi.
Comme le mercredi après midi j'étais seul à la maison, on aurait plus de temps. Quand il fut parti je me mis à trouver que le prochain mercredi était bien loin.
Le soir dans mon lit, j'essayais de retrouver les sensations que m'avaient procuré ses caresses, celles dans la voiture et celles sur mon dos tout à l'heure. Mais je n'arrivais pas à l'intensité du plaisir procuré par la main d'un autre........

Le mercredi arriva enfin. J'étais tout excité. Je pris une douche et m'aspergeais de l'eau de toilette de mon père. Je m'habillais d'un short de tennis et d'un polo, il faisait toujours aussi chaud.
Je pris mes affaires et montais dans sa chambre de bonne pour ma leçon particulière. La porte du couloir était fermée, je sonnais et il vint m'ouvrir.
Il était lui aussi en short mais beaucoup plus moulant que le mien, torse nu. Arrivé dans sa chambre, il ferma la porte. Il faisait toujours aussi chaud, et il me proposa de me mettre torse nu, comme lui.
Nous nous mîmes au travail, il expliquait bien, et je commençais à comprendre un peu mieux ces matières rébarbatives.
Souvent il posait sa main sur mes épaules et me caressait le dos. Quand nous eûmes travaillé une demi-heure, il me dit :

- "Bon on a bien avancé. Tu veux boire quelque chose ?"

J'optais pour le vin, sachant qu'il n'y avait que ça. Après nous avoir servi, il revint s'asseoir à coté de moi.

- "Tu veux faire un jeu ? J'en ai quelques uns."
- "Ouais d'accord !"
- "Eh bien choisis !"

Il me montra sur son ordinateur tous les jeux qui y figuraient. J'en choisis un et il me le mit en route et me montra comment faire, guidant mes gestes. Il avait sa main gauche sur mon épaule, sa main droite me montrait sur le clavier.
Je compris vite les subtilités du jeux et fus vite capable de jouer seul.
Il me laissait faire regardant mes prouesses sur l'écran. Il déplaça légèrement sa chaise se mettant légèrement de biais, les cuisses écartées, une de chaque côté de mon tabouret.
Il mit sa main droite sur ma cuisse et commença à me caresser la cuisse. Pris par le jeu, je le laissais faire.
Sa main droite glissait sur ma cuisse tandis que sa main gauche me parcourait le dos. Il remonta de la main droite au haut de mes cuisses, et glissa ses doigts sous le tissus du short.
Il ne tarda pas à effleurer mon sexe.
De la main gauche il me caressait les reins et glissa aussi ses doigts sous la ceinture à la recherche de mes fesses. Je me laissais faire mais j'étais trop distrait par ses caresses et accumulais les fautes.
Quand je sentis ses doigts pénétrer dans ma culotte, sur mes fesses, je poussais un petit « Oups » d'étonnement.

- "C'est de ma faute ! Excuse moi je te distrais et te fais faire des bêtises."
- "Non ! C'est rien" lui répondis-je, je pensais à autre chose.

En effet, je sentais ma queue durcir dans mon slip. Quand il s'en rendit compte il se mit à me caresser la queue à travers mon short.
J'appréciais de plus en plus ses caresses et jouais de moins en moins bien à ce jeu vidéo, cependant pour donner le change je feignais de m'y intéresser.
Il mit la main dans mon short et commença à me le retirer.

- "Si quelqu'un venait ?" lui dis-je, un peu inquiet.
- "Il n'y a pas de risque, il faudrait sonner à la porte du palier ce qui nous laisserait le temps de nous rhabiller pour aller ouvrir. N'ai pas peur, on ne risque rien. Et puis qui viendrait ?"

Devant ces arguments je me laissais faire délaissant définitivement le jeu. Je remarquais que la braguette de son short était bien gonflée et faisait carrément une bosse.
J'avais bien envie de voir ce qui se cachait derrière tout ça.
Il m'enleva complètement mon short et m'emmena sur le canapé. Il quitta son short lui aussi et se mit à côté de moi.
Comme il était presque nu, je l'observais, il était grand et fort, on voyait sa musculature sous sa peau fine, ses muscles sans être ceux d'un athlète, se distinguaient bien, il n'avait que très peu de poils, plutôt blonds, surtout sur les cuisses, son mini slip noir soulignait sa silhouette.
La bosse de son slip était encore plus grosse et on distinguait à travers le tissus tendu la forme de sa queue.
Je m'aperçus que lui aussi me regardait sur toute les coutures. Rien que d'y penser augmentait mon érection.
Moi même, je suis aussi assez grand, fin, pratiquement sans poils, je fais du sport et mes muscles commencent à se former et à se distinguer.
Comme j'ai des amis qui ont des piscines, je suis déjà bien bronzé.
Dès que nous fumes assis, il se rapprocha de moi. Nos peaux moites à cause de la chaleur se frôlaient.

- "Ça va ? tu es bien installé ?"
- "Oui, pas de problème !"

