Le jus de queue
Le jus de queue est une combinaison de plusieurs fluides, les spermatozoïdes produits par l'épididyme, le liquide prostatique, le liquide produit par les vésicules séminales et les sécrétions des
glandes de Cowper. Le mélange ne se produit que dans les fractions de secondes qui précédent l'éjaculation.
Une éjaculation représente en moyenne 2 à 5 millilitres.
La densité normale de spermatozoïdes serait comprise entre 20 et 200 millions par millilitre.
Il y a peu, le chef de mon service a été remplacé par un nouvel arrivant dans la boîte : Paul, la petite cinquantaine. J'ai tout de suite été séduit par son charisme, mais jamais je n'aurais imaginé ce qui s'est produit...
J'arrive souvent au boulot assez tard ce qui me force également à travailler plus tard. J'ai d'ailleurs toujours l'impression d'être le seul à rester dans ce
bâtiment après 18h00.
Mais cette fois, je n'étais pas seul... Paul, mon nouveau patron vint à mon bureau et commença à me poser des questions sur mon job, sur le service et mes
impressions quant à la situation actuelle.
Etant d'un naturel assez direct, je lui fais part de mes impressions.
Comme toujours je m’emballe un peu et ne me rends pas vraiment compte que la conversation quitte de plus en plus le cadre de mes activités
professionnelles.
De plus en plus ses questions portent sur ma vie privée, mes hobbies et très vite il me demande si je suis marié.
Je lui réponds que non, et lui explique ma relation désastreuse avec mon ex copine. Je ne sais pas ce qui m'arrivait mais je me sentais de plus en plus attiré par
lui et je sentais qu'il cherchait à obtenir quelque chose...
Très vite, il en vint à parler de lui, de sa femme qui ne voulait plus de sexe et de ses envies de plus en plus prononcées pour profiter un max du temps qu'il lui
restait à pouvoir jouir pleinement de son sexe.
A chaque fois qu'il se dévalorisait, je le rassurais et lui disais qu'il était encore très séduisant et que cela plairait certainement aux jeunes.
Il était maintenant assis sur mon bureau, et continuait à me parler en me fixant de son sourire hypnotiseur visiblement content des "compliments" que je lui
faisais.
C'est alors qu'il se leva et vint dans mon dos en me disant :
- "Attends, ne bouge pas je vais te montrer quelque chose".
Il tapota sur mon clavier par-dessus mes épaules (ses bras poilus qui m'effleuraient me procuraient un plaisir immense comme jamais je ne l'aurais imaginé). Il
venait de taper l'adresse d'un site porno et, après quelques clics, pointa du doigt la belle brune se faisant sodomiser qui apparu à l'écran puis il me dit :
- "C'est ça que je voudrais faire comprendre à ma femme mais c'est peine perdue évidemment !!!"
J'étais assez gêné, et pensais de plus en plus à l'érection qui marquait de plus en plus mon pantalon. Et là, l’inattendu arriva, ses mains descendirent le long de
mes côtes et vinrent me caresser les cuisses pour remonter vers mon sexe bandé que je ne pouvais désormais plus cacher.
Je n'ai pas spécialement un gros sexe (15-16cm) mais il parut agréablement surpris et me dit :
- "waouw, ce serait dommage de gâcher une si belle érection ! Sans compter que moi, ça me fait le même effet !"
Je blaguais alors sur le sujet en lui demandant si ça lui arrivait encore souvent à son âge... mais dès que je me retournais, je le vis, le sexe à la main et le
regard fier et avec un léger rictus. Il me dit :
- "Et toujours prêt à l'emploi comme tu le vois"
Il avait un sexe magnifique, plus gros que le mien (je dirais aux alentours de 19cm pour ceux qui aiment ce genre de détails), non circoncis et au teint hâlé. A
peine avait-il placé sa main gauche sur ma nuque que je me sentis attiré par ce sexe qui m'était offert.
Je n'avais jamais connu ce genre d'expérience avec un homme, mais je ne sais pour quelle raison ça m'excitait autant.
A peine avais-je commencé à caresser son sexe de ma langue, il commença à activer ses deux mains sur ma nuque afin que je le pompe plus ardemment. Il râlait et
répétait sans cesse :
- "oui, oh oui...enfin...qu'est-ce que tu m'excites !"
