Le blog de Amateur

Ce matin là, je m’asticotais comme d’habitude le poireau avant de me lever pour partir au lycée. Il faut dire qu’à 18 ans et toujours puceau, ma bite ne demandait qu’à asperger mon corps de ses multiple jets de sperme. Sans ouvrir les yeux, je descendais tout doucement ma main jusque dans la touffe de poils bruns et frisés. Mon pénis sursauta, commença lentement à se durcir, se gonflant de sang. Une fois bien dur, j’entourais de mes doigts ma bite sous mon gland et tirais si fort sur lui que je laissais échapper un petit gémissement de plaisir (j’ai un frein solide). Puis, je malaxais doucement mes grosses couilles poilues (j’adore me peloter les couilles), passant avec mes doigts d’une boule à l’autre. J’ouvris les yeux et alluma la lumière pour mieux voir mon sexe . De taille modeste à mon goût, il était déjà bien dur et droit, et ne demandait qu’à être masturbé, ce que je fis aussitôt en crachant abondamment sur celui-ci pour bien faire glisser mes doigts.

Ma main commença à faire ses va et viens sur tous le long de ma verge luisante, je poussais des petits grognements de satisfaction alternant avec de longs soupirs. C’était si bon que j’accélérais le mouvement, ça glissait bien et le plaisir intense me remplissait de bonheur. Le lit était devenu un chantier, et mes cordes vocales trahissaient ma jouissance imminente. De l’autre main, j’agrippais mes boules en les entourant de mon index et mon pouce tout en caressant avec les doigts qui me restaient la peau parsemée de longs poils noirs (ça m’excite terriblement les couilles poilues). Mes cinq doigts entourant ma bite, je les faisaient coulisser de haut en bas, lentement, en serrant très fort et, régulièrement, je tordais cette bite en extase pour augmenter le plaisir (l’orgasme pointe le bout de son nez à chaque fois que je lui inflige ce traitement énergique). Dans cette folle agitation, mon trou du cul mouillait comme une chatte et, je quittais temporairement mes couilles pour introduire un premier doigt à l’intérieur de mon anatomie (un lieu si doux à mon sens, qu’on dirait de la soie) et le faisait aller et venir langoureusement.

14f.jpg Mon gland rouge vif et turgescent laissa échapper un peu de sperme que je m’empressais d’étaler sur ma tige, ce qui me rendis encore plus fou d’excitation. Un deuxième doigt rejoignit son voisin dans mon anus maintenant près pour une pénétration manuelle plus violente. Une main sur mon pénis, une autre qui fouillait mes entrailles, quel pied !!! Mes deux doigts allaient et venaient en moi de plus en plus rapidement. Mon gland se gonfla undefined davantage, les veines se firent plus présente et le petit orifice laissa échapper plusieurs longues et abondantes giclées de sperme bien chaud sur mon ventre, ma poitrine et jusque sur mon visage. J’étais en sueur et ma respiration haletée (je suis vraiment un obsédé de la bite, mais c’est si bon la branlette). Ma semence de jeune puceau dégoulinait de mon front pour atteindre mes lèvres. Je passais ma langue pour goûter les quelques gouttes de sperme qui perlaient et comme c’était peu, je débarrassais le précieux jus qui recouvrait ma main et mon torse en le portant à ma bouche (j’adore le goût si particulier du sperme qu’à chaque fois que je me masturbe, je ne peux m’empêcher d’étancher ma soif de foutre).

 Une fois remis de mes émotions, je fis une rapide toilette en prenant bien soin de ne pas me nettoyer le sexe afin de conserver les souillures issu de ma branlette. A 8h10, le bus, qui avait prit un peu de retard sur le trajet, me déposa devant le lycée. Tout le monde était rentré en cours. Je me dépêchais donc de rejoindre ma classe. C’était cours de math…un calvaire que je devais supporter jusqu'à la pause de 10 heures. A l’heure dite, mes camarades et moi sortîmes dans la cour pour fumer une clope, boire un café et déconner. C’était sympa, mais j’eu une terrible envie de pisser qui m’obligea à quitter mes potes un instant. Je rentrais dans les cabinets et m’enfermais pour être tranquille.

alekosVMFHE.jpg Ma main fit descendre ma braguette, je sortis mon pénis encore marqué de sperme et laissais vider ma vessie. Soulagé, je mis mon index sur le bout de mon gland humide et le fis tourner autour tout en laissant le prépuce recouvert. Je faisait souvent ça, ça m’amusais. Ma queue se redressa rapidement pour atteindre une trique d’enfer. Mes doigt experts se mirent à masturber mon gland, lentement je descendais puis remontais. Je me mis face au mur carrelé et continua à me palucher sur celui-ci. Les couilles et la bite sur la surface froide et lisse m’excitaient intensément. Je m’efforçais de rester silencieux afin de pas attirer l’attention. Au bout de 5 minutes, j’éjaculais longuement et par petit jets successifs. Ma bite en mouvement sur la faïence étalait généreusement ma crème de puceau.

 Soudain, la porte s’ouvrit brusquement, faisant sauter le verrou que j’avais pourtant pris soin de verrouiller. C’était le surveillant, un bel homme bien bâtit, la trentaine, blond avec de magnifique yeux bleus.

 - Alors Thomas, on se fait une petite gâterie ? s’exclama-t-il en pouffant de rire.

 J’avais tellement honte que je ne parvenais pas à sortir un mot. Ma bite encore en l’air était recouverte de sperme dégoulinant. Heureusement, les wc étaient vides. La cloche sonna et le surveillant m’invita à me r’habiller.

 - Suis-moi, me dit-il.