Il se remit à me caresser. Sa main chaude sur ma peau était douce. Ses caresses sur la face interne de ma cuisse ne firent qu'augmenter mon excitation. Il mit la main sur mon slip, il sentit ma queue déjà bien dure.
Il ne disait rien, nous savourions l'instant.
Il glissa la main dans mon slip et saisit ma queue qu'il commença à caresser doucement. J'aimais ce contact chaud et délicat.
Il jouait avec le gland encore protégé par le prépuce, le décalottait, le recouvrait dans des gestes lents et doux. Il descendit le long de la tige jusqu'aux poils, puis saisit mes boules, les caressa doucement, remonta sur la tige, tout ça très lentement, très doucement, c'était savoureux, j'étais aux anges.
J'éprouvais les mêmes sensations que dans la voiture, mais n'étant qu'en slip, ses mouvements étaient plus aisés.
On en serait resté là, j'aurais été pleinement satisfait. Complètement innocent, je ne connaissais rien aux choses du sexe et n'imaginais pas ce qui allait suivre.
J'avais très envie de moi aussi lui toucher le sexe. Je n'osais car je ne l'avais jamais fait mais je me dis d'autre part que je ne pouvais pas rester passif pendant qu'il me faisait tant de bien, je devais essayer de lui rendre le plaisir qu'il me procurait.
Je tendis la main et la posais sur son slip où je sentis son membre tout dur et d'une taille que je trouvais énorme, du moins par rapport au slip qui avait du mal à contenir un tel engin.
Je le caressais à travers le coton, pendant qu'il caressait le mien. Je glissais la main dans son slip, assez maladroitement et essayais de lui faire les mêmes caresses qu'il me faisait et qui me faisaient tant de bien.
Je l'entendis respirer un peu plus fort quand je lui ai touché la verge directement, de même quand je lui saisis les couilles à pleines mains, montrant qu'il éprouvait du plaisir à mes caresses, même si elles n'étaient pas bien précises.
Je découvrais le corps d'un autre homme, ses muscles, sa peau douce, aux poils soyeux, son sexe dressé, dur et qui me paraissait énorme par rapport au mien.

- J'aime bien quand tu me caresses comme ça ! Tu l'as déjà fait souvent ?" me demanda t-il.
- "Euh non, c'est la première fois !"

Je ne mentais pas, si je n'avais jamais été caressé, je n'avais pratiquement jamais caressé personnes d'autres sauf quelques unes de mes petites copines, et encore seulement les seins, le plus souvent à travers leur corsage .
En tous cas, je n'avais jamais touché d'autres sexes masculins que le mien.

- "Et tu aimes ça ?"
- "Oh oui !" répondis-je enthousiaste.

Il se pencha et m'embrassa sur les lèvres. Sa langue me força à ouvrir la bouche et partit à la recherche de la mienne. Ce n'était pas mon premier french kiss, mais c'était le premier avec un homme.
J'aimais ce contact nouveau pour moi, le léger picotement de la barbe au niveau des lèvres, la langue puissante, avec une face un peu rugueuse et l'autre si douce, onctueuse, humide, chaude .
Rien à voir avec les bouches des filles que j'avais eu l'occasion d'embrasser jusqu'alors.
Je chavirais complètement, sa main me triturait la bite, sa langue me pénétrait la bouche, je prenais connaissance de ses organes d'homme, nous échangions nos salives, j'étais au summum du plaisir.
Du moins je le pensais car je ne savais pas que je n'en étais qu'au début.

Il cessa le baiser et se mettant debout, il m'attira vers lui. Il se baissa et me quitta mon slip qu'il fit glisser le long de mes cuisses.
Sa tête était à la hauteur de mon sexe, il le saisit à deux mains, le décalotta, se mit à le lécher comme un sucre d'orge tout en jouant avec mes boules.


Puis il ouvrit la bouche et avala mon pieu en entier. Oh quelle sensation ! C'était chaud ! moite ! doux !
Sa langue me caressait le gland, j'étais si bien dans sa bouche que j'y serais resté des heures. Il se mit à aspirer, puis à faire coulisser ses lèvres le long de la hampe, je l'aidais de petits mouvements du bassin (Je comprend maintenant certains gestes vulgaires de mes camarades de classe).
Je sentis la sève bouillir dans mon bas ventre, ma tige durcissait, le sang y affluait à la faire éclater, mes muscles du bassin se bandaient dans un effort qui projetait mon sexe vers le haut et en avant, j'avais envie de le pénétrer au plus profond de la gorge.
Des picotements annonciateurs de la jouissance me parcouraient la verge et les testicules, je compris que j'allais cracher et lui dis :

- "Arrête, je sens que ça vient !"

Il ne bougea pas et mon sperme jaillit dans sa bouche sans qu'il ne se retire. J'éjaculais si fort que je faillis être expulsé de sa bouche. Il me pompa jusqu'à la dernière goutte, je sentais mes genoux défaillir, j'étais étourdi de plaisir.


Je m'affalais dans le canapé complètement groggy.
Il vint s'asseoir à mes côtés et me caressait la poitrine.

- "Alors, tu as aimé ta première pipe ? car c'est bien la première n'est-ce pas ?"
- "Oui"

Il me donna un long baiser, j'étais conquis et ne pensais qu'à recommencer.

- "Tu veux bien me faire la même chose ?" me demanda-t-il doucement.

Étonné tout d'abord, je compris vite que je ne pouvais pas recevoir sans donner moi même. Je me redressais donc et me mis à lui quitter son slip. Sa verge sauta tel un diable qui sort de sa boite.

- "Comme elle est grosse !" dis-je admiratif.

Il sourit. Je me mis à la caresser pendant qu'il agitait les jambes pour faire tomber son slip. Il écarta les cuisses et je pus saisir complètement ses boules qui elles aussi étaient énormes.