Puis d'un geste brusque, il me saisit, me coucha sur le bureau et baissa mon pantalon d'une traite en disant :
- "Tu vas voir comme c'est bon !"
Je me laissais faire comme un gamin, saisi par cette situation que j'étais loin d'avoir prévu. Il pris mon sexe en main et commença à me pomper énergiquement. Cela
me faisait un bien fou et sentir son sexe qui ne débandait pas taper sur mes mollets me procurait encore plus de plaisir.
C'est alors qu'il s'arrêta, souleva mes jambes tout en les écartant doucement et, d'un geste, plongea sur mon anus pour me bouffer littéralement la rondelle.
Jamais je n'avais ressenti ça et je commençais à peine à réaliser et à craindre que quelqu'un nous surprenne (même si cela était fort peu probable à cette heure).
Il posa son sexe bandé à l'entrée de mon anus trempé de salive en poussant légèrement.
- "Ne t'inquiète pas, ça surprend un peu au début mais je te promets de te faire jouir comme jamais. Tu vas voir ce dont est capable un vieux avec de l'expérience
!"
Doucement son sexe me pénétra. Il eut un peu de mal à le faire entrer. Il y parvint finalement, le temps que je me décrispe un peu.
Il commença alors à me pénétrer plus profondément et très vite la douleur initiale qui m'avait parcouru les tripes laissa place à un plaisir inconnu, démesuré qui
me submergea le corps tout entier.
Je m'agitais comme un fou sur son sexe et chaque fois qu'il me demandait si c'était bon, je lui répondais :
- "Oh oui, qu'est-ce que c'est bon Paul"
Il accéléra alors la cadence - je devenais comme fou - puis il déchargea violemment toute sa semence en moi, chaude, si chaude...
...et je ne pus me retenir plus longtemps.
Je giclais jusque sur lui, tachant légèrement sa chemise bleue, à moitié ouverte. Il s'empressa alors de saisir mon sexe dans sa bouche et me le pompa jusqu'à la
dernière goutte.
J'en fis ensuite autant avec son sexe, qui à mon grand étonnement sentait bon l'excitation.
Il se redressa alors vite et se jeta sur ma bouche, me léchant goulûment avant de relever finalement son pantalon.
C'était si bon que j'en rebande encore rien que d'y penser ! Le lendemain, on fit bien sûr comme si de rien n'était mais je sentais bien qu'il me voyait sous un
autre jour tout comme moi d'ailleurs !
Ce soir là, j’eus beaucoup de mal à me rendre compte de ce qui m'était arrivé et surtout qu'un homme ait pu à ce point m'attirer et de cet âge en plus. Je vais
avoir du mal à me contenter d'une fille maintenant que j'ai connu ça.
Mais qui sait, l'avenir n'est pas écrit !
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La cuisine au sperme !
Pour nous aider à surmonter notre dégoût du sperme, Paul “Fotie” Photenhauer, 37 ans, gay, infirmier à San Francisco a eu l’idée d’écrire un livre de popotte pour le moins original, « Natural Harvest » (récolte naturelle), dont toutes les recettes contiennent du sperme. Pour les néophytes en la matière, il est conseillé de commencer par intégrer le sperme à une simple omelette, car celui-ci se cuisine comme le blanc d’oeuf. Par contre, les desserts et les cocktails soulignent davantage le goût particulier du liquide. Et pour ceux qui trouvent encore cela rebutant, il faut savoir que le sperme est très nutritif et peu calorique (10 calories / cuillerée à thé). Il contient du fructose, des protéines, des minéraux (magnésium, phosphore, potassium) et des vitamines (B12, C).
Bien entendu, il est préférable de le consommer frais, ou au maximum deux jours après sa production, afin de profiter de toutes ses qualités nutritionnelles. Vous pouvez aussi le conserver au
congélateur, mais sa texture risque de se détériorer légèrement. Autre avantage, et non des moindres : le sperme ne coûte rien. Il est possible d’en trouver assez facilement, pour peu que l’on
s’adresse à la personne du bon sexe…». Mais le plus important, bien sûr, c’est que le sperme aurait le don polisson de réveiller les ardeurs des plus sages d’entre nous.
