Le blog de Amateur

J'ai aujourd'hui 29 ans. Chaque année à la période des fêtes de fin d'année je me souviens de ce jour où à 24 ans, j'ai accepté de faire le père noël pour un mec d'une quarantaine d'années qui voulaient fêter le réveillon avec un de ses amis. Il m'avait dit : " tu verras ça te rapportera un bon paquet de pognon, tu ne seras pas déçu, d'ailleurs je vais te donner une avance", ce qu'il fit en me tendant une liasse de billets. 

 

A cette époque, j'en avais vraiment besoin et sincèrement je pense que personne ne crache sur l'argent et puis ce gars, je le connaissais, j'avais déjà couché avec lui deux fois. Un beau brun poilu avide de sexe.
A plusieurs reprises il m'avait demandé si j'aimerais faire une touze avec un de ses potes et lui. Mon côté un peu réservé me forçait toujours à refuser.
"Ah t'es con, me disait-il, tout le temps, ça pourrait être bien et puis avec moi tu ne te fais pas prier ".
Oui c'est vrai, j'aimais bien faire l'amour avec lui mais à trois, je sais pas, j'avais comme une barrière et je ne voulais pas qu'on me considère comme la pute du coin ; mais voilà à force de m'embobiner en me disant que j'étais beau et que je le faisais sans arrêt triquer.
Je ne sais pas si c'est pour l'appât du gain où si je devenais pervers mais toujours est-il que j'ai accepté ce "jeu de faire le père noel".
Il m'avait dit, tu verras, tu arrives à minuit car j'ai dit à Christian que j'allais lui faire une surprise.
Très convaincant je me dis qu'il ne fallait pas que je meurs idiot, je décidais donc d'y aller.
 

 

Je me rappelle, c'était sympa, je fis la connaissance de Christian, un très beau garçon blond irrésistible. De le voir me dévisager j'eus une forte érection sous mon habit rouge.
Claude, mon copain dit à son pote, alors il est pas beau notre père noel ? et en joignant le geste à la parole, il m'attrappa la queue en disant : "regarde, il bande !"
Christian eut un sourire et s'approcha de moi, il tira sur ma barbe et déclara : "vraiment mignon le minet, c'est un beau noël, c'est la première fois que je vais me faire un père noël".
Tout en étant excité je tremblottais un peu car ces deux mecs étaient costauds et j'étais tout seul face à eux qui avaient bu pas mal et un instant je me demandai ce que j'étais venu foutre ici.

 

Je n'ai pas eu le temps d'y réfléchir beaucoup car à cet instant, deux autres mecs sont arrivés et là j'ai balisé à mort. 

 

On va s'amuser me dit Claude, tu sais que tu as été payé, laisse-toi faire. Sans se soucier de ce que je pouvais dire, en un rien de temps, j'ai senti plusieurs mains sur moi qui m'arrachaient mes fringues et je me suis retrouvé très vite complètement à poil, la bite à l'air.
Les deux autres mecs qui venaient d'arriver me tenaient pendant que Claude me mettait sa bite dans la bouche et que Christian me fouillait le cul de ses doigts experts.
Malgré tout j'eus une forte érection de sentir ces mecs s'occuper de moi.

 

Ils étaient tous à poils, je me suis retrouvé à sucer 2 bites en même temps pendant qu'un autre me pinait en me tapant sur le cul.
C'était un peu comme dans un rêve sauf que j'étais éveillé.
Claude devint complètement fou de désir et décida :  

 

- "Ah on va lui en donner à cette p'tite salope, vous allez le prendre à deux tandis que Christian et moi on va lui baiser la bouche avec nos bites" ordonna-t-il à ses copains. 

 

Je me suis retrouvé assis sur une bite puis on m'a forcé à m'incliner un maximum vers le mec qui me pinait comme pour l'embrasser de force et c'est à ce moment qu'un autre des 4 mecs a entré son pieu doucement puis longuement dans mon trou allant ainsi rejoindre la bite de son pote.
Je ne savais plus rien ni qui j'étais.
Je me suis fait limer par deux queues en même temps tout en ayant 2 pines dans la bouche.
Ca a duré un petit moment puis j'ai senti les mecs prendre leurs pieds.
Un des mecs s'est retiré de mon cul endolori, puis l'autre.
Je sentais le foutre me couler plein les cuisses et ma bouche se remplir de sperme que m'envoyaient les 2 autres salauds.
Rassasiés, les mecs tinrent paroles et me donnèrent un tas de fric.  

 

Le temps a passé, je n'ai jamais refait de touze et je ne parle plus à Claude qui m'a pris pour un moins que rien.
Pourtant quelquefois quand je repense à tout ça, je me branle à mort, je crois que j'ai attrappé le démon du cul !