- "Vas-y, prends la dans ta bouche !"
- "Je pourrai jamais, elle est trop grosse."
- "Mais non elle n'est pas trop grosse, elle est tout à fait normale"
- "Tu trouves la mienne trop petite ?" demandais-je soudain anxieux.
- "Mais pas du tout, elle est très bien et tu sais que tout le monde n'est pas monté pareil et je peux t'assurer que j'en ai vu des bien plus grosses."

A moitié rassuré, je me mis à la lécher comme il avait commencé tout à l'heure. Elle avait bon goût, je sentais que j'allais aimer les bites.
Enfin je me lançais et je pris le gland dans la bouche, en ouvrant très grand les mâchoires afin de ne pas le blesser avec mes dents.
Je sentais ma cavité buccale remplie par ce gland turgescent, j'en faisais le tour avec la langue, le mouillais de ma salive, puis petit à petit je descendis mes lèvres le long de la hampe.


Il entrait sans peine et je pus faire glisser dans ma bouche plus de la moitié de la longueur.
Je ressentis quelques débuts de nausées mais je respirais très fort du nez et ça se calmait.
Je fis le même glissement en arrière, puis en avant, comme il m'avait fait tout à l'heure. Il mit ses main dans mes cheveux et m'encouragea :

- "Oh que c'est bon ! Tu t'y prends très bien ! Ta bouche est bonne ! Vas-y pompe moi à fond !"

J'aspirais son gland, l'intérieur de mes joues se collaient à son sexe, il glissait jusqu'au fond de ma gorge. A force d'écarter les mâchoires, j'en avais des crampes, mais elles passèrent. N'en pouvant plus, je lâchais le tout et épuisé, je me redressais.

- "Tu as aimé ma queue ?" demanda-t-il.
- "Oui, c'est bon."
- "Tu vois, elle est pas si grosse que ça."
- "Je sais pas ce qu'il te faut, j'en ai mal aux mâchoires."
- "Pauvre petit !" me dit il et il m'embrassa.

Pendant ce temps il me caressait les couilles. Je m'étais remis à bander. Il délaissa ma queue et prit la sienne en main et commença à se branler. Je le regardais étonné qu'il se branle tout seul.


- "Qu'est-ce que tu fais ?" lui demandais-je.
- "Eh bien tu vois, je me branle !"
- "Tu n'veux pas que je te suce ?"
- "Si je ne demande que ça !"
- "Je veux te faire autant de bien que tu m'en as fait. C'est pas bien de se branler tout seul sans penser à moi, c'est à moi de le faire ! Non ?"
- "Mais Augustin, mon chéri ! quand je me branle, c'est en pensant à toi !" dit-il en riant et il m'embrassa à nouveau.

Je repris donc son manche en bouche et me remis à le pomper goulûment. Cette fois je n'avais plus mal aux mâchoires, et je m'habituais déjà à la taille de son sexe qui me remplissait toujours autant la bouche. J'y trouvais aussi plus de plaisir.
Il remit ses mains sur ma tête et me guida dans mes mouvements, adaptant le rythme de mes lèvres à son désir. Il allait de plus en plus vite. Je le suçais longtemps, je lui caressais les boules, les fesses, puis enfin, n'étant pas habitué encore, et ne l'ayant pas senti venir, je reçus au fond de la bouche son sperme qui gicla dans une puissante éjaculation qui lui souleva tout le bassin.


Il projetait son bassin en l'air comme s'il voulait niquer le ciel, enfin ma bouche qui se trouvait à la place du ciel mais qui essayait de lui procurer l'ascenseur pour le septième.
Il éjacula de nombreuses fois et je le pompais jusqu'au bout. J'essayais d'avaler mais avec son gros machin dans la bouche c'était pas facile, je m'étouffais.
Je sentais des filets de sperme mélangés de salive qui coulaient de mes lèvres le long de sa verge.
Enfin il se calma et je pus me retirer et avaler ce que j'avais dans la bouche. Je léchais le mélange de salive et de sperme qui dégoulinait sur son bâton et sur ses couilles.
Le goût curieux au début (c'est normal pour ma première pipe) finit par me plaire.
Quand je l'eus bien nettoyé, il m'attira à lui et nous échangeâmes un long baiser, et cette fois c'est moi qui pénétrais sa bouche. L'après-midi était bien avancée et il me fallait rentrer.

- "Viens prendre une douche, on doit empester le foutre." me dit-il.

Je m'allongeais dans la baignoire, il prit le jet et se mis à me savonner de la tête aux pieds.

- "Moi je me laverais demain, je veux garder ton odeur encore un peu de temps."
- "J'ai hâte qu'on soit la semaine prochaine !" lui répondis-je.
- "Moi aussi, je t'apprendrais des tas d'autres façons de jouir."
- "Oh mais celles là me vont parfaitement."
- "Tu vas voir, il y en a de bien meilleures encore !"
- "Je ne crois pas que ce soit possible, tu m'intrigues."