J’étais foutu. J’allais sûrement être exclu du lycée. Devoir affronter les moqueries des uns et des autres m’affolais littéralement, car cette homme n’avait pas l’habitude d’être sympa et ne faisait de cadeau à personne. Je le suivais donc et à ma grande surprise il m’annonça :

 - Ne t’inquiète pas, personne ne saura rien.

 J’étais à moitié rassuré mais plein d’espoir. Il m’emmena dans son bureau, ferma la porte à clef et descendit les stores. J’avais compris où il venait en venir.

 - Maintenant tu vas sucer ma grosse bite, me dit-il en sortant son engin de son pantalon.

664_8.jpg J’étais aux anges, c’était la queue de mes rêves, elle était plutôt grosse, faisait dans les 20 cm de long et son gland bien développé brillait sous la lumière. Le frein rejoignait le reste de son membre, d’impressionnantes veines le parcourait, il était arqué vers la droite. Ses couilles qu’il venait de dégager étaient bien rondes et bien grosses, une toison de poils noirs en surgissait et recouvrait une bonne partie de la surface de la peau. Mon sexe se remit à bander. Je le sortis pour pouvoir me masturber tout en bouffant son gros gland. Ma bite faisait pale figure à coté, elle faisait la moitié de celle de mon surveillant et était nettement plus étroite. Je commençais à lui peloter les couilles, ma main tremblotante caressait amoureusement sa peau poilue, je sentais bien ses boules qui bougeaient lentement au grès de mes mouvements. C’était la première fois que je touchais le sexe d’un mec, c’était délicieux. Je remontais ma main le long de son membre et commençais à l’astiquer. La respiration de mon amant était rapide et il gémissait à chaque aller et venu de ma main.

 - Avale ma bite maintenant, m’invita-t-il nerveusement. Je vais te faire goûter mon foutre et après je t’enculerai.

 Beau programme me dis-je. Mais je doutais quand même sur mes capacités à accueillir un tel morceau. En attendant, Je pris son gland en bouche, curieux de savoir quel goût cela pouvait avoir. J’eu un haut le cœur tout d’abord, car il n’avait pas dû le laver depuis un certain temps. Mon sens du goût m’annonçait un mélange d’urine et de sperme. Je tournais ma langue autour de ce gland sale pour bien le nettoyer. Une fois bien propre, je commençais une pipe en règle en avalant une partie de sa bite. J’apprenais vite. Je me retirais jusqu’au bout du gland pour aussitôt gober de nouveau ce bâton d’amour. Mon surveillant se déhanchait dans ma bouche, haletant et grognant à la fois. Mes papilles salivaient abondement rendant la pipe baveuse et parfaitement ordonnée.

 - Je vais éjaculer dans ta gorge de minet, me lança-t-il. Tu a l’air d’être un fana de la branlette vu comment tu t’es défoulé dans le chiotte à asperger le mur de ta jute, et bien tu vois que tu peux sucer en même temps une bite de mec. 28090472-copie-1.jpg

 C’est vrai que je me paluchais tout en le suçant, ça rendait ma branlette autrement plus excitante. Le surveillant me bloqua la tête dans le coin du mur et alla de plus belle en pénétrant sans ménagement ma cavité buccale. J’étouffais sous ses coups de boutoirs jusqu'à ce qu’il déverse une flopée de sperme à grand renfort de jets, me noyant la bouche dans son foutre. Il gueulait au rythme de ses élans et de ses éjaculations. J’avalais au fur et à mesure que sa jute sortait de ses couilles, me régalant de ce liquide onctueux dont le goût se rapprochait du mien.

Dès qu’il eu fini, il sorti sa bite de ma bouche et se l’essuya sur mon visage et mes cheveux. Ses couilles se baladaient sur toute ma figure. Son sperme s’étalait partout.

 - Lèches mon jus, me dit-il, lèche bien ma bite et mes couilles, après je vais t’enculer.

undefined Je commençais à le lécher depuis l’anus ou du sperme s’était mélangé aux poils, remontais aux couilles à grand renfort de coups de langues et terminais mon travail sur sa bite ramollie. J’avais cessé de branler ma queue, elle était toujours en érection quand mon surveillant s’abaissa pour me piper. C’était doux et chaud, il suçait admirablement. J’étais trempé de sueur. Je passais ma main dans ma raie du cul, je mouillais comme une chienne. Le surveillant me pris dans ses bras et me posa sans ménagement sur son bureau qu’il avait au préalable recouvert d’une couverture. Il balaya longuement sa langue sur mon anus poilu, puis posa sa bite sur celui-ci et força l’entrée encore vierge. Je serrais les dents car c’était très douloureux.

 Il se retira pour me laissais reprendre mon souffle et se réintroduisit 30 secondes plus tard mais cette fois ci très violemment, m’arrachant un cri que j’essayais d’étouffer. 300904111.jpg

Il me limait comme une brute, mon anus était éclaté et me faisait souffrir. Ses coups de bite undefined transperçaient mes entrailles. Soudain, alors que je ne me touchais pas la queue, plusieurs giclés de sperme jaillir de mon gland. Je jouissais comme une femme (3 éjaculations en une matinée…un record). C’était bon, le plaisir balayait mon corps à chacune de mes éjaculations qui s’intensifiait avec la pénétration sauvage dont j’étais victime. Mon surveillant envoya sa purée au fond de mon cul en gueulant de jouissance, puis s’écroula, extenué. Je vérifiais l’état de mon anus avec ma main, il était béant et du sperme s’en écoulait. J’étais dépucelais, et pas qu’à moitié ! Nous nous quittâmes en nous promettant de nous retrouver le lendemain matin au même endroit. Mes journées au lycée n’allaient plus être une corvée !

Jeu 7 fév 2008 1 commentaire
super
thierry - le 26/08/2009 à 11h58