Texte Libre
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Le jus de queue
Le jus de queue est une combinaison de plusieurs fluides, les spermatozoïdes produits par l'épididyme, le liquide prostatique, le liquide produit par les vésicules séminales et les sécrétions des
glandes de Cowper. Le mélange ne se produit que dans les fractions de secondes qui précédent l'éjaculation.
Une éjaculation représente en moyenne 2 à 5 millilitres.
La densité normale de spermatozoïdes serait comprise entre 20 et 200 millions par millilitre.
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Il y a très longtemps (depuis le 21 septembre 2009) que je ne vous avais proposé une histoire...
Celle-ci a été écrite par un certain "jmec75" en 2004 et elle est illustrée par mes soins. Comme cela demande beaucoup de travail, j'aimerais que vous me disiez si les histoires vous plaisent : dois-je continuer ou non ? Merci de vos réponses.
Allant en cours près de la gare de l'est à Paris, je passe régulièrement devant les chiottes publiques de la gare. Un lundi vers 18h quelques mecs trainaient devant les pissotières et dans les cabines. Je m'installe à une pissotière et commence à me caresser la queue étant très excité. Un jeune mec blond s'installe et commence aussi à se caresser la queue, puis un autre...
Un bomec de 30 ans environ était appuyé au lavabo se caressait également la queue. Il me fit signe de le suivre, je remballais difficilement ma tige gonflée à bloc dans mes jeans serrés et je le suivis. On rentre dans une cabine de chiotte et tout de suite on commence à se roules des super pelles baveuses tout en se désappant. Il s'est foutu à genoux et a englouti ma queue à fond. Putain, quel super pompeur ! Je lui pilonnais pendant quelques minutes la gueule en le tritant de salope et de bonnepipeuse, ça lui plaisait !
Je le voyais en train de branler sa grosse tige et je voulais y goûter moi aussi. On a donc inversé et je me suis mis à genoux. J'ai commencé par lui lécher ses couilles rasées puis suis remonté jusqu'au gland et il m'a foutu sa grosse tige au fond de ma gorge tout en poussant des cris de plaisir. Je lui tenait les fesses pour bien garder sa queue dans ma bouche et lui caressait son trou imberbe qui commençait à s'ouvrir. Il a gémi très fort quand je lui ai rentré un doigt dans le cul. Je l'ai alors retourné pour voir son cul et lui ai foutu ma langue dedans, là, n'en pouvant plus il m'a demandé de la baiser mais malheureusement il n'a pu se retenir et a giclé tout son foutre sur le mur en carrelage en poussant des cris. Je me suis relevé eton s'est roulé d'autres pelles puis on s'est rhabillés. Dommage ! j'avais très envie de lui défoncer la rondelle. Je suis sorti, toujours aussi excité car je n'avais pas craché, et vis le jeune mec blond
appuyé sur les lavabos et qui me souriait. Il me dit qu'il avait envie de se branler avec un autre mec, mais pas dans les chiottes.
Je l'emmenais donc dans un coin tranquille de la gare. On a sorti nos queues et chacun branlait l'autre. Il avit une belle queue bien droite, pas très longue mais assez épaisse. J'avais envie de l'avoir au fond de la gorge mais il ne s'était jamais fait pomper par un mec. J'insistais... et il accepta. Je me suis donc mis à genoux pour bien le pomper. Je commençais par lui lécher le gland puis je descendis jusqu'aux couilles et remontais pour prendre sa queue à fond. Il ralait de plaisir en me disant que je faisais ça super bien. Je lui mis les mains derrière la tête pour qu'il me pilonne la gueule mais il sortit de ma bouche, ne voulant pas jouir de suite. Je lui ai donc léché les couilles et l'entrejambe le temps qu'il se calme un peu et repris mon boulot de pompeur. Il était super excité et me tenais la tête en me forçant à le pomper à fond tout en poussant des cris de plaisir. Je n'en pouvais plus, j'allais jouir tellement j'étais excité par sa queue... Lui aussi me dit qu'il allait jouir. Je lui ai pris alors les fesses en main pour qu'il me crache son jus en bouche... Je sentis 5 ou 6 giclées au fond de ma gorge, c'était super bon, je continuais à bien lui lécher le gland pour bouffer tout son jus.
Je me relevais alors la queue super gonflée et il se mit à me branler et là je jouis avec force comme jamais tellement ces mecs m'avaient excité...
Je sortis de la gare pour mon cours mais je n'ai pas trop écouté le prof tellement j'étais heureux !
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La cuisine au sperme !
Pour nous aider à surmonter notre dégoût du sperme, Paul “Fotie” Photenhauer, 37 ans, gay, infirmier à San Francisco a eu l’idée d’écrire un livre de popotte pour le moins original, « Natural Harvest » (récolte naturelle), dont toutes les recettes contiennent du sperme. Pour les néophytes en la matière, il est conseillé de commencer par intégrer le sperme à une simple omelette, car celui-ci se cuisine comme le blanc d’oeuf. Par contre, les desserts et les cocktails soulignent davantage le goût particulier du liquide. Et pour ceux qui trouvent encore cela rebutant, il faut savoir que le sperme est très nutritif et peu calorique (10 calories / cuillerée à thé). Il contient du fructose, des protéines, des minéraux (magnésium, phosphore, potassium) et des vitamines (B12, C).