Je l'embrassais et rentrais chez moi, joyeux comme un pinçon. Rentré à la maison je m'enfermais dans ma chambre et me mis à pleurer de bonheur. Je n'avais jamais été aussi heureux et je repensais à tout ce qui m'était arrivé avec Bernard.
Comment un bel homme comme lui, sportif, intelligent, bien dans sa tête, pouvait avoir été si attentionné avec moi, j'étais innocent, puceau, maladroit que sais-je ?
Que pouvait-il me trouver, il devait être entouré de filles et sans doute de garçons bien plus séduisants que moi ?
Je rêvais ainsi le soir dans mon lit et mes branlettes solitaires ne parvenaient pas à me rappeler les magnifiques jouissances que j'avais éprouvées avec lui.


Quand j'étais dans ma chambre, je passais mon temps à la fenêtre essayant de l'apercevoir. Je ne mangeais pratiquement plus, négligeais mes copains, en un mot j'étais amoureux.....

.....Enfin la semaine passa et quand le mercredi fut là, je brûlais d'impatience. Après une douche méticuleuse, je m'habillais pour la circonstance. Tee-shirt ample, Slip pas trop serré en coton blanc, pantalon serré à la taille mais à pinces pour mettre mes fesses en valeur et me voilà parti pour ma "Leçon particulière".
A mon arrivée, dès qu'il eu fermé les portes, je l'embrassais amoureusement. Ce baiser réveilla mes souvenirs et j'eus du mal à accepter de me mettre au travail comme la semaine dernière.
Il tenait à commencer par la leçon. Il était sérieux et cette fois pas de câlins. Cependant, n'y tenant plus, je mis le premier ma main sur sa cuisse.

- "Arrête ! pas maintenant, le travail d'abord, la bagatelle après !" me dit il.
- "Je ne pourrais pas tenir !"
- "Faudra bien ! Tu as tenu une semaine, qu'est-ce que quelques minutes de plus, et que diraient tes parents si tu ne faisais pas de progrès, ils cesseraient ces cours et on ne pourrait plus se voir ?"
- "OK, mais dépêchons-nous !"

Quand il eut finit ses explications et que j'eus résolu le dernier problème, il se leva et me demanda si je voulais boire quelque chose. Il me servit un verre de vin et je m'installais dans le canapé.
Il vint à mes cotés et je m'allongeais confortablement dans le coin, il se pencha vers moi, me souleva mon tee-shirt et se mit à me caresser le ventre et la poitrine.
De sa bouche il me léchait les seins, mordillait mes tétons, me caressait le nombril, y introduisait la langue.

- "Tu sens bon le savon, j'aime bien, il faut toujours être propre."
- "Je me suis lavé en pensant à toi" lui répondis-je.

Il se mit à me défaire ma ceinture et déboutonna mon pantalon. Il fit glisser la fermeture éclair qui en passant me chatouilla la verge déjà toute gonflée.
Il entra la main dans mon slip et sortit ma verge. Il la caressa, la lécha, puis descendit mon pantalon et mon slip jusqu'aux genoux.

- "T'es toujours aussi doux, j'aime ta peau douce, on dirait une peau de bébé."

Il me caressait le testicules, me branlait lentement.

- "Quand tu te branles tu penses à quoi ?"
- "Depuis que tu m'as tripoté dans la voiture, je ne pense qu'à toi, bien sûr !"
- "Eh bien moi aussi !"
- "Comment ça, tu te branles ?"
- "J'ai tellement envie de toi que depuis une semaine je n'arrête pas de penser à toi."

Il se redressa et m'embrassa longuement. Je me mis à le caresser, relevant sa chemise que je dus faire sortir de son pantalon, je lui pétrissais le dos, puis descendit une main sur son sexe que je trouvais tout bandé.
Je me mis à lui déboutonner son jean, puis le lui quittais.
Pendant que je poussais son pantalon et son slip jusqu'aux pieds, il ôta sa chemise, puis retira mon tee-shirt.
Nus tous les deux nous commençâmes à nous caresser mutuellement. Il me suça, je le suçais, je prenais vraiment goût à ces jeux amoureux.
On se retrouva vite par terre en soixante-neuf.


Je faisais tout pour me retenir, mais quand je sentis sa queue se durcir encore plus, ses cuisses se tendre, son bassin se tétaniser, je compris qu'il allait venir et je jouis en même temps que lui.


Je lui crachais tout le contenu de mes couilles dans de nombreux jets qui me procuraient tant de plaisir. En même temps, il m'inondait la bouche de son liquide gras et chaud que cette fois je pus savourer avec plaisir et avaler jusqu'à la dernière goutte.
On s'étendit sur le tapis l'un à côté de l'autre, tête-bêche afin de récupérer un peu de nos forces.

- "Dis donc tu as l'air de faire des progrès, au moins dans cette partie de mes leçons, t'es devenu un véritable expert en pipes, bravo !"
- "Quand j'aime, j'apprends vite" lui répondis-je en riant.
- "Moi aussi je t'aime" me dit-il.

Ses couilles étaient à portée de ma main, je me mis à les caresser, il prit les miennes et nous sommes restés ainsi quelques instants à nous caresser. Mon sexe fut très vite au garde-à-vous, le sien suivit et nos caresses devinrent plus agréables.

- "Tu m'as dit la semaine dernière que tu allais m'apprendre de nouvelles façons de s'aimer ? Tu te rappelle ?"
- "Oui bien sûr !"
- "Tu veux bien m'apprendre ?"
- "Puisque tu insistes ! Viens, on sera mieux sur le lit !" me dit il en se relevant.