Pour Paul, cet amoureux de la gastronomie, « le sperme est un ingrédient aphrodisiaque qui donne un effet de surprise intéressant à chaque plat » et quoi de plus excitant que
d’inviter Jules à un petit dîner aux chandelles et de lui faire goûter les yeux bandés, un petit plat affriolant, forcément préparé avec beaucoup d’amour !!!
Tous ceux qui ont un peu voyagé savent que des choses répugnantes chez nous sont considérées, ailleurs, comme de purs délices. Les Suédois ont adopté un poisson pourri comme plat national. Les
Péruviens font griller des hamsters au dîner, les Anglais adorent leurs saucisses au sang et les Américains consomment chaque jour des litres de sécrétions produites par les glandes mammaires des
vaches. Aujourd’hui, on a droit à la cuisine au sperme, qui se décline en des plats divers et variés. Les recettes les plus populaires sont bien sûr celles où l’on ne sent presque pas le sperme.
Les cocktails par exemple, fournissent une parfaite entrée en matière érotique. Dilué dans un verre d’Irish Coffee “with extra cream” ou dans une coupe multicolore de “Strawberry Splasharita", le
sperme n’est plus guère qu’une sorte de “petite touche personnelle excitante”, inodore et invisible…
Passons ensuite aux mises en bouche : brochettes de saumon “vernies” (recouvertes d’une pellicule brillante et caramélisée de sperme), caviar “légèrement salé” (ou tarama amélioré)… « Voilà une
manière rigolote d’entamer un repas, explique Paul. Les fruits de mer et les poissons s’entendent très bien avec le sperme et en plus, ils partagent avec lui ce côté stimulant pour l’imagination
: on pense aux tentacules, aux ventouses, aux œufs, aux huîtres, aux moules…».
Mais la cuisine au sperme est surtout une question d’assaisonnement et de mise en ... bouche ! Le but du jeu n’est pas de transformer le sperme en ingrédient banal, rangé au frigidaire à
côté de la mayonnaise… Non, il s’agit bien plutôt de redonner au sperme son pouvoir de séduction. « Ce livre de cuisine a été créé pour des dîners entre adultes consentants, précise
l’introduction du livre. S’il vous plait, ne mettez pas de sperme dans le repas de vos invités sans les en informer ». Petit détail : le virus du VIH meurt au contact de l’air. Il n’y a donc
aucun risque si le sperme est mélangé à des aliments.
Pour ceux qui auraient encore quelques appréhensions, sachez que le sperme rendrait heureux. Selon une étude de la State University of New York, les hommes qui ont été en contact avec le sperme
de leur partenaire sont plus heureux que les autres. Alors, à vos fourneaux !
Le saviez-vous ?
Selon une enquête réalisée par la BBC , l’alimentation influencerait le goût du sperme. Trois couples ont ainsi fait office de cobayes. Durant trois jours, les hommes ont en quelque sorte
« remis à zéro » le goût de leur semence en ne consommant pas d’alcool, pas de nourriture épicée et aucun aliment au goût fort (asperges et ail, par exemple).
Chacun d’entre eux s’est ensuite vu attribuer un régime particulier à suivre le plus fidèlement possible (sans que leur moitié soit au courant du contenu de leur assiette) : épicé pour le
premier, iodé pour le second, fruité pour le troisième, ces dames ont-elles remarqué, le lendemain matin, un changement dans l’odeur et dans le goût du sperme de leur conjoint ?
Seule l’une d’entre elles s’est trompée, après beaucoup d’hésitations. Cependant, dans tous les cas, elles ont toutes affirmé avoir remarqué une différence, tant au niveau de l’odeur qu’au niveau
du goût.
Pour résumer, en cas de régime végétarien strict, le sperme de votre Jules pourrait avoir le goût d’un bon bouillon de légumes. Cette situation appréciée en hiver, peut-être agréablement
remplacée en été par une consommation de fruits de saison, donnant une saveur rafraîchissante. Il est à noter, qu'une consommation exclusive de chips, donne un goût étonnant de bacon fumé, idéal
à l'heure de l'apéro !
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