Jeudi 25 septembre
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Lorsque j'ai publié à nouveau une histoire le 28 août dernier, je vous ai demandé si ça vous plaisait et si je devais continuer ou non : je n'ai eu qu'une réponse
!!! Je réitère aujourd'hui mais cette fois en l'absence de réponses j'arrêterai les histoires, ça me demande en effet trop de travail si je veux les illustrer à peu près correctement.
" J’avais 18 ans et je me rendais chez mon frère à Toulouse pour passer le week-end. A cette époque mon frère habitait en collocation avec un de ses
amis : Yves.
Il m’avait toujours plu et plus d’une fois je m’étais branlé en pensant à lui sans jamais entreprendre quoi que ce soit car je l’avais vu plus d’une
fois avec une fille.
J’arrivais donc à la gare de Toulouse en début de soirée. Mon frangin m’y attendait et me dit qu’il y avait un super apéro de prévu ce soir. J’étais
ravi car j’étais venu là pour m’amuser. Yves était à cette soirée et je n’ai pu m’empêcher de le mater toute la soirée, surtout quand nous sommes allés pisser contre un mur et que je n’ai
pu décoller mon regard de sa belle bite. La soirée s’achève et mon frère était complètement bourré. Yves et moi avons du le porter jusqu’au Clic-Clac où nous étions sensés dormir. A
peine affalé, il tomba dans un sommeil profond et impossible de le réveiller pour déplier ce foutu canapé.
Yves me dit alors : « tu n’as qu’a dormir avec moi ! »
Nous sommes allés dans sa chambre et pendant que je me déshabillais il me demanda si cela me gênait s’il dormait nu car il avait l’habitude de dormir
comme ça.
La simple idée de me coucher avec lui complètement nu à coté de moi fit naître un début d’érection.
Je plongeais sous la couette pour qu’il ne voit pas ça, en lui disant que cela ne me dérangeait pas du tout.
Je me mis sur le ventre prêt à m’endormir en me disant que j’allais encore être frustré quand je sentis sa main se poser sur mes fesses. Je me dis
que j’étais en train de rêver ou qu’il dormait et qu’en se retournant sa main était venue se poser là mais quand je sentis ses caresses, mes doutes s’estompèrent.
Il glissa sa main dans mon boxer et me caressa la raie.
Pendant ce temps là je branlais sa queue déjà bien dure. Il me retourna et baissa mon caleçon.
Ma bite sortit comme un diable sort de sa boite !
Il la prit dans sa main et se pencha pour me sucer. J’étais au paradis. Après m’avoir bien pompé, il remonta le long de mon corps en m’embrassant
le nombril, les tétons, le cou, pour finir par une longue pelle bien humide.
Puis il se mit sur le dos et me demanda de le sucer a mon tour. Je lui dis que c’était ma première fois, il me répondit qu’il s’en doutait et que
je n’avais pas de soucis à me faire. Je pris donc son sexe, lécha son gland puis avala cette bite dont j’avais tant rêvé. Ses petits gémissements me faisais comprendre que je me
débrouillais pas si mal.
Pendant que je le suçais, il glissa sous moi et commença à me lécher le cul.
Quel bonheur ! Sentir sa langue fouiller mon anus pendant que j’avais sa queue dans la bouche, je n’en pouvais plus. Je jouis sur son torse sans
qu’il touche ma bite.
Il se leva et pris une capote dans le tiroir. Il la mit et me mit à quatre pattes. Il posa son gland contre ma rondelle et je n’avais plus qu’une envie
: qu’il me baise.
Il me pénétra en douceur mais la douleur me fit lui demander d’arrêter. Il me répondit que ça allait passer et que j’allais bientôt adorer ça. Il
avait raison
La douleur fit peu à peu place au plaisir et les petits cris que je poussais ne faisait qu’encourager mon partenaire. Ses coups de reins se
faisaient plus rapides, j’étais en pleine extase. Il râlait de plus en plus, me disant qu’il adorait mon cul, que j’étais une belle petite salope.
Moi, je le priais de continuer, c’était trop bon.
Je sentis son sexe se contracter et il jouit en poussant un cri rauque. Nous sommes retombés sur le lit, il enleva sa capote pleine de sperme,
nous nous embrassâmes et nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.
Le Lendemain nous sommes allés déjeuner avec mon frère qui avait une gueule de bois monstre et qui n’avait rien entendu.
Nous n’avons jamais recouché ensemble et Yves s’est même marié depuis mais quand nous nous revoyons je peux lire parfois dans son regard qu’il pense à
la même chose que moi. "
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