Il me prit par la main et me dirigea vers son lit. Il me fit coucher en travers, les fesses au bord, puis il me releva les cuisses jusqu'aux épaules et me dit reste comme ça.
Je me tenais les genoux, dans une position fetale reposant sur le dos, je sentis qu'il me léchait la raie des fesses, des reins jusqu'aux testicules. En passant il s'attarda sur mon petit trou.


Je ne pensais pas que cet endroit que jusqu'alors j'avais négligé pouvait procurer du plaisir.
Il me lécha longuement et essaya même de me pénétrer avec sa langue.

- "Tu aimes que je te lèche par là ?"
- "Oui ! c'est agréable !"

Je me redressais sur les coudes pour essayer de voir ce qu'il faisait. Il mit ses mains sur l'arrière de mes cuisses et poussa pour que je me cambre plus.
Il se suça un doigt et se mit à me masser l'anus.

- "Détends-toi, Augustin, laisse toi aller, tu vas voir comme c'est bon de se faire enculer."
- "Tu veux m'enculer ?"
- "Oui, c'est de ça que je voulais parler, après tu m'enculeras si tu veux. Laisse moi te montrer, je ne veux que te faire du bien, fais moi confiance."

Il mouilla plusieurs fois son doigt et ses massages me détendaient le muscle anal. Il commença à enfoncer son doigt ; d'un demi centimètre au début, puis il le fit tourner, le mouilla encore et repris son massage.
Il tendit la main vers sa table de nuit où il prit un petit flacon. Il m'enduisit l'anus avec du gel, et continua ses massages, son doigt ainsi pénétrait beaucoup plus facilement.
Un centimètre, puis deux, puis tout le doigt. Il faisait pénétrer le gel dans mon conduit anal et tournait le doigt pour bien lubrifier l'intérieur.

- "Comment tu trouves ces massages ?" me demanda-t-il
- C'est pas une position très agréable mais j'aime bien."
- "Décontracte toi, sinon je vais te faire mal, il faut que ton muscle anal soit très détendu ainsi tu n'éprouveras que du plaisir."

J'essayais de me laisser aller, d'être le plus décontracté possible, totalement confiant dans ses capacités et son expérience. Son doigt maintenant était entièrement entré, il allait et venait dans mon petit trou, sans difficulté.
Mais un doigt ce n'est pas une bite, et celle de Bernard est quand même plus grosse que son doigt.
Je sentis qu'il en faisait entrer un deuxième. Mon sphincter se distendait sans difficultés. Il les fit tourner à l'intérieur.
Je sentais mon petit trou s'ouvrir et c'était plutôt agréable.

- "Ça va toujours ?" me demanda-t-il.
- "De mieux en mieux, je commence à y prendre goût."

Il faisait tourner ses doigts dans mon cul et de l'autre main il se saisit de ma bite qui s'était un peu ramollie. Il la branla lentement, si bien qu'elle reprit vigueur.
Il se redressa et se mit du gel sur la queue. Il me demanda de me retourner, à genoux par terre, couché sur le ventre sur le lit, les fesses en l'air.
Il se mit à genoux lui aussi derrière moi, entre mes jambes, il mit ses mains sur mes hanches et positionna son gland bien lubrifié sur ma rondelle prête à le recevoir.
Je le sentis pousser doucement son braquemard.

- "Si tu as mal tu me le dis, je veux que tu jouisses pas que tu ais mal ! tu me diras hein mon chéri ? Si tu as mal j'arrête. D'accord Augustin ?"
- "Promis, je te dis si tu me fais mal, tu peux y aller !"


Je sentis mon anus s'ouvrir sous la pression du gland et celui-ci pénétrer petit à petit. Mon sphincter n'en finissait pas de s'ouvrir. J'étais pénétré par le sexe de Bernard, je le sentais m'envahir par le trou du cul.
Mon anus se distendait, chaque fois je croyais qu'il allait se déchirer mais il s'ouvrait encore.
Je sentais que le gland était entré et que mon muscle se refermait comme pour l'empêcher de ressortir.
Bernard s'arrêta de pousser, il reprenait sa respiration, je sentais bien son gros truc en moi.

- "Ça va toujours ? Je peux continuer ?" me demanda-t-il
- "Oh oui, c'est bon, vas-y, continue, je t'aime !"
- "Je t'aime moi aussi ! Je n'ai jamais eu autant de plaisir !"

Je sentais sa tige progresser doucement dans mon fondement, centimètre par centimètre. C'était une sensation vraiment nouvelle pour moi, être pénétré, lui appartenir, le sentir en moi, le posséder.
Je me sentais rempli par son sexe chaud à l'intérieur de mes entrailles mais plus que son sexe je sentais Bernard en moi, il était en moi.
Il arrêta sa progression, me demandant encore si tout allait bien. Je le réconfortais, je le sentis qui reculait comme si il voulait ressortir, les bourrelets de son gland furent stoppées par mon muscle anal que je contractais comme pour le retenir en moi.
Je serrais le plus fort qu'il m'était possible. Puis il repris sa pénétration vers l'avant, s'enfonçant un peu plus profondément, recula, puis ré-avança, dans un mouvement de va et vient lent, voluptueux, puissant. A chaque fois il s'enfonçait un peu plus.
Son vit coulissait agréablement dans mon anus bien lubrifié maintenant, je sentais son contact avec les parois de mon rectum. Il devait me presser la vessie car j'eus envie de pisser mais ça passa.
Quand je sentis ses poils pubiens me chatouiller les fesses je compris qu'il était au fond.
Ses va et vient étaient plus longs, il sortait et ne laissait que le gland à l'intérieur, puis s'enfonçais à nouveau jusqu'au fond de mes entrailles.