Bien entendu, il est préférable de le consommer frais, ou au maximum deux jours après sa production, afin de profiter de toutes ses qualités nutritionnelles. Vous pouvez aussi le conserver au
congélateur, mais sa texture risque de se détériorer légèrement. Autre avantage, et non des moindres : le sperme ne coûte rien. Il est possible d’en trouver assez facilement, pour peu que l’on
s’adresse à la personne du bon sexe…». Mais le plus important, bien sûr, c’est que le sperme aurait le don polisson de réveiller les ardeurs des plus sages d’entre nous.
Pour Paul, cet amoureux de la gastronomie, « le sperme est un ingrédient aphrodisiaque qui donne un effet de surprise intéressant à chaque plat » et quoi de plus excitant que
d’inviter Jules à un petit dîner aux chandelles et de lui faire goûter les yeux bandés, un petit plat affriolant, forcément préparé avec beaucoup d’amour !!!
Tous ceux qui ont un peu voyagé savent que des choses répugnantes chez nous sont considérées, ailleurs, comme de purs délices. Les Suédois ont adopté un poisson pourri comme plat national. Les
Péruviens font griller des hamsters au dîner, les Anglais adorent leurs saucisses au sang et les Américains consomment chaque jour des litres de sécrétions produites par les glandes mammaires des
vaches. Aujourd’hui, on a droit à la cuisine au sperme, qui se décline en des plats divers et variés. Les recettes les plus populaires sont bien sûr celles où l’on ne sent presque pas le sperme.
Les cocktails par exemple, fournissent une parfaite entrée en matière érotique. Dilué dans un verre d’Irish Coffee “with extra cream” ou dans une coupe multicolore de “Strawberry Splasharita", le
sperme n’est plus guère qu’une sorte de “petite touche personnelle excitante”, inodore et invisible…
Passons ensuite aux mises en bouche : brochettes de saumon “vernies” (recouvertes d’une pellicule brillante et caramélisée de sperme), caviar “légèrement salé” (ou tarama amélioré)… « Voilà une
manière rigolote d’entamer un repas, explique Paul. Les fruits de mer et les poissons s’entendent très bien avec le sperme et en plus, ils partagent avec lui ce côté stimulant pour l’imagination
: on pense aux tentacules, aux ventouses, aux œufs, aux huîtres, aux moules…».
Mais la cuisine au sperme est surtout une question d’assaisonnement et de mise en ... bouche ! Le but du jeu n’est pas de transformer le sperme en ingrédient banal, rangé au frigidaire à
côté de la mayonnaise… Non, il s’agit bien plutôt de redonner au sperme son pouvoir de séduction. « Ce livre de cuisine a été créé pour des dîners entre adultes consentants, précise
l’introduction du livre. S’il vous plait, ne mettez pas de sperme dans le repas de vos invités sans les en informer ». Petit détail : le virus du VIH meurt au contact de l’air. Il n’y a donc
aucun risque si le sperme est mélangé à des aliments.
Pour ceux qui auraient encore quelques appréhensions, sachez que le sperme rendrait heureux. Selon une étude de la State University of New York, les hommes qui ont été en contact avec le sperme
de leur partenaire sont plus heureux que les autres. Alors, à vos fourneaux !
Le saviez-vous ?
Selon une enquête réalisée par la BBC , l’alimentation influencerait le goût du sperme. Trois couples ont ainsi fait office de cobayes. Durant trois jours, les hommes ont en quelque sorte
« remis à zéro » le goût de leur semence en ne consommant pas d’alcool, pas de nourriture épicée et aucun aliment au goût fort (asperges et ail, par exemple).
Chacun d’entre eux s’est ensuite vu attribuer un régime particulier à suivre le plus fidèlement possible (sans que leur moitié soit au courant du contenu de leur assiette) : épicé pour le
premier, iodé pour le second, fruité pour le troisième, ces dames ont-elles remarqué, le lendemain matin, un changement dans l’odeur et dans le goût du sperme de leur conjoint ?
Seule l’une d’entre elles s’est trompée, après beaucoup d’hésitations. Cependant, dans tous les cas, elles ont toutes affirmé avoir remarqué une différence, tant au niveau de l’odeur qu’au niveau
du goût.
Pour résumer, en cas de régime végétarien strict, le sperme de votre Jules pourrait avoir le goût d’un bon bouillon de légumes. Cette situation appréciée en hiver, peut-être agréablement
remplacée en été par une consommation de fruits de saison, donnant une saveur rafraîchissante. Il est à noter, qu'une consommation exclusive de chips, donne un goût étonnant de bacon fumé, idéal
à l'heure de l'apéro !
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