Il m'attira vers l'arrière et se saisit de ma verge pour me branler.
Je me redressais et tournais la tête pour l'embrasser. Il me mordillait le cou, les oreilles, me pinçait d'une main le bout des seins, comme si j'étais une fille, de l'autre il me masturbait.
Son engin glissait d'avant en arrière dans mon trou du cul. C'était bon.
Je sentais ses mouvements s'accélérer, il me fit me pencher en avant en se couchant sur moi, puis me lima de plus en plus violemment poussant la pénétration de plus en plus profondément et tout à coup je me sentis envahir par sa chaleur, par un liquide chaud qui me remplissait de bonheur.
Il était tétanisé, le corps dressé vers l'arrière. Il poussa ainsi plusieurs fois son sexe au plus profond, puis s'affala sur moi, épuisé.

- "Oh mon chéri, dit-il, comme c'était bon ! J'ai jamais jouis comme ça. Et toi ? Tu as aimé ?"
- "Oh oui, j'ai jouis mais c'est très différent, ça venait de l'intérieur, pas du sexe, comme si ton engin me faisait jouir par le cul, de l'intérieur."

Il passa la main sous moi, sur mon sexe et vit que j'avais jouis.


- "Tu vois t'as même craché sans te toucher, tu t'en est rendu compte."

Il se retira petit à petit et là encore c'était jouissif. Pour ma première sodomie ce fut un coup de maître. Il se leva et alla à la salle de bain se nettoyer mais je fus étonné, son sexe n'était pas vraiment souillé.
Je fus soudain pris d'une envie d'aller me vider le trou du cul si pressante que je le fis devant lui. Je sentis son foutre s'écouler par mon trou du cul béant puis, petit à petit mon sphincter se referma.

- "Tu vas avoir un peu mal au cul pendant quelques instants mais ce soir ça sera oublié et il ne restera que le bon souvenir. Rentre vite, il est tard, la semaine prochaine c'est toi qui me prendras. OK ?"
- "OK, Je t'aime !" et je filais.

Arrivé chez moi je m'enfermais dans ma chambre jusqu'au soir, essayant de revivre ses instants de plaisir si nouveaux pour moi.
A table ma mère me demanda comment ça se passait avec Bernard.

- "Très bien, il est sympa, il explique bien, on refait le programme depuis le début, et quand c'est lui qui m'explique, je comprends bien mieux. Il est très patient."
- "Et il te garde combien de temps pour tout ça ?"
- "A peu près une heure, on fait aussi des problèmes. Quand on a fini, je joue sur son ordinateur, il a plein de jeux super !"
- "Tu l'embête pas trop en restant ainsi ?" demande mon père.
- "Oh non, c'est lui qui a insisté, et il a joué avec moi, ça le distrait de son travail et pour certains jeux c'est mieux à deux" (si mon père savait quels jeux on faisait à deux !).

Le week-end suivant on est allé à la campagne, il nous a accompagné. Il a été charmant, mon père et ma mère l'adoraient. Ma soeur ne nous a pas quitté et je n'ai pas pu m'isoler avec lui.
Au retour on reprit la même position dans la voiture, et dès que la gente féminine fut assoupie, on a recommencé à se tripoter.
Cette fois on s'est caressés mutuellement à travers le pantalon. Il m'a tellement caressé que j'ai jouis dans mon slip. Je crois que lui aussi.

Le mercredi suivant arriva vite. Je me rendais chez lui tout fébrile. J'avais hâte de terminer la leçon pour qu'on reprenne nos ébats.
Le rituel fut le même, quand la leçon fut finie il m'offrit un verre de vin et comme il était debout je me levais pour l'embrasser.
Ce fut un long baiser pendant lequel nous nous sommes caressés mutuellement, tout en nous déshabillant l'un l'autre.
Il me dirigea vers son lit et nous nous allongeâmes. On se retrouva rapidement en soixante-neuf mais nous nous sommes arrêtés avant de jouir.

- "On a tout le temps, retiens-toi ! tu verras c'est bien meilleur de se retenir" me dit-il.

Je lâchais sa bite pour ses testicules que je me mis à lécher pendant qu'il me léchait la raie des fesses. Il pointait sa langue dans mon petit trou qui, plus souple que la semaine passée s'ouvrait plus facilement.
Il faut dire que toutes les nuits, j'avais essayé de me rappeler les sensations ressenties lors de ma première sodomie en me mettant un doigt dans le cul.
J'avais hâte qu'il me pénètre à nouveau. Il me lécha longuement le cul et finit par y mettre un doigt. Je savourais tant ses caresses que je négligeais son sexe pourtant fièrement bandé devant mes yeux.
Il me fil allonger sur le ventre et s'allongeant à côté de moi, me caressait l'anus d'un doigt humide pendant qu'il m'embrassait.

- "Tu veux que je te prenne ?"
- "Oh oui, prends moi comme la dernière fois !"
- "Non, on va faire autrement. Ne bouge pas."

Il prit dans sa table de chevet du gel qu'il me mit sur l'anus, le faisant bien pénétrer avec son doigt. La sensation de froid redoubla mon envie qu'il me pénètre.

- "Mets-toi sur le dos et relève bien les jambes en les écartant !"

J'avais l'impression de lui offrir mon derrière. Il s'allongea entre mes cuisses ouvertes et positionna son gland bien lubrifié contre mon petit trou.
Il positionna mes genoux sur ses épaules, mit ses mains sur mes épaules et je le sentis pousser.

- "Décontracte-toi, tu es déjà bien ouvert, je vais rentrer beaucoup plus facilement, pousse toi aussi, comme pour faire tes besoins !"

Je poussais et je sentis son gland ouvrir le passage et entrer lentement en moi, suivi se toute la hampe. Il m'embrassa quand il fut entré tout entier et on resta ainsi longuement.

- "Tu as moins mal que la semaine dernière ?"
- "Je n'ai pas mal du tout, au contraire, j'aime bien te sentir en moi."

Mon sexe s'était légèrement dégonflé, je sentais le sien, bien dur, bouger dans mon rectum et me caresser les muqueuses. Je le sentais beaucoup plus nettement que la dernière fois, je devenais un amateur de sodomie.
Il se mit à s'agiter d'avant en arrière, ses pénétrations étaient profondes, je sentais ses poils pubiens me caresser les fesses.
Quand il reculait, il ressortait la totalité de son membre pour le ré-enfoncer jusqu'au fond de mon cul et le passage de son gros gland à chaque fois sur mon sphincter me procurait un plaisir extrême.
Il se mit à aller de plus en plus vite pour finalement se bloquer au fond de moi, tendu à l'extrême et je vis sur son visage la crispation du plaisir pendant que je sentais son sexe bouger tout seul et me cracher sa semence dans le derrière.


Épuisé de plaisir il s'affala sur moi, me couvrant de baisers.
Sa queue devenue molle fut éjectée par mon anus et son expulsion me procura encore du plaisir.
Je pus enlever mes jambes de ses épaules et reprendre une position plus confortable, je m'aperçus que mon sexe avait coulé et que mon ventre était plein de foutre.
On prit une douche en nous caressant mutuellement puis après nous être séchés, l'un l'autre, on s'allongea sur le lit.

- "Tu veux me prendre ? me dit Bernard."

Moi qui croyais que l'amour entre homme se faisait avec un actif et un passif, je fus étonné de sa question mais étant novice et prêt à tout apprendre, je lui répondis que s'il le désirait je voulais bien essayer.

- "J'ai très envie de sentir ta belle queue me labourer le derrière, allez, viens je vais te guider."

Il me fit coucher sur le dos et m'enduisit la queue de lubrifiant, puis il s'en mit sur l'anus et vint s'asseoir sur mon pieu qu'il avait saisit d'une main.
Je sentis son petit trou s'ouvrir sous la pression de mon gland turgescent, son poids appuyais sur ma queue bien dressée qui petit à petit se frayait un chemin en lui.
Son anus passé, je glissais à l'intérieur voluptueusement. Je sentis ses fesses contre mon pubis.
Il étendit les jambes le long de ma poitrine et se pencha en arrière sur ses bras tendus, cambré, la tête en arrière.
Je me levais légèrement et je vis mon sexe bouffé par son cul. Au premier plan je voyais son sexe mi-bandé et ses couilles qui pendaient.
Il se mit à monter et a descendre le long de mon sexe, je voyais ses abdominaux faire tout le travail, moi même je ne faisais rien.


Ses fesses à chaque mouvement serraient mon sexe et je sentais son muscle anal glisser tout le long de la hampe en me procurant le maximum de jouissance en arrivant au gland.
Il se dégagea et vint se coucher à plat ventre sur le lit.

- "Viens sur moi maintenant."

Il écarta les cuisses et je me mis derrière lui et pris ma verge à pleine main pour la diriger vers sont trou béant et avide de me recevoir à nouveau.

- "Tu aimes ça me demanda-t-il ?"
- "C'est bon et c'est chaud j'adore, d'ailleurs je ne vais pas tarder à jouir " lui répondis-je.
- "Retiens toi le plus possible, tu verras comme c'est bon de se retenir !"

Je m'arrêtais de le limer afin de retarder la jouissance et quand je sentis que je ne pouvais plus me retenir je me mis à le baiser sauvagement en me dressant sur les bras afin de bien voir mon sexe s'agiter entre ses fesses bien rondes qu'il s'efforçais de serrer le plus possible autour de ma queue.


La jouissance fut telle que je crachais une quantité faramineuse de jus dans son rectum.
Épuisé je m'affalais sur le lit, étourdi.
Quand je repris mes esprits il me nettoyais le sexe avec une serviette. Nous nous sommes embrassés longuement. Abasourdi par tant de plaisirs, je me rhabillais et lui dis en l'embrassant :

- "A mercredi prochain, je t'aime."

Nous eûmes souvent ces leçons particulières pendant l'été, et vu les progrès que j'avais fait en maths et physique l'année scolaire suivante il proposa à mes parents de me donner des leçons gratuites pour entretenir mon niveau.
Je pense qu'il n'avait pas que mon niveau en tête.

Par Amateur - Publié dans : Histoires - Communauté : AllAboutSex
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La cuisine au sperme !

 

Pour nous aider à surmonter notre dégoût du sperme,  Paul “Fotie” Photenhauer, 37 ans, gay, infirmier à San Francisco a eu l’idée d’écrire un livre de popotte pour le moins original, « Natural Harvest » (récolte naturelle), dont toutes les recettes contiennent du sperme. Pour les néophytes en la matière, il est conseillé de commencer par intégrer le sperme à une simple omelette, car celui-ci se cuisine comme le blanc d’oeuf. Par contre, les desserts et les cocktails soulignent davantage le goût particulier du liquide. Et pour ceux qui trouvent encore cela rebutant, il faut savoir que le sperme est très nutritif et peu calorique (10 calories / cuillerée à thé). Il contient du fructose, des protéines, des minéraux (magnésium, phosphore, potassium) et des vitamines (B12, C).


Bien entendu, il est préférable de le consommer frais, ou au maximum deux jours après sa production, afin de profiter de toutes ses qualités nutritionnelles. Vous pouvez aussi le conserver au congélateur, mais sa texture risque de se détériorer légèrement. Autre avantage, et non des moindres : le sperme ne coûte rien. Il est possible d’en trouver assez facilement, pour peu que l’on s’adresse à la personne du bon sexe…». Mais le plus important, bien sûr, c’est que le sperme aurait le don polisson de réveiller les ardeurs des plus sages d’entre nous.
 
Pour Paul, cet amoureux de la gastronomie, « le sperme est un ingrédient aphrodisiaque qui donne un effet de surprise intéressant à chaque plat » et  quoi de plus excitant que d’inviter Jules à un petit dîner aux chandelles et de lui faire goûter les yeux bandés, un petit plat affriolant, forcément préparé avec beaucoup  d’amour !!!
 
Tous ceux qui ont un peu voyagé savent que des choses répugnantes chez nous sont considérées, ailleurs, comme de purs délices. Les Suédois ont adopté un poisson pourri comme plat national. Les Péruviens font griller des hamsters au dîner, les Anglais adorent leurs saucisses au sang et les Américains consomment chaque jour des litres de sécrétions produites par les glandes mammaires des vaches. Aujourd’hui, on a droit à la cuisine au sperme, qui se décline en des plats divers et variés. Les recettes les plus populaires sont bien sûr celles où l’on ne sent presque pas le sperme. Les cocktails par exemple, fournissent une parfaite entrée en matière érotique. Dilué dans un verre d’Irish Coffee “with extra cream” ou dans une coupe multicolore de “Strawberry Splasharita", le sperme n’est plus guère qu’une sorte de “petite touche personnelle excitante”, inodore et invisible…
 
Passons ensuite aux mises en bouche : brochettes de saumon “vernies” (recouvertes d’une pellicule brillante et caramélisée de sperme), caviar “légèrement salé” (ou tarama amélioré)… « Voilà une manière rigolote d’entamer un repas, explique Paul. Les fruits de mer et les poissons s’entendent très bien avec le sperme et en plus, ils partagent avec lui ce côté stimulant pour l’imagination : on pense aux tentacules, aux ventouses, aux œufs, aux huîtres, aux moules…».
 
Mais la cuisine au sperme est surtout une question d’assaisonnement et de mise en ... bouche ! Le but du jeu n’est pas de transformer le sperme en ingrédient banal, rangé au frigidaire à côté de la mayonnaise… Non, il s’agit bien plutôt de redonner au sperme son pouvoir de séduction. « Ce livre de cuisine a été créé pour des dîners  entre adultes consentants, précise l’introduction du livre. S’il vous plait, ne mettez pas de sperme dans le repas de vos invités sans les en informer ». Petit détail : le virus du VIH meurt au contact de l’air. Il n’y a donc aucun risque si le sperme est mélangé à des aliments.
 
Pour ceux qui auraient encore quelques appréhensions, sachez que le sperme rendrait heureux. Selon une étude de la State University of New York, les hommes qui ont été en contact avec le sperme de leur partenaire sont plus heureux que les autres. Alors, à vos fourneaux !
 
Le saviez-vous ?
 
Selon une enquête réalisée par la BBC , l’alimentation influencerait le goût du sperme. Trois couples ont ainsi fait office de cobayes. Durant trois jours, les hommes ont en quelque sorte « remis à zéro » le goût de leur semence en ne consommant pas d’alcool, pas de nourriture épicée et aucun aliment au goût fort (asperges et ail, par exemple).
 
 Chacun d’entre eux s’est ensuite vu attribuer un régime particulier à suivre le plus fidèlement possible (sans que leur moitié soit au courant du contenu de leur assiette) : épicé pour le premier, iodé pour le second, fruité pour le troisième, ces dames ont-elles remarqué, le lendemain matin, un changement dans l’odeur et dans le goût du sperme de leur conjoint ?
Seule l’une d’entre elles s’est trompée, après beaucoup d’hésitations. Cependant, dans tous les cas, elles ont toutes affirmé avoir remarqué une différence, tant au niveau de l’odeur qu’au niveau du goût.
 
Pour résumer, en cas de régime végétarien strict, le sperme de votre Jules pourrait avoir le goût d’un bon bouillon de légumes. Cette situation appréciée en hiver, peut-être agréablement remplacée en été par une consommation de fruits de saison, donnant une saveur rafraîchissante. Il est à noter, qu'une consommation exclusive de chips, donne un goût étonnant de bacon fumé, idéal à l'heure de l'apéro !

